Croix et calvaires de Bretagne

vignette
picto
Croix de Santé
Plan d'alignement de la Croix de Santé

Par : Archives municipales de Sa

vignette
picto
Petite Promenade, place Duguesclin
Alignement de la rue derrière Gouédic et la petite rue Saint-François. Etablissements représentés : la chapelle Saint-Guillaume en violet et l'Hôtel de la Croix Rouge en rouge

Par : Archives municipales de Sa

vignette
picto
Calvaire de LANNEDERN (F.) St-Edern est représenté
Lannédern.- Le calvaire de l'église Saint-Edern.. Date : 20e siècle, début. Fonds : Cartes postales

Par : Archives départementales d

vignette
picto
Calvaire de LANNEDERN (F.). Saint-Edern est représ
Lannédern.- Le calvaire de l'église Saint-Edern.. Date : 20e siècle, début. Fonds : Cartes postales

Par : Archives départementales d

vignette
picto
Audierne et Cap Sizun
Audierne. Pors Poulhan. Pont-Croix. Pointe du Raz, avec le musée des calvaires. Départ sur "Enez Sun II" d'Audierne vers l'ile de Sein. Passage du Four. Ile de Sein, entrée des iliennes en coiffe dans l'église, lors d'un enterrement. Retour Audierne, accompagné par une vedette SNSM.

Par : Cinémathèque de Bretagne

vignette
picto
Stival ; chapelle de Saint-Mériadec ; porche calva

Par : Musée de Préhistoire de Ca

vignette
picto
Le calvaire de Plougastel Daoulas
Le calvaire de Plougastel Daoulas (Finistère), construit au XVIe siècle pour conjurer une épidémie de peste, a été restauré. Sa rénovation a été confiée à des sculpteurs et tailleurs de pierres, qui ont en partie gommé l'usure du temps des statues.

Par : INA

vignette
picto
Pont-Croix ; l’église vue de face

Par : Musée de Préhistoire de Ca

vignette
picto
Kroazioù Plougastell [Les croix de Plougastel]
Lucien Cras, eus Plogastell-Daoulas, a sav renabl ar c'hroazioù e kaver war ar gumun ha kont mojenn Kroaz ar vosenn ouzh mikro Daniel Jekel. [Au micro de Daniel Jequel, Lucien Cras, de Plougastel-Daoulas, évoque les nombreuses croix érigées sur la commune et raconte la légende de "la croix de la peste".]

Par : INA

vignette
picto
Paimpont (Le château du Bois) - Croix mérovingienn
CROIX MEROVINGIENNE

Par : Dastum

vignette
picto
Fondation du prieuré de Sainte-Croix de Chateaugir

Par : Gallica

vignette
picto
Palmarès du Petit séminaire de Pont-Croix 1950-195

Par : Diocèse de Quimper et Léon

vignette
picto
La croix de mi-lieue
La croix de mi-lieue, un objet insolite et mystérieux situé sur la grève quelque part entre Plestin-les-Grèves et Saint-Michel-en-Grève. Vous l'avez peut-être aperçue à marée basse, perdue au milieu (mi-lieue) de la baie. Mais connaissez vous son histoire ?… Ce document tente de lever une partie du mystère. Il a été réalisé en 1993 lors de la remise en place d'une nouvelle croix, l'ancienne ayant probablement été brisée lors du débarquement des alliés en 1944 sur la grève de Saint-Michel …

Par : TV Trégor

vignette
picto
Bretagne Monumentale. 8, Les Calvaires - Nizon : [
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Carte postale

Par : Yroise - bibliothèque numé

vignette
picto
Bénédiction de la croix du Ru, retour de processio

Par : Diocèse de Quimper et Léon

vignette
picto
Les chemins de Croix de Xavier de Langlais
Xavier de Langlais (1906-1975) est un grand artiste breton protéiforme, membre des Seiz Breur et de l'Atelier Breton d'Art Chrétien. Sa foi intense apparaît dans ses neuf chemins de Croix tous peints en Bretagne. Les rapprocher permet d'étudier la genèse de son travail, son originalité et son évolution picturale. L'expressivité magistrale de celui de la chapelle Saint-Joseph à Lannion s'épanouit particulièrement dans un contexte architectural remarquable.

