Croix et calvaires de Bretagne

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calvaire au bord de la mer

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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calvaire au-dessus d’un buisson

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Loyat - Calvaire
Calvaire partie Ht

Par : Dastum

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Le calvaire devant l’église de Saint-Cado

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Croix de chemin
Cette croix de chemin est en bois. Les branches de la croix sont sculptées.Cette croix est mentionnée sur le cadastre napoléonien de 1827. Elle date donc du premier quart du 19e siècle.
Auteur(s) du descriptif : Hue Vanessa

Par : L'inventaire du patrimoine

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Paire 1 de croix de procession, dites croix des co

Par : L'inventaire du patrimoine

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Kroazioù Plougastell [Les croix de Plougastel]
Lucien Cras, eus Plogastell-Daoulas, a sav renabl ar c'hroazioù e kaver war ar gumun ha kont mojenn Kroaz ar vosenn ouzh mikro Daniel Jekel. [Au micro de Daniel Jequel, Lucien Cras, de Plougastel-Daoulas, évoque les nombreuses croix érigées sur la commune et raconte la légende de "la croix de la peste".]

Par : INA

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Finistère. , Intérieur d'église : [Plaque de veras
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Vue stéréoscopique

Par : Yroise - bibliothèque numé

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Palmarès du Petit séminaire de Pont-Croix 1883-190

Par : Diocèse de Quimper et Léon

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Balade à Trégastel
Pour les amateurs de sites naturels, de patrimoine religieux, voici quelques suggestions de randonnées à effectuer sur Trégastel... Calvaire Bouget - Trégastel bourg Cet édifice, à l'aspect original, a été édifié en 1872, à l'initiative du recteur Bouget. Au bas du calvaire, se trouve une chapelle-crypte dédiée à Notre-Dame de Pitié. Situation : le calvaire Bouget se trouve à environ 300 mètres au sud du bourg de Trégastel, en bordure de la route menant à Lannion. Château de Costaéres Le château de Costaéres, perché sur son île, uniquement accessible à marée basse. C'est là que Henryk Sienkiewicz acheva son roman Quo Vadis, qui a obtenu en 1905 le prix Nobel. D'ailleurs, le château se fait souvent appeler, depuis, « château de Quo Vadis » Grâce à son originalité, il est aujourd'hui l'emblème de la côte de Granit Rose. Le château ne peut pas être visité. Situation : l'île de Costaéres est située au large de la petite plage de Saint-Guirec, dans le village de Ploumanac'h (Perros-Guirec).

Par : TV Trégor

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Croix (grandeur nature)

Par : L'inventaire du patrimoine

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Cartulaire de l'abbaye de Sainte-Croix de Quimperl

Par : Gallica

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Lourdes
Pèlerinage à Lourdes, avec des amis : vue de Lourdes, balade en montagne, vues intéressantes sur des malades qui veulent bien croire au miracle (paralysés...). Procession passe devant une assemblée de chaises roulantes (ancien modèle). Un procession menée par Mgr Roques et le chemin de croix.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Pardon de Saint-Jean-du-Doigt
Sujet représenté : scène (pardon ; bannière de procession ; fumée ; feu ; Christ en croix ; couronne ; robe ; fillette ; casquette ; canotier ; costume ; homme ; coiffe ; chapeau ; femme ; foule) - N° d'inventaire : DOC 992.13.125 ; R992.13.125

Par : Musée d'Art et d'Histoire

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Coupures de journaux IV , octobre 1927 - mai 1928
Coupures de presse datées d'octobre 1927 à mai 1928, collées dans un cahier d'écolier. Articles issus de la Dépêche de Brest, du Petit Breton, de La Croix et autres journaux. De nombreux articles sont de François Ménez, Auguste Dupouy, Anatole Le Braz ou encore Charles Chassé. Revue de presse vraisemblablement réalisée par Louis Le Guennec.

Par : Médiathèques de Quimper Br

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Vivre en Bretagne - de Jean V à la Duchesse Anne
La mer, le sel, le vin. La terre. Les métiers de la ville. Des échanges à échelle modeste, mais une expansion marquée. La masse des paysans, une abondante petite noblesse, une aristocratie très puissante. Autant de notes concrètes, quotidiennes, que le film ordonne et insère dans une culture –exclusivement en breton pour la moitié de la population- dominée par la religion, par la très grande importance de la vie paroissiale, le culte des saints, les pèlerinages. L’Eglise y enseigne par l’image, celle des calvaires comme à Tronoën, celle des jubés comme à Saint-Fiacre du Faouët, celle des fresques comme à la chapelle de Kermaria en Plouha. Danse macabre, crainte de l’Enfer… La Bretagne du XVe siècle est celle de l’éclat de la puissance ducale (qu’a présentée un premier film, l’Etat breton de Jean V à la Duchesse Anne), celle d’une réelle prospérité économique, celle d’une paisible religion quotidienne, mais aussi une Bretagne de misère, de souffrance et de peurs.

