Le patrimoine de Landerneau

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Cercles et fêtes en Bretagne
(NB) Fête de Cornouaille à Quimper, défilé des participants sur les quais devant l'évêché, cercles celtiques et bagadou, certains musiciens portent le kabig, quartier du Cap-Horn avec la vedette de l'Odet à quai, spectacle de danse place de la Résistance. (Coul) Suite des danses bretonnes (court). (NB) Pardon de Penhors (?), danses bretonnes, chants, lutte bretonne. Ferme et paysages bucoliques avec ruisseau. Morlaix (passage du train sur le viaduc), église et calvaire de Guimiliau, Lampaul, Landerneau et son pont habité, panneau "Abbaye de Daoulas", Abbaye de Daoulas et son cloître, promeneurs, Plougastel-Daoulas : son calvaire, Pont Albert Louppe et ses femmes en coiffe, pont Albert Louppe avec la ville de Brest au loin, Brest, pont de Térénez, Tréguier, Perros-Guirec, Ploumanac'h.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Du bruit dans Landerneau : à propos de chansons (
"Du bruit dans Landerneau" par l'abbé Antoine Favé

Par : Médiathèques de Quimper Br

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Fête des reines
Fête des Reines à Quimper en 1926 puis le 22/07/28 : danses traditionnelles au parc municipal devant une foule de spectateurs (caméra très éloignée et images surex) puis défilé des musiciens, des reines, des chevaux de trait, de la duchesse Anne de Bretagne sur un cheval et des personnalités (à identifier) dans une rue de Quimper ; le personnel du rayon parapluie, différentes saynètes sur la plage (images de mauvaise qualité) ; Noce de Louis et retour 27/10/28 ; La côte à Plougonvelin (le Danou), scènes de plage au Trez Hir ; Pointe Saint Mathieu juin 1928 ; Le Conquet, bénédiction de la mer 1928 ; Corso fleuri à Landerneau 1928 ; Corso de Douarnenez 1936 ; Championnat de football Landerneau/Concarneau (finale) le 04/03/28 ; Beg-Meil 1927/28 et 30 ; Le Pouldu juillet 1928 ; les Grands Sables Doëlan. Bénédiction de la mer.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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De Landerneau à Quimper
CARNET DE NOTES D'UN TOURISTE A TRAVERS LA BRETAGNE de René Arcy-Hennery 1928 - n&b - 5 épisodes de 10' chacun environ René Arcy-Hennery, opérateur professionnel, parcours la Bretagne en 1928, de Dinan à Quiberon. Il saisit un univers social préservé à peine changé par la guerre 14-18 mais qui sera effacé par les bouleversements économiques, structurels et industriels qui succéderont à la 2e guerre mondiale. À travers ses cartes postales animées : paysages bucoliques, lavandières, scènes quotidiennes ou de marché, il nous fait découvrir une Bretagne d'un autre siècle, de la fin du XIXe, du début du XXe.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Bréviaire de Landerneau
Manuscrit sur vélin, texte en deux colonnes, lettrines rouges, bleues, noires. Petit in 8° : 11,5 x 15 cm. Date approximative.

Bibliographie :

Bulletin et mémoires de la Société archéologique du département d'Ille et Vilaine, tome XXV, Rennes 1906, p. 141-144, n°55 : "Bréviaire de Landerneau du XVè siècle", par M. l'Abbé F. Duine.

François-Marie Duine, Inventaire liturgique de l'hagiographie bretonne, Paris, librairie ancienne Honoré Champion, 1922, 291 p. (La Bretagne et les pays celtiques, n° XVI) .
Extrait du Bulletin de la Société archéologique d'Ille-et-Vilaine, T. XLIX. Cf. p. 211 : CCXCIV, "Bréviaire manuscrit de Landerneau".

Bernard Merdrignac, « L'Espace et le Sacré dans les leçons de bréviaires de l'Ouest armoricain consacrées aux saints bretons (XVe-XVIe siècles) », dans Annales de Bretagne et des pays de l'Ouest, vol. 90, 1983, p. 273-293.

Dossier constitué par M. le Chanoine Peyron, aux archives de l'évêché à Quimper à la cote 2 Z 401 (partiellement numérisé).
Transcription de la partie "Propre des saints" du Bréviaire de Landerneau par M. le Chanoine Jean-François Falc'hun, Dirinon, 1987, aux archives de l'évêché à Quimper à la cote 83 Z 28 .