Par : L'ARSSAT

vignette
picto
Kanaouen de Jann d'Ark [suivi de] Jezuz ha Breiz,
Feuille volante dont le titre peut être traduit comme suit : Chant à Jeanne d’Arc [suivi de] Jésus et la Bretagne, nouveau cantique de Notre-Dame du Calvaire [et de] Le cantique des cimetières.

Par : Médiathèques de Quimper Br

vignette
picto
Brest négatives. , Croix des bois de sapins (???)
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001

Par : Yroise - bibliothèque numé

vignette
picto
Hommage du général de Gaulle à l'Ile de Sein
Le général de Gaulle, en visite à l'Ile de Sein, remet la Croix de la Libération à l'île. Il rend ainsi hommage au courage des Sénans, les premiers hommes libres l'ayant rejoint à Londres.

Par : INA

vignette
picto
Maison, Croix-Izan (Erdeven)
Maison construite au fond de l'impasse Mané-Lann. Courette latérale à l'ouest avec dépendances (resserre), jardin latéral postérieur.Pavillon de plan allongé avec étage en surcroît. Bow-window en pignon sud. Enduit avec fausse chaîne d'angle et surépaisseur aux entourages des baies.Maison construite dans les années 1930 sur la base d'un édifice antérieur au lieu-dit Mané-Lann.
Auteur(s) du descriptif : Herbaut Claudie ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

vignette
picto
La Tordue aux Rencontres Trans Musicales de Rennes
Issus des pavés et des troquets parisiens, La Tordue joue de la voix, du piano, avec et sans bretelles, de la contrebasse, de la guitare, du bandonéon, des mots et de la scie. Un doigt de mélo, un doigt d’humour et une grosse dose de poésie. Trio bohème aux chansons immédiatement accrocheuses, tant pour le sens (intelligent) que par le son (goût marqué pour la mélodie), La Tordue privilégie l’acoustique et la simplicité sans pour autant faire une croix sur les prestations électriques. Apaches ou poulbots, aura certaine et présence scénique garantie. En ouverture des Trans.

