Nos documents sur la toponymie

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Eclairage public
Compagnie Le Bon : installation de lampes au rond-point Rochard et aux rues Curie, Paul Bert, Devoir, Coetlogon, Pascal, Descartes, Maréchal, Foch, Cuverville, Le Bras, Liberté, Bd Waldeck-Rousseau, Pasteur, Hérault, Thiers, Lamartine, Gambetta, place du Théâtre, chemin du Coucou et de Belle-Isle, lieu-dit du Vau Meno, lotissement Boutier, quartier des Villages

Par : Archives municipales de Sa

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Étude des noms de parcelles attenantes à une voie
Il s’agit de toponymie, issue du cadastre napoléonien breton de 1827, située près du site de Corseul, le long du tracé retenu de nos jours pour la voie romaine Corseul-Alet, datée du IIIème siècle. 600 Parcelles sont examinées. Leur regroupement en sections cadastrales n'est pas fortuit. Il traduit les limites des "villae" attenantes.

Par : L'ARSSAT

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Quelques mots sur le lieu-dit Trez-Goarem en Esqui

Par : Gallica

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Le manoir de Langonaval à Lannion
Le manoir de Langonaval est un manoir rural construit vers le milieu du XVe siècle. Le nom qu’on lui donne est issu d’un transport toponymique d’un autre Langonaval situé en Plouigneau. Le manoir d’origine fut modifié (raccourcissement au nord, allongement au sud). La facture du pignon montre qu’il y eut changement de la fonction résidentielle du bâtiment vers un but commercial car le quartier de Kerampont est devenu fort passant. La famille Guégot y pratiquait le commerce du vin.

Par : L'ARSSAT

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Conversation à bâtons rompus.
Enregistré au lieu dit Méné Drégan.

Par : Dastum

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Diboñjour dit komrad (Gavotte fredonnée)
Conversation entre Nicole Querrou et la dame du village où a lieu l'enregistrement.

Par : Dastum

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L’écriture des noms de lieux bretons
Les travaux de l'ARSSAT sur les noms de lieux de plusieurs communes du Trégor ont mis en évidence le maintien d'une orthographe remontant au moyen-breton dans les notations des noms de lieux-dits ; au 19e siècle une évolution se fait lentement vers des règles d'écriture plus modernes ; les différences d'évolution phonétique entre breton et français ont entraîné des incohérences d'écriture et des mauvaises prononciations à la lecture ; l'évolution des dictionnaires bretons jusqu'à l'époque moderne permet d'espérer une amélioration.

Par : L'ARSSAT

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Conversation : coutumes pour les morts, intersigne
Enregistré au lieu dit Méné Drégan.

Par : Dastum

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Finistère. , Le petit bois : [Plaque de verascope]
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Vue stéréoscopique

Par : Yroise - bibliothèque numé

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Me 'm eus choazet ur vestrezig
Première phrase à structure tripartite par répétition du second hémistiche
Enregistré au lieu dit Méné Drégan.

Par : Dastum

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De Gaulle à Douarnenez...
1/ De Gaulle à Douarnenez le 22 juillet 1945 (3 minutes). 2/ Le club de natation de Douarnenez en compétition à la piscine en rivière au lieu dit "Kérisole" à Quimperlé en 1945.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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La Touche d'En-Bas, près de Ploërmel.
Plouguenast. - Portail d'entrée de la cour d'un manoir. Ce lieu-dit n'existe ni dans le Morbihan ni en Ille-et-Vilaine, seule la commune de Plouguenast possède ce nom.. Date : 20e siècle, début. Fonds : Cartes postales

Par : Archives départementales d

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Combourg, visage de pierre
Depuis un siècle qu'il est mort, les hommes se sont penchés avec passion sur Chateaubriand. Ce film compose un étrange poème fait de pierre, de ciel et d'eau, évoquant les lieux qu'il aima et qui marquèrent de leur empreinte éternelle son amour de la solitude et son invincible désenchantement. Il a dit lui-même : "C'est dans les bois de Combourg que je suis devenu ce que je suis." ; Projeté à la Biennale de Venise 1948. ; Textes des "Mémoires d'Outre-Tombe" dits par Pierre Fresnay.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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[Carte des environs de l'Île Tudy et de Sainte-Mar
Echelle de deux centimètres par mètre. Plan, manuscrit sans titre, de coupe transversal de la levée située au lieu-dit Le Treustel sur la commune de Combrit, de Jean-Marie de Silguy, en 1816 (à rapprocher du plan général Fi 48).