Par : L'aire d'u

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L'Echo Râleur aux Rencontres Trans Musicales de Re
Ils sont environ 60 choraleurs sans-culotte issus de la Mano Negra, des Bernadette Soubirou, des Endimanchés, des Chihuahua, des Satellites et autres Négresses Vertes qui chantent à capella. Alternatifs, ils sont passés par les terrains vagues et les pelouses interdites pour crier (chanter) haut et fort avec un aplomb de tous les diables. Ils sont à leur actif un album Sang Neuf en 89 avec les meilleurs groupes de la scène indépendante française. Une création inspirée de la Révolution qui remet à flot l'immortelle Carmagnole II y a eu les Petits Chanteurs à la Croix de Bois, aujourd'hui on a des petits keupons à la pêche d'enfer.

Par : Association Trans Musicale

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Carte peinte : le Miroir du Monde
La carte du Jugement ou Seconde carte Imago mundi (la première carte Imago mundi, qui a disparu, était destinée aux étudiants), présente les mêmes caractéristiques et le même discours d’ensemble que la carte de la Croix. Elle se lit également de bas en haut. Deux personnages, un pauvre artisan et un homme de qualité, demandent conseil sur leur vocation à un religieux, un prêtre séculier et à un laïc, tous les trois bien âgés. Au-dessus, on aperçoit deux portes, à gauche celle des artisans, et à droite celle « de l’honneur mondain », qui ouvrent sur de grands cercles. Certains détails sont très proches de nos « bandes dessinées ». On y voit des scènes du quotidien : le paysan cultivant son jardin, un homme qui pêche, un magistrat qui rend la justice, des joueurs de biniou… Cette Seconde carte Imago mundi ou carte du Jugement offre elle-aussi plusieurs niveaux de lecture en fonction de la culture des personnes qui la regardent, ce qui tout à fait est caractéristique du souci d’adaptation de dom Michel à des publics différents. Chaque personnage, chaque scène de cette carte étaient commentés et expliqués par dom Michel et ses disciples, pour monter les dangers de la vie dans le monde. Le salut y est possible mais il y est cependant plus difficile, tant est dangereux le monde ici-bas.

