Femmes au travail en Bretagne

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Marchande de legumes de Langueux, pres Saint Brieu

Par : Dastum

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Dentellières au travail
Dentellières au travail devant leur étalage, place Saint Guillaume

Par : Archives municipales de Sa

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1 femme assise en costume breton tenant un bébé et

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Travail du maquereau
Conserveries Paul Chacun. Les différentes étapes du travail des femmes pour le conditionnement des maquereaux : les maquereaux frais sont posés sur le tapis roulant pour être découpés. Après les avoir étêtés, ils sont vidés de leurs viscères puis nettoyés. Ils sont ensuite placés dans des caisses, qui seront empilées les unes sur les autres pour être plongées dans un grand bain. Les maquereaux cuits sont ensuite ré-acheminés dans l'usine. Préparation des aromates : citrons, oignons, cornichons.... Les femmes disposent les feuilles de laurier, le poivre, les tranches de citrons et de carottes dans les boites. Ouverture et décorticage des poissons cuits, puis découpe des morceaux avec de grands ciseaux pour la mise en boite. De nombreuses femmes portent la coiffe du Pays Bigouden. Les boites sont ensuite remplies d'un liquide, probablement du vin blanc, puis serties et plongées dans l'autoclave pour la stérilisation. Vue des conserves en sortie des différentes machines puis de bacs remplis de boites. Vérification puis mise en carton des boites pour la commercialisation. Mur de cartons empilés. À l'aide d'un transpalette, chargement de cartons dans un camion qui quitte la conserverie.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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. 570, Femme de Plougastel-Daoulas : [carte postal
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Carte postale

Par : Yroise - bibliothèque numé

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Chez nos rebouteurs La décompteuse du Pouldu
Clohars-Carnoët.- Une rebouteuse soigne une jeune fille. En arrière-plan, une fontaine sculptée.. Date : 20e siècle, début. Fonds : Cartes postales

Par : Archives départementales d

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Les enfants avec une domestique
Sujet représenté : portrait collectif (jardin ; cour ; chien ; pelle ; tablier ; fichu ; femme ; cerceau ; chapeau ; robe ; fillette ; portail) - N° d'inventaire : DOC 992.13.459 ; R992.13.459

Par : Musée d'Art et d'Histoire

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Fabrication du paté "Beg-Avel"
Travail dans l'usine de transformation (quartier Quilbignon de Brest-Saint Pierre). La viande de porc est débitée. Deux femmes nettoient les boîtes de conserve à la brosse tandis qu'une troisième pose les étiquettes à la main. Les ouvrières remplissent les boîtes à la main. Chaîne de fabrication. Un enfant répète les gestes des grands. Louis Marc : patron de l'usine "Beg-Avel"

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Joséphine Pencalet, une pionnière
Portrait de Joséphine Pencalet, ouvrière de conserverie à Douarnenez et première femme élue en Bretagne, comme en France, au suffrage masculin dit « universel ».

Par : Bretagne et diversité

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Cigarières sont des commères... ou la Manu (Les)
Film réalisé avec le Musée des Jacobins à Morlaix. "La Manu" est pour la ville de Morlaix un phénomène économique et social. L'histoire de cette Manufacture des Tabacs nous est racontée par des ouvrières et illustrée par des photos d'archives et des cartes postales anciennes. Elles nous font partager cette vie d'usine et comprendre l'évolution des conditions de travail. Le film est précédé de "Sauvons l'Odet" (fiche n°20185).

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Les salariés face à la crise des industries agroal
Table-ronde Les salariés face à la crise des industries agroalimentaires bretonnes , avec : Isabelle GUÉGUEN, Co-dirigeante de la SCOP Perfégal, chargée d’une mission d’accompagnement des salariées licenciées du Groupe Doux Anne GUILLOU, Professeure de sociologie, Université de Bretagne Occidentale Annaïck MORVAN, Directrice régionale aux droits des femmes et à l’égalité Femmes/Hommes, Préfecture de Région Bretagne Olivier LE BRAS, Ex-délégué syndical des abattoirs Gad Anne PATAULT, Vice-présidente de la Région Bretagne, chargée de l’égalité et de l’innovation sociale

Par : L'aire d'u

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MORLAIX.- Place des Jacobins, le Marché
Morlaix.- Le marché place des Jacobins, avec des vendeuses d'oignons au premier plan.. Date : 20e siècle, début. Fonds : Cartes postales

Par : Archives départementales d

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. 6055, Bébé et nourrice : [carte postale]
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Carte postale