Par : Diocèse de Quimper et Léon

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Huit jours en Bretagne
En août 1939, la famille Grégoire part en vacances de Liège (Belgique) pour faire le tour de la Bretagne du Mont-Saint-Michel à Vannes. Il utilise à cette occasion le tout récent film couleur Kodachrome. Marcel Grégoire (1905-1986) était commerçant en matériel cinématographique à Liège, et participait activement aux activités de CINEAL, le club des cinéastes amateurs de la ville. Il a réalisé une cinquantaine de films, essentiellement familiaux, souvent des saynètes de fiction.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Observations des députés du pays de Léon et de la

Par : Gallica

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Notice historique sur la ville de Landerneau (2e é

Par : Gallica

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Fenêtre d'une vieille maison du Pont : [carte post
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Carte postale

Par : Yroise - bibliothèque numé

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La Société Linière du Finistère
La Société Linière du Finistère s'étendait sur environ 16 hectares à la sortie est de la ville. Le site comprenait des bâtiments et un étang de retenue (environ 6 ha).Le mémoire établi lors de la liquidation des biens de la Société, en date du 25 janvier 1892, nous en donne une description précise. Le site comporte plusieurs bâtiments, dont les descriptifs et dimensions sont indiqués en annexe dans la transcription du document, conservé aux archives départementales du Finistère sous la cote 7 M 247.Trois ensembles de bâtiments sont encore visibles actuellement sur le site, chacun étant dans un état plus ou moins bien préservé. Ces ensembles architecturaux sont partagés entre deux types de matériaux : la pierre et la brique.La Peignerie et le scutcher. La Peignerie est un bâtiment de forme rectangulaire et longitudinale (n°33 sur le plan). Il est constitué de pierres ainsi que de briques pour l’encadrement de la porte. L’élévation se fait sur deux niveaux, avec un rez-de-chaussée et un premier étage, et un toit en éverite. Le long du rez-de-chaussée de la Peignerie se trouve, complètement accolé, le bâtiment nommé « scutcher » (n°34 sur le plan) qui n’a qu’un niveau et dont le toit est manquant. Le nom de ce bâtiment provient de l'anglais scutching-machine (teilleuse) et qui était aussi appelé "moulin irlandais" ; la mention "scotcher" se retrouve aussi, cependant ce n'est qu'une déformation du mot d'origine. L’ensemble général des bâtiments est délabré, la végétation est plutôt dominante. Côté rivière, des latrines en brique et un accès par un escalier qui donne directement sur la rivière sont à noter. De plus, des vestiges d’une passerelle qui passait par-dessus l’Elorn sont encore visibles. Ajoutons à cela, que deux "roues" ou "meules à chanvre" ont été retrouvées sur le site, dans une propriété privée. Toutes deux en granite, elles mesurent 2 mètres de diamètre pour 50 centimètres d'épaisseur, et elles pèsent dans les 4 tonnes.Les magasins liniers. Le deuxième ensemble de bâtiments encore préservé est celui qui est en bordure de route, dans la rue des Écossais. Sur l’ensemble actuel, ce sont au moins deux bâtiments d’origine qui sont accolés, chacun s’élevant sur deux niveaux : l’habitation-bureaux pour le premier (n°20 sur le plan) et les magasins de lins et fils au rez-de-chaussée du second du bâtiment (n°21 sur le plan), avec au premier étage les marchands et les outils. Ils forment ainsi un ensemble longitudinal à multiples travées. L’encadrement est de pierre pour la porte principale et de brique pour la secondaire, et les fenêtres sont encadrées de béton.La blanchisserie. Enfin, construite le long de l’Elorn, se trouve l’ancienne blanchisserie (n°2A sur le plan). L’état actuel de ce bâtiment laisse voir deux affectations différentes qui se sont succédées dans le temps et qui se retrouvent dans le choix des matériaux encore visibles dans la structure en ruine. En effet, dans un premier temps se trouvait la blanchisserie qui était constituée de pierre et s’élevait sur deux niveaux : la blanchisserie en elle-même au rez-de-chaussée et le séchoir à l’air libre au premier étage. Aujourd’hui, les parties architecturales de la blanchisserie ne sont qu’apparentes par le matériau (la pierre) et par l’élévation marquée par les huit piliers qui subsistent, tandis que le toit, lui, a disparu. La blanchisserie reste visible de loin grâce aux trois pignons restants côté ouest et qui devaient marquer les trois vaisseaux composants de la structure (voir ill. « Ancienne filature » pour visualiser une comparaison). Et dans un second temps, la briqueterie a investit les lieux de l’ancienne blanchisserie. Les vestiges que nous pouvons observer imbriquent alors à la fois celles de la blanchisserie et celles de la briqueterie, distinguables par leur principal matériau de construction (respectivement la pierre et la brique).La manufacture du Léon qui fabriquait les Crées, ces toiles de lin qui étaient exportées par les ports de Landerneau et Morlaix, était « gérée » par les négociants (Heuzé, Radiguet, Homon, Goury, Le Roux), souvent également armateurs de ces deux villes.Dans un premier temps (début du XXe siècle) ils ont organisé le tissage en ateliers, comme celui installé au couvent des Capucins, où, en 1820, 160 métiers environ tissaient le lin, le coton, les siamoises de couleur, le linge de table mais principalement des toiles à carreaux, fil bleu d’épreuve, façon de Bruges et de Lille.Si les premières étapes de la transformation de la fibre ne pouvaient se faire que manuellement, ils ont souhaité prendre modèle sur les Anglo-saxons, en avance sur la mécanisation, pour le filage et le tissage. C’est ainsi que peu à peu ils ont opté pour l’installation d’une usine pour produire de la toile en quantité et en qualité capable de répondre au cahier des charges de la Marine. Le lieu d’implantation a été choisi en fonction de l’énergie nécessaire au fonctionnement des machines, en l’occurrence, à l’est de la ville sur les bords de l’Elorn afin de profiter de la force hydraulique de la rivière.Ils déposent les statuts de la Société Linière le 22 août 1845 (voir en annexe), avec comme associés (qui seront, pour certains, suivit par leur fils) René Poisson (1768-1854) ; Joseph et Charles Goury (1779-1869/1815-1885) ; Jean-Isidore Radiguet (1792-1862) ; François et Gustave Heuzé (1789-1852/1821-1898) ; Guillaume et Albert Le Roux (1794-1868/1836-1912).Les machines sont achetées pour la plupart en Irlande. Le personnel est recruté sur place mais la Société Linière attire également des ouvriers d'autres communes finistériennes (Plounéour-Ménez, Commana...) et d’autres pays de tisserands, tel que les Côtes d’Armor. Afin de former et d'encadrer les ouvriers bretons, les négociants pré-cités font venir des contre-maîtres et ouvriers spécialisés Écossais.Ceux-ci forment alors une véritable communauté, ont leur pasteur, leur école dans le « quartier des Écossais ». Les bâtiments d'habitation des contre-maîtres sont toujours visibles près de la voie ferrée.L'apport des actionnaires dans la société est constitué principalement de blanchisseries ou d'ateliers de tissage répartis sur un territoire qui va de Landerneau à Ploudiry, Landivisiau, Saint-Sauveur, Commana, Plourin. D'autres ateliers de tissage ont été construits et mis en œuvre ultérieurement (Guimillau).Le principal client de la Société sont la Marine Royale qui passe commande pour des toiles à voile, vareuses, chemises, pantalons et manches à eau, et I‘Administration de la Guerre pour laquelle elle fabrique des toiles « à tentes de soldats et d’officiers », ainsi que pour les sacs de campement.Le lin n’est pas acheté sur pied, l'ensemble des essais de rouissage industriel ayant échoué, la Société achète le lin roui qu’elle stocke au couvent des Capucins, stockage qui devient le rôle principal de la communauté après la construction des nouveaux bâtiments de la filature à I‘entrée de la ville (1847). C’est aussi au couvent des Capucins que se font I'emballage et I‘empaquetage des fils et toiles, le marquage, la couture ; pour cela, la Société emploie une soixantaine d’ouvriers.L'arrivée de la Marine à vapeur entraînant la perte du marché de la Marine et la difficulté d'un approvisionnement homogène, vont, entre autres, conduire à la fermeture de la Société Linière du Finistère en 1891. Après la liquidation, les bâtiments sont repris par la Grande Briqueterie.Aujourd'hui, ils sont encore partiellement visibles, certains dans un état de délabrement avancé car situés en zone inondable.
Auteur(s) du descriptif : Le Gall-Sanquer Andrée