Par : Médiathèques de Quimper Br

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16èmes Rencontres Trans Musicales
EDITONe pas parler à tort et à travers.Ne pas croire à tout ce qu'on voit et tout ce qui est apparent.Ne pas croire à tout ce qui est dit.Voici la symbolique tirée de la philosophie de Confucius.Comme ces trois singes posés sur le bord de la Bretagne.Trois singes, trois jours et trois nuits. Pour des Rencontres Trans Musicales fondées cette année sur la tolérance, l’harmonie et l'anti-fanatisme.Rennes devenant ville mosaïque. Ville archipel de lieux vivants.Des couleurs musicales dans chaque salle, dans chaque quartier dans chaque bar.Une jungle de labels innovateurs, d'artistes et de performers vont nous entourer de guirlandes illuminées.Pour finir dans un croisement étoile d'une dernière nuit Ethniks 2 Techniks.Avec cette envie folle, à l’aube de chaque matin, de devenir nomade.L’EQUIPE DES TRANS MUSICALES

Par : Association Trans Musicale

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Janvier - mars 1944
Sortie en groupe d'un restaurant "chez Maurice" puis balade dans la forêt de Rennes à Liffré au lieu dit "Mi-forêt", en hiver 1944, hommes et femmes en costumes du dimanche se baladent, un homme fait des grimaces, reçoit des boules de neige, les hommes montent sur un vieil alambic. Bataille de boules de neige entre adultes, jeux et amusements en groupe. Départ en camion : tout le petit groupe embarque à l'arrière d'un camion. Portrait de femmes. La Vilaine, promenade en bord de Vilaine, arbres bourgeonnent, pont à identifier, promenade en barque, chevaux sur le bord de la rivière, un homme monte un cheval de trait, ricochets sur l'eau. Passage du train au passage à niveau. Café le "Rendez-vous des pêcheurs". Un homme fume une pipe. Oies.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Laval - divertissements 1929 à 1933
Laval "Divertissements" de 1929 à 1931, mai 1929 courses hippiques à l’hippodrome (Mme Guilloux, une amie, Monique avec un nœud dans les cheveux),chevaux, spectateurs, tribunes, fanfare, buvette, courses d’obstacle. Mai 1931, les anciennes du collège de jeunes filles ont donné une représentation théâtrale, Odette Guilloux l'une d'elles répète, costumée avec en costume chinois, « Le Seigneur Li » (Odette déguisée), Guy Fournier déguisé en mandarin chinois. Octobre 1932, présentation d'un brochet « Une fameuse prise » poisson d’eau douce (brochet) pesant 3kg 250 (résultat d’une pêche à la traîne sur la rivière La Mayenne entre Changé et Saint Jean). Patinage sur glace en janvier 1933 sur les bords de la Mayenne prise à glace au lieu dit Le Vivier (terrain en bordure de La Mayenne, à proximité de l'emplacement où se trouve de nos jours le hangar nautique). Janvier 1933, patinage sur un étang dans une propriété privée près de Force près de Laval. « Les as du patin » une dame avance sur la glace avec une chaise (amie d’Odette Guilloux), portraits.Mars 1933, « Vive les anciennes » (anciennes élèves du lycée de jeunes filles de Laval) portraits de dames, ping-pong, préau. Septembre 1929 à Paris, aux abords du pont Alexandre III, bateau mouche, départ d’un bateau sur la Seine (le lavallois Alain Gerbault et son Fire Crest, réception du ministre de la Marine), quais.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Carte peinte : les Conseils
Dom Michel nous montre les Amériques dans la carte des Conseils. Divers navires sont représentés sur cette carte. Les premiers, pilotés par le Christ lui-même, « portent des chrétiens vertueux, et sont chargés de précieuses marchandises, c’est-à-dire de la grâce sanctifiante, des dons du Saint-Esprit, et des vertus infuses qu’on reçoit avec le baptême, aussi bien que des grands mérites que ces âmes ont acquis depuis par leurs bonnes œuvres. Le port et le royaume où elles tendent tous, c’est le séjour des bienheureux » (Verjus, livre VIII, chap. 4). D’autres bateaux ont fait naufrage ; ils embarquaient des chrétiens qui ont perdu par leurs péchés mortels la grâce du baptême. D’autres encore voguent sans cap : ceux des païens, hérétiques et schismatiques. Certains navires veulent faire le tour de la terre en passant « par le détroit de Magellan, où il arrive de fréquents naufrages ». C’est pourquoi il serait bien plus sage de percer un passage à travers l’isthme de Panama. D’où deux petits personnages s’affairant sur la carte à ouvrir cette bande de terre, large de « trois lieues », croit savoir dom Michel, ce qui lui permet d’en donner un sens symbolique. Ces trois lieux signifient trois sortes de vices : concupiscence de l’honneur mondain, de la volupté des corps, et des richesses transitoires... De nombreux détails permettent également de donner toute une catéchèse sur la vie chrétienne, les commandements à observer, les vertus à pratiquer, afin de parvenir à l’Île fortunée ou « séjour des Bienheureux ». Celle-ci comporte trois promontoires. La voie la plus exigeante conduit vers le bourg dit Altum consilium. Elle est périlleuse pour ceux qui ont présumé de leurs forces et se sont engagés imprudemment dans la vie religieuse. Ils risquent de faire naufrage. La seconde voie, plus réaliste, vise la pointe du Petit Conseil (Minus Consilium). Il suffit de suivre avec persévérance les conseils de l’Evangile pour arriver à bon port, et au pire, si la marée et le vent sont contraires, le chrétien parviendra non pas « où il voulait, mais bien où il fallait et suffisait pour le sauver ». Le troisième cap est celui des commandements de Dieu et de l’Eglise : mais « si l’on ne prend son fil, comme pour arriver à la seconde pointe, il y a un courant d’eau si rapide qu’on n’arrive pas même à la troisième pointe » (Verjus, livre VIII, chap. 4).