Par : Yroise - bibliothèque numé

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Pardon de Sainte Anne la Palue, les marchandes de

Par : Dastum

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Marchande de complaintes et de chansons populaires
Précision sur les personnes représentées : Kastellin, Mari (chant)

Par : Dastum

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Les chevalières de la table ronde
50 ans de luttes pour les droits des femmes racontées par celles qui se sont battues. Aujourd’hui, elles ont entre 60 et 85 ans, l’âge de partir disent-les plus anciennes, et avant de partir elles ont à dire… beaucoup : leur vie de femmes, de mères, d’épouses, de féministes, de militantes. Les souvenirs font pétiller les pupilles, les opinions sont toujours bien trempées, pas de concession à vingt ou quatre-vingt ans : mon corps m’appartient !

Par : Bretagne et diversité

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Au maille
Hommes et femmes, qui ont trimé dans les ateliers de l'Arsenal, à Brest aux Capucins, racontent leur quotidien : apprentissage, machines, amitiés, grèves, travail, fierté...

Par : Bretagne et diversité

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Madalen an Amour
Décembre 1998 - Madalen an Amour vient de sortir un nouveau livre en breton intitulé "Bugale Kerugan" (les enfants de Kerugan) qui raconte des souvenirs d'enfance dans la campagne trégorroise. Madalen n'a pas toujours été écrivaine, loin de là. Elle a exercé de nombreux métiers dont institutrice à ses débuts et employée à LTT pendant 20 ans. Madalen, a accepté de recevoir chez elle des élèves de classe bilingue, Gwladys, Klervi et Nolwenn, qui avaient préparé un lot de questions à lui poser. Et avec une grande gentillesse, elle a répondu à toutes ces questions, tout cela en breton, bien sûr (sous-titré, bien entendu) ...

Par : TV Trégor

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Outil de pêche : have à chevlin
La have à chevlin mesure 377 cm de longueur hors tout et 240 cm d'ouverture. Elle est confectionnée dans un textile très fin, comme de la tulle de rideau. Elle est tendue et étirée par deux quenouilles en bois (155 cm de long). Elle se présente comme un cul de chalut, avec un gousson cylindrique de 122 cm de profondeur, qui s'élargit au centre de la have (45 cm de large), dont les ailes s'ouvrent sur une largeur d'environ 180 cm (gueule de la have). Une ralingue garnie de plomb permet de maintenir la have au sol, pour "songner" dans les gués.Dans son rapport d'inspection des pêches à Saint-Jacut en 1726, l'inspecteur Le Masson du Parc, évoque le "droit exigé pour permettre la pêche au chevron", en parlant des "Jaguennes" : Elles font cette petite pêche dans la rivière du Guildo. Pour la leur permettre, le fermier du seigneur du Guildo exige des pêcheurs 3 à 4 livres par bateau, pour la saison de la pêche, ce qui ne se pratique que depuis 25 à 30 ans au plus, ainsi que les pêcheurs et les notables nous l'ont certifié publiquement. Dans son rapport, Le Masson du Parc décrit la have à chevlin semblable à celle utilisée par les chevrinouères, jusqu'en 1950. Ce qui tendrait à prouver que cet outil de pêche date de plus de 300 ans.Selon le témoignage des Jaguens, les chevrinouères étaient très indépendantes et travaillaient en équipe de deux femmes, par affinité, en baie d'Arguenon et de Lancieux. Elles étaient souvent liés à un seul marin pêcheur à qui elles fournissaient la boëtte nécessaire broyée dans une auge en pierre (chevlin, mnuse, coques crues, appelées rigadaux ou guergoselles, pieds de couteaux, appelés mançots, ou petits crabes verts, appelés catacots). Les femmes tendaient la "quenouille", c'est à dire les deux bois, qu'elles piquaient dans la vase, en attendant que le courant descende, pour seugner ou songner, pour recueillir dans le filet le menu chevlin (frai de crevette grise) ou d'autres petits poissons dans leur applet. Les "coquères" descendaient travailler sur les "banches du baie", le panier au bras et la "pouche" aux coques roulée sur les reins avec une écharpe, un cotillon ou deux sur les fesses, un large paletot de grosse toile sur le dos et le ciré sans capuchon. Pieds nus ou équipées de vieilles galoches usées, des "claques", de mauvaises sandales, elles devaient remplir leurs mannequins de coques (30 kg par mannequin), en "pilotant", c'est à dire en martelant le sol, pour faire remonter les coques et les ramasser ensuite à la main. Il fallait ensuite dégrèver, franchir le gué à marée montante pour revenir à la cale de la Banche. En 1914, elles étaient une trentaine de tous âges à pratiquer ce métier. Parfois, les hommes pouvaient pratiquer ce métier comme le 'père Hyacinthe', à la fin du 19ème siècle. La have à chevlin étudiée a été reconstituée par Michel Duédal (ancien syndic des gens de mer) vers 1970. Cette pêche a disparu dans les années 1950 en raison du changement de technique pour pêcher le maquereau à la ligne traînante.
Auteur(s) du descriptif : Prigent Guy