Par : L'inventaire du patrimoine

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Maison du 17e siècle, place Toul-Coq (Landerneau)

Par : L'inventaire du patrimoine

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Maison dite de Notre-Dame-de-Rumengol, 3 rue Saint

Par : L'inventaire du patrimoine

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La SCNF porte plainte contre les légumiers bretons
La SNCF porte plainte contre des agriculteurs bretons qui ont saccagé des gares dans le Nord Finistère. Cela a entraîné des perturbations dans le trafic. Les légumiers réclament une aide de l'Etat pour faire face à la baisse du cours du chou-fleur.

Par : INA

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L'aventure d'Edouard Leclerc
Depuis 8 ans, grâce à l'expérience menée par Edouard Leclerc, le coût de la vie à Landerneau, dans le Finistère, est en baisse. Avec le soutien de sa femme, et contre l'avis de tous, il affiche des prix défiant toute concurrence dans son épicerie.

Par : INA

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Al labour-douar biologik [La culture biologique]
Mont a ra doareoù al labour-douar biolojik, war ziorroiñ e Breizh, a-enep krenn da voazioù modern al labour-douar. [Les méthodes de l'agriculture biologique, minoritaire mais en développement, vont à l'encontre des réalités de l'agriculture moderne et productiviste.]

Par : INA

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Landerneau : maréchal-ferrant : ferronnier d'art
Visite chez le maréchal ferrant, qui présente son métier, pose un fer à un cheval. Il s'occupe des fers d'une écurie de course, ce sont des fers sur mesure. Comme son métier tend à disparaître, il fait désormais de la ferronnerie d'art.

Par : INA

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Fête du Cheval à Landerneau
Démonstration équestre à Landerneau (Colonel Jousseaume sur Arpagon), danses (danseuse étoile de l'opéra Solange Schwartz) à Landerneau, Plymouth (à l'occasion d'un transport de fraises de Plougastel), base sous marine de Brest (Jean Bart ?), Plougastel, les fraises, démonstration équestre militaire à Landerneau (ralenti), danses, pardon à Plougastel (sous-ex).

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Eglise Saint-Thomas de Cantorbéry, XVie Siècle : [
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Carte postale

Par : Yroise - bibliothèque numé

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Les Vieilles Maisons du Pont de l'Elorn : [carte p
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Carte postale

Par : Yroise - bibliothèque numé

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