Par : Diocèse de Quimper et Léon

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"Kantikoù Breizh" - La genèse
En août 2019, Clarisse Lavanant se produisait sur la scène du Festival Interceltique de Lorient. Entre autres choses, elle y interpréta des cantiques bretons issus de la nuit des temps, arrangés par Philippe Guével. Voici ce que l'artiste nous dit à propos de cette nouvelle quête musicale : "Il y a dix ans, après l'ultime tournée et le tout dernier spectacle avec la troupe des "Dix Commandements" en Corée du Sud, je décidai de revenir en Bretagne pour de bon. J'inaugurai ce retour aux sources par une tournée des chapelles dans une formule particulière, seule et a cappella. Je découvris alors des lieux magnifiques où je n'étais jamais allée et où je n'aurais peut-être jamais eu la chance de passer... Je fis également de précieuses rencontres, parmi celles qui comptent encore le plus dans ma vie. Au tout début, je n'interprétais que mes propres chansons, celles que j'ai écrites. Puis j'ai (re)découvert la poésie du barde Glenmor et souhaité la faire résonner entre ces pierres où même le silence s'écoute. C'est ainsi que j'ai chanté en breton pour la première fois mais pour pouvoir échanger aussi dans cette langue et mieux comprendre ce que cette terre raconte, j'ai dû apprendre, et je continue de le faire, à la parler. Peu à peu, les gens d'ici ou là m'ont transmis le cantique breton de tel endroit ou de telle chapelle, celle à laquelle ils sont souvent très attachés et qu'ils ont parfois même contribué à "sauver", quelle que soit leur conviction, car elle fait partie de leur histoire... Et de la nôtre. Tout comme ces chants qui viennent du fond des temps mais à l'inaltérable beauté. Je suis heureuse aujourd'hui de vous présenter mon dixième album "Kantikoù Breizh" (Cantiques de Bretagne) qui retrace un peu ces dix années parcourues. J'ai eu le privilège de les enregistrer avec Philippe Guével qui leur a donné une couleur musicale à la fois très inspirée et intemporelle. J'espère que vous ressentirez autant de plaisir à les écouter !" - Clarisse Lavanant TV-Trégor a le plaisir de vous proposer ici, grâce à l'aimable autorisation de l'artiste, un extrait de son concert au "FIL 2019", où elle interprète les "Kantikoù Breizh". Rien d'autre à dire; laissons nous porter par la musique et la voix de Clarisse Lavanant ... L'album "Kantikoù Breizh". sur le site officiel de Clarisse Lavanant