Par : L'inventaire du patrimoine

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Réparation du filet de pêche

Par : Diocèse de Quimper et Léon

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Maudite conciliation ! : Les inégalités de genre f
Conférence Maudite conciliation ! : Les inégalités de genre face au temps de travail donnée par Rachel SILVERA, Economiste, maîtresse de conférences, Université Paris Ouest Nanterre-La Défense / Co-directrice du Réseau de recherche international et pluridisciplinaire «Marché du travail et genre» (MAGE)

Par : L'aire d'u

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Crises économiques, migrations féminines et nouvel
Conférence Crises économiques, migrations féminines et nouvelles formes de domesticités donnée par Caroline IBOS, Politiste, Maîtresse de conférences, Université Rennes 2 / Laboratoire d’études de genre et de sexualité (LEGS

Par : L'aire d'u

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Couturières, départ pour Beg-Meil (Les)
Couturières réparent les voiles en bord de mer. Dériveurs légers en navigation, caméra embarquée à bord des bateaux. Un bateau tire des dériveurs avec des enfants à bord.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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12/3/24, Bois de Boulogne [nourrices bretonnes prè

Par : Gallica

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Plaque commémorative de la pêcheuse jaguine
Plaque en bronze avec décor en relief représentant une pêcheuse de coques avec son râteau, signée de Poiron, avec l'inscription suivante : Elles aussi ont fait l'histoire de Saint-Jacut. Cette plaque est apposée sur un mur en granite. L'oeuvre commémorative est située devant la plage de la Banche, au dessus de la cale de Béchet.Cette plaque commémorative, réalisée en décembre 2003, par Poiron (atelier BBC), rappelle l'économie vivrière de la pêche à pied, en particulier le travail des femmes à la grève, coquères (pêcheuses de coques), chevrinouères (pêcheuse de chevlin ou chevrin), mancouétères (pêcheuses de mançots ou pieds de couteaux), sans oublier celles qui pêchent des panerées de menuse, de buée et de lançonnets, pour l'affare. Leurs patronymes et leurs surnoms sont conservés dans la mémoire locale grâce au témoignage oral de ceux qui les ont connues : la "Vieille Margot", Marie-Rose Goasdoué, pêcheuse de coques, "La Grande Blochette", Joséphine Touze chevrinouère et Françoise Pilard (née en 1920), dernière pêcheuse à pied de Saint-Jacut.Les pêcheuses de coques fréquentaient en particulier les "banches du baie" entre Saint-Jacut et Le Guildo, qu'elles descendaient au "Tourillon", en groupes ou par affinités. Elles devaient traverser l'Arguenon (appelée 'la rivière') parfois en crue dans les gués. La pêche se vendait au mannequin, contenant une trentaine de kg, qu'elles devaient porter sur le dos (parfois deux sacs) et ramener jusqu'à la cale de la Banche, après 4 heures de pêche. Les Jaguines pêchent de jour comme de nuit, songnant le chevlin pour alimenter en affare les bâts (bateaux) qui "faisaient" le maquereau. Le "journal parlé des Banches du Bay" était alimenté par les conversations des chevrinouères et des coquères.En 1914, selon le témoignage de Jean-Baptiste Lemoine, elles étaient encore une trentaine de tous âges à pratiquer cet impitoyable métier, même des femmes enceintes jusqu'à sous les bras.Les mareyeuses, nombreuses à Saint-Jacut, faisaient le commerce des coquillages et des poissons, comme Jacques et Rose Carré, qui utilisaient un âne pour transporter leur 'poissonnerie'.
Auteur(s) du descriptif : Prigent Guy

Par : L'inventaire du patrimoine

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Une marchande de "souvenirs" en coquillages à Canc
Numérisation : Archimaine - 2021

Par : Les tablettes rennaises

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