Par : Diocèse de Quimper et Léon

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Ancienne abbaye de cisterciens, Le Relecq (Plounéo
Traduction de l'inscription en latin gravée sur une pierre encastrée dans le le mur nord du bras du transept nord : "Aux frais du monastère et par les soins du curé et archimandrite Jean-Baptiste [Moreau] sont réparés, agrandis et décorés les bâtiments en mauvais état, 1691".L´abbaye cistercienne est fondée en 1132. De l´ensemble des bâtiments conventuels, seule l´église dédiée à Notre-Dame, la sacristie et quelques vestiges de l'ancienne salle capitulaire subsistent en élévation. L´église conserve des éléments importants du 12e siècle (plan en croix latine, nef centrale séparées des bas-côtés par des arcades et colonnes à chapiteaux portant un décor sculpté géométrique). Les chapelles absidiales ont été modifiées au 13e siècle et percées de nouvelles baies ; l´ancienne salle capitulaire et vraisemblablement le cloître remontaient à cette époque. La pierre sculptée, posée à gauche de la porte ouest, fiigure, présentée par deux lions, des armoiries qui pourraient être celles de l'abbé Guillaume Poulart mort en 1384. Jusqu'au 14e siècle, l'édifice était, probablement dans sa totalité, voûté en pierre dont une partie, au moins le mur sud du bras sud du transept et peut-être le bas-côté sud, s'effondre.Des modifications notables ont eu lieu sous l´abbatiat de Guillaume Le Golès (ou Goalès, ou Le Goalès de Mézaubran), en charge de l´abbaye entre 1462 et 1472 dont le percement de nouvelles baies dans le bas-côté sud. Chevet, pignon du bras sud et baies sud refaits à la fin du 15e ou au début du 16e siècle. Cinq verrières au sud ainsi que la maîtresse-vitre du choeur portaient les armoiries Le Goalès. L´ancienne salle capitulaire abritait sa tombe. L'aménagement hydraulique du site remonte au moins au 16e siècle (étang, chaussée et moulin au nord-ouest). En 1641, un seul moulin à eau est attesté. L'époque de l'aménagement du second étang au sud-ouest n'est pas connu mais il est mentionné dans un procès-verbal de 1774. Entre 1680 et 1694, le prieur de l´abbaye, Jean-Baptiste Moreau, est à l'origine d'importants travaux : dans la partie nord du transept de l´église, il fait supprimer une chapelle afin de mettre en place, en 1691, un escalier monumental en pierre donnant accès au dortoir des moines (une inscription en latin témoigne de ces travaux). A cette époque remonteraient également, selon les archives, la réfection partielle de la charpente, la mise en place de lambris et d´un orgue, la restauration de deux côtés du cloître ruiné, la reconstruction du dortoir et la mise en place d´un escalier entre celui-ci et le cloître, des aménagements intérieurs du réfectoire et du logement abbatial, tout comme la construction des piliers du jardin et d´un « pavillon soutenu par huit piliers de pierre de taille », les adductions d´eau, la mise en place de canalisations et l'érection, en 1682, d'une fontaine (disparue) située dans le jardin d'agrément, à l'emplacement d'anciens communs médiévaux arrasés (dont un moulin). En 1713, un incendie détruit, d'après les archives, le logis abbatial du 14e siècle qui abritait une pièce pourvue d'un plafond décoré appelée « chambre dorée ».En 1765, l´église est endommagée par des intempéries. L´ingénieur Jacques François Piou propose, en 1783, un projet de reconstruction suivant un plan circulaire (non réalisé). On conserve l´édifice ancien, amputé, à l´ouest, de deux travées. La façade occidentale est mise en place en 1785 d´après le projet de Piou. A cette époque remontent également la fontaine (avec remploi, en soubassement, d'éléments provenant vraisemblablement de l'ancien cloître) et, surtout, les bâtiments (métairie, communs) entourant la cour à l'ouest et au sud.Un regard couvert (sorte de puits percé à l'aplomb d'une conduite d'eau pour assurer l'entretien de celle-ci), situé au nord-ouest de l'étang, dans le prolongement de la chaussée, porte la date de 1777. En 1786, l'ingénieur Pierre Joachim Besnard et Louis Loarer, architecte à Morlaix, évaluent les réparations à faire dans l´abbaye.L´inventaire dressé en 1790 témoigne de l´aspect des bâtiments, en partie en mauvais état, notamment le cloître.En 1794, l´abbaye est vendue comme Bien National au profit d´André Le Hénaff, commerçant à Morlaix. Après sa remise en état, l´église est restituée au culte. Le colombier figure encore sur le cadastre de 1837. La toiture de l'église est refaite en 1876. Joseph Bigot signale, en 1884, dans une chapelle près du choeur, des traces de peintures murales figurant la Vierge à l'Enfant entourée d'abbés. En 1894, les enduits intérieurs sont suprimés et les lambris du choeur et du transept refaits. En 1902, un incendie ravage les anciens bâtiments conventuels connus par des dessins et des photographies ; les ruines disparaissent en 1909. Vers 1911 est bâti un logis au nord-ouest de l'ancien cloître, vraisemblablement à l'emplacement de l'ancien réfectoire disparu, avec remploi d'une pierre provenant de l'ancienne hôtellerie et portant la date de 1693 ainsi que le monogramme M. P. (Moreau prieur).Mutilée, la statue de la Vierge placée sur la corniche de l'élévation ouest de l'église semble provenir d'un calvaire et pourrait être une création de l'atelier du sculpteur Roland Doré actif dans la première moitié du 17e siècle.Propriété du département du Finistère, le site est géré, depuis 2006, par l'Établissement Public de Coopération Culturelle " Chemins du Patrimoine en Finistère ".Des fouilles effectuées entre 2001 et 2006 par le service départemental de l'archéologie (Ronan Pérennec) ont révélé, outre la mise à jour des fondations d'origine dans la partie sud de l'église, l'existence de communs et d'un moulin à eau médiévaux à l'ouest du cloître, de traces de reconstructions tardives à l'intérieur de l'ancien cloître ainsi que plusieurs systèmes complexes de drainages et d'aménagements hydrauliques remontant à diverses périodes.
Auteur(s) du descriptif : Douard Christel ; Pérennec Ronan

Par : L'inventaire du patrimoine

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