Par : TV Trégor

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Le bourg de Saint-Gilles
Le bourg de Saint-Gilles est marqué par différentes typologies d'architectures. Il rassemble dans un espace relativement restreint, divers bâtiments qui répondent à plusieurs types de fonctions : religieuse, sociale, économique, culturelle, civile, publique etc. Ils sont construits en matériaux différents, datant d’époques différentes et ont, ou ont eu, diverses fonctions.Les maisons d'habitations :Les maisons d’habitations sont les édifices que l’on retrouve le plus dans le bourg de Saint-Gilles. Elles sont en général composées d'une fenêtre, d'une porte au rez-de-chaussée et d'une fenêtre à l'étage. Souvent, la fenêtre du rez-de-chaussée est placée au plus près de la cheminée et la porte d'entrée est la plus éloignée possible pour éviter de faire fumer le feu dans l'âtre. Les maisons sont construites en front de rue en ne respectant plus l'orientation vers le sud pour bénéficier de la chaleur solaire. Le centre bourg est marqué par la présence de trois maisons bourgeoises. Deux maisons se situent rue du Prieuré et une se trouve sur la place de l'église. Selon un acte de vente daté de 1887 la plus ancienne maison bourgeoise serait celle du 4 rue du Prieuré. Elle est constituée d'un rez-de-chaussée et de deux étages plus d'un grenier. Elle est constituée de six travées. Le deuxième étage est marqué par la présence d'une ouverture en œil-de-bœuf. Enfin, cette demeure possède un toit à la Mansart, ce qui est caractéristique des demeures bourgeoises. La richesse des propriétaires étaient indiqué par la présence de granit aux appuis de fenêtres et à l’encadrement de la porte d'entrée. Ces maisons témoignent de l’apparition d’une bourgeoisie rurale dans Saint-Gilles et ce dès la moitié du XIXème siècle.Les commerces :En plus des habitations, le bourg est composé d’édifices liés à l’activité commerciale et économique. Entre 1920 et 1940, il y a 18 débits de boissons. Ces débits de boisson étaient en même temps boucher, coiffeur, cordonnier, etc. comme en témoigne cette ancienne boucherie-débitant rue de Rennes.Les maisons à boutique sont des constructions en front de rue, parfois à pan coupé quand elles se trouvent à un carrefour. Dans ce cas l'accès à la boutique se fait par le pan coupé. Cette typologie est illustrée par la maison à boutique au croisement de la rue de Montfort et de la rue du Parc. C'était l'ancien hôtel des Postes et l'un des débits de boisson du bourg. Dans les années 1930, plusieurs commerces sont construits dans le bourg par la même famille. Ceux-ci ont pour caractéristique de se détacher du reste du paysage urbain. Alors que les maisons d'habitations sont en terre et couverte d'un enduit à la chaux, ces commerces sont entièrement construits en pierre, plus particulièrement du schiste pourpre et du poudingue (pierre de Montfort). Ceux sont les commerces installés 10 rue du Centre (actuel PMU) et 10 rue de Rennes. La vitrine art-déco de cette dernière est d'origine et en excellent état. Un autre commerce se détache du paysage urbain. La maison construite au 35 r de Rennes était la maison de l'un des charrons de la ville. Elle est construite dans un matériau innovant pour l'époque : des parpaings de béton moulé provenant de la briqueterie de Saint-Ilan, près de Saint-Brieuc. La maison située en front de rue est construite sur l'axe principal, près de l'entrée de la commune. L'actuel cabinet médical était à l'origine la bonneterie et l'épicerie de la femme du charron, Mr Eveillard. Les mairiesLa commune de Saint-Gilles a connu plusieurs mairies jusqu’à l’actuelle qui se situe au nord de l’église. Jusqu’en 1955, la mairie était située rue du Relais. L’édifice qui comportait également l’école publique était un bâtiment à deux niveaux, probablement construit en terre en 1895. Il a aujourd'hui laissé place à un immeuble. En 1955, la mairie déménagea rue du Centre, dans un bâtiment à l'architecture typique de l'immédiat après-guerre, construit avec des matériaux modernes. Cette mairie servait également de poste. 26 ans plus tard, en 1981, une toute nouvelle mairie est construite rue du Prieuré. Elle sera en activité jusqu’en 2015 avec la création de la nouvelle et actuelle mairie.Les écolesLe bourg actuel comporte deux écoles. L’école privée du Sacré-Coeur, construite en 1933, située rue de la Prouverie. Il s’agit d’une construction en poudingue avec une extension plus récente en parpaing et béton. Ecole des filles à l'origine, elle devient mixte en 1965. La deuxième école est l’école primaire publique Jacques Prévert construite en 1981. En plus de celles-ci, nous savons qu’il y eu d’autres écoles à Saint-Gilles. Au nord de l’église tout d’abord. Elle aurait été construite en 1830 et était tenue par des religieuses. La cour de récréation, le préau et le bâtiment principal étaient entourés d’un mur d’enceinte. Ces éléments ont aujourd’hui totalement disparus, seuls les plans conservés aux archives municipales, ainsi que d’anciennes photos, témoignent de son existence. Enfin, il existait également une école publique, située dans le même bâtiment que la mairie rue du Relais, construit en 1895.Les anciennes halles :Le bourg de Saint-Gilles comportait des halles. Celles-ci sont visibles sur le cadastre ancien de 1829, elles étaient situées tout près de la place de l’église. En 1631, le roi Louis XIII avait accordé au seigneur de Saint-Gilles, René de Montbourcher, de tenir un marché chaque semaine, ainsi que deux foires annuelles. Après avoir servi de grange, elles ont aujourd’hui disparu, laissant place à un pavillon d’habitation. Le bourg de Saint-Gilles s'est construit autour de deux pôles : l'un religieux et l'autre économique.La première mention la paroisse de Saint Gilles apparait en 1152 dans le cartulaire de l’abbaye de Saint Mélaine de Rennes. L'église et le prieuré sont construits au croisement de deux chemins. Ils sont placés sous la protection d'une motte castrale à 800 m au sud-ouest, au lieu-dit actuel de La Porte. Au 18e siècle, l'axe nord-sud croise la voie royale aménagée à partir de 1720 et reprenant un axe déjà existant. L'augmentation de la fréquentation de la voie encourage l'implantation de commerce, telle que la maison dite de la Forge, construite au plus tard au 18e siècle et détruite vers 1975. Le faux-bourg de la Forge se développe au fil des siècles. Il est séparé de quelques centaines de mètre de l'église. Le bourg se développe au 19e siècle grâce à une nouvelle augmentation de la fréquentation de l'ancienne route royale, qui devient la Route Nationale 12. La rue du Centre est construite à l'ouest jusqu'à l'église. Cependant, le prieuré qui possède des terrains cultivables au nord de l'église forme une séparation physique entre le faux-bourg et l'église. Des maisons à boutiques et des maisons de rapport se construisent au carrefour de l'église. Les maisons bourgeoises se concentrent à l'est de l'église, près de l'ancienne mairie-école (rue du Relais). Ce n'est qu'après la première guerre mondiale que les terrains au nord de l'église se construisent avec notamment l'une des écoles, détruite dans les années 1980.
Auteur(s) du descriptif : Service régional de l'Inventaire de Bretagne

Par : L'inventaire du patrimoine

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