Par : Association Trans Musicale

vignette
picto
Église paroissiale, ancienne église abbatiale
L´église présente un plan en croix latine. Elle est formée d´une large nef bordée de collatéraux, divisés en six travées rectangulaires. Le vaisseau central est prolongé de la croisée du transept de même largeur, bordée des croisillons du transept peu saillants. Dans chacun s´ouvre une absidiole orientée moins large que le croisillon avec lequel elle communique. Ces absidioles flanquent ainsi l´abside du choeur située dans le prolongement direct de la nef et de la croisée, surmontée d´une tour lanterne. L´église mesure dans son ensemble 40,40 mètres de long pour une largeur de 14,45 mètres (nef et collatéraux).La façade occidentale, ouvrant sur la nef, est amortie en pignon avec un décrochement au-dessus des bas-côtés. Une porte plein-cintre percée dans la façade du collatéral nord est aujourd´hui aveuglée. La façade est amortie de deux contreforts. Deux autres contreforts corniers épaulent les collatéraux. A l´origine, on pénétrait dans la nef par une double porte formée de deux arcades en plein-cintre de même largeur dont on conserve les deux cintres appareillés au revers de la façade.Le collatéral nord est construit en petits moellons avec fragments de briques et traces d´appareil en épi. Sa façade latérale est scandée par quatre contreforts plats. Les travées ainsi formées sont éclairées par une petite baie de type meurtrière, percée dans la partie haute du mur. La dernière travée, à l´ouest, est aveugle. La présence de cinq travées s´explique par la volonté de mettre en valeur, par une symétrie, le portail aujourd´hui remplacé par une porte moderne qui s´ouvre dans la travée centrale. L´arc plein-cintre appareillé d´origine se voit encore dans le mur.Ce collatéral est plus bas que le vaisseau central de la nef, qui est éclairé directement par six baies en arc plein-cintre.Le bas-côté sud, à la différence de la façade nord, n´est divisé qu´en quatre travées par trois contreforts. Il communiquait avec l´ancien cloître. Son mur est construit avec le même type de maçonnerie que celui observé au Nord. Chaque travée est percée d´une baie en plein-cintre, assez large. Au-dessus, le vaisseau central de la nef possède le même type d´éclairage qu´au Nord. Dans la dernière travée orientale se trouve une porte qui conduit au jardin où l´on conserve les vestiges d'une architecture de la même période.A l´intérieur, la nef datée du 11e siècle est formée de six travées de plan rectangulaire communiquant avec les collatéraux par des arcades en plein-cintre à simple rouleau. Celui-ci repose sur des piliers de section rectangulaire flanqués d´un contrefort plat côté nef centrale et collatéral, amortis dans l´imposte qui couronne ces piliers.Au-dessus des arcades se déploie une grande surface murale nue, simplement percée sous la charpente de grandes baies en arc plein-cintre, peu ébrasées, disposées dans l´axe de chaque arcade. Les bas-côtés sont éclairés par de petites baies en arc plein-cintre percées dans la partie haute du mur mais la division de ces collatéraux ne correspond pas à celle de la nef : les baies sont percées sans rapport avec les grandes arcades.Nef et transept sont entièrement charpentés. Les maçonneries des piliers et des grandes arcades sont en pierre de taille.Le transept, daté du 12e siècle, est formé d´une croisée située dans le prolongement de la nef centrale et de deux croisillons peu saillants. Il est construit en moyen appareil de granit.La croisée du transept est surmontée d´une tour trapue qui reçoit une flèche. Ses faces Est et Sud présentent toujours des éléments du 12e siècle. Sur chacune d´elles se voient deux petites baies géminées séparées par une colonnette et réunies sous un arc de décharge en plein-cintre. Henri Waquet mentionnait la présence, sous ces baies, de « trois arcs, noyés dans la maçonnerie, correspondant à des arcatures visibles à l´intérieur au-dessus des arcades du carré du transept ». A l´intérieur se voient en effet sur ces faces trois arcatures en plein-cintre aujourd'hui aveugles qui correspondent probablement à une disposition primitive de tour-lanterne.Les bras du transept sont flanqués de contreforts corniers, amortis en larmier sous le pignon triangulaire, et d´un contrefort plat, également amorti en larmier, plaqué au centre du pignon entre les baies qui éclairent le croisillon. Divisé en deux registres superposés, chacun est percé de deux baies en arc plein-cintre, assez larges et très hautes.A l´intérieur, la croisée est aujourd´hui couverte en bois. Selon Henri Waquet elle « devait être autrefois surmontée d´une tour-lanterne, comme en Normandie ». Le carré du transept est formé de quatre grands arcs en plein-cintre à double rouleau, « surmontés de segments de murs-diaphragmes ». Le rouleau intérieur des arcs retombe sur de hautes colonnes couronnées de chapiteaux sculptés. Les piliers de la croisée sont formés de faisceaux de colonnettes, exceptée la pile Nord-Ouest. Cette pile, sur laquelle repose la dernière grande arcade nord de la nef, est massive et de plan circulaire, elle monte jusqu´à hauteur de la charpente. Elle est venue en remplacement d´un des piliers d´origine, probablement, au 15e siècle. Les bras du transept sont éclairés à l´Est par une petite baie en arc plein-cintre percée dans la partie haute du mur, et au pignon par quatre grandes baies en plein-cintre fortement ébrasées vers l´intérieur. Celles-ci sont disposées de manière symétrique. Elles forment deux registres superposés. Les rouleaux extérieurs qui surmontent les baies du registre supérieur, reposent sur trois hautes colonnes ornées de chapiteaux sculptés. A l´Est, sur chaque bras du transept, s´ouvre une absidiole couverte en cul-de-four et percée d´une baie à son extrémité orientale. L´absidiole Nord est datée du 12e siècle, celle du Sud est une reconstruction du 19e siècle sur le modèle d´origine.Chaque croisillon est formé de deux travées matérialisées par de grandes arcatures aveugles plaquées sur la paroi occidentale. Deux arcs appareillés en plein-cintre animent la surface murale et retombent au centre sur un pilastre. La première travée de chaque bras est percée d´une grande arcade en plein-cintre ouvrant sur les bas-côtés de la nef.Le choeur de l´église de Locmaria est également une restitution du 19e siècle de l´architecte Bigot. Il s´agit d´un choeur avec une travée rectangulaire prolongée par une abside voûtée en cul-de-four et éclairée par trois baies.Il faut distinguer dans cette construction diverses campagnes de travaux. L´appareil en petits moellons cubiques contenant des traces de briques et un appareillage en épi, observable sur la partie inférieure des murs des bas-côtés faisait penser à Roger Grand qu´il s´agissait peut-être des fondations de l´église primitive, qu´il faisait remonter à la fin de l´époque carolingienne. En 1991, suite à des travaux de terrassement pratiqués le long du mur sud de l´ancienne abbatiale, une opération de sauvetage a été menée par les archéologues du service municipal. Après avoir étudié les fondations de l´église, J.P. Le Bihan en concluait qu´ « il est impossible de déceler l´existence de vestiges antérieurs correspondant à une éventuelle église primitive », et que « la cohérence de l´ensemble peut plaider en faveur d´une construction réalisée d´un seul jet ». Il semble donc qu´il ne faille pas voir dans ces éléments (appareil en épi et moellons cubiques avec traces de brique) un archaïsme, qui laisserait penser à une architecture du 9e siècle, mais bien un choix effectué par les bâtisseurs du 11e siècle qui ont pu réutiliser des éléments de maçonnerie bien plus anciens étant donné l´existence de vestiges romains sur le site même : « L´étude des niveaux profonds révèle la présence, sous les remblais médiévaux et modernes, de vestiges d´époque romaine ».Tous les chercheurs s´accordent pour dater la nef du début du 11e siècle, plus précisément d´ailleurs de l´abbatiat de Hodierne, première abbesse, entre 1020 et 1030. Henri Waquet attribuait la construction du transept aux dernières années du 11e siècle. Depuis, la datation mise en avant par les chercheurs est un peu plus tardive, le transept doit dater du 12e siècle, tout comme la façade occidentale de l´édifice apparemment reconstruite à cette époque. Il faut probablement faire remonter la construction de l´absidiole nord du choeur au 12e siècle. Le choeur et l´absidiole sud, édifiés très certainement au 12e siècle, ont été entièrement reconstruits au 19e siècle par l´architecte Joseph Bigot.Au 15e siècle, la tour de croisée s´effondre en partie causant d´importants dégâts. Des travaux sont alors entrepris : un des piliers de la croisée est modifié à cette époque, le porche d´entrée, très saillant, est aménagé au 15e siècle et, au-dessus, est percée la grande baie qui éclaire la nef. Les faces Ouest et Nord de la tour de croisée ont été remaniées au 16e siècle.Au cours du 17e siècle, l´abbesse Marie de Bourgneuf fait entreprendre des travaux dans l´abbatiale : le choeur est totalement remanié. En 1857 l´ancienne abbatiale devient église paroissiale. Entre 1868 et 1871, l´architecte diocésain Joseph Bigot reconstruit le choeur avec l´absidiole sud, sur les plans des fondations anciennes. Bâti selon les dispositions romanes, le choeur de Locmaria est formé d´une travée droite couverte en berceau suivie d´une abside voûtée en cul-de-four, éclairée par trois baies en arc plein-cintre disposées sous des arcs plein-cintre plaqués sur le mur.
Auteur(s) du descriptif : Cros Mélanie

Par : L'inventaire du patrimoine

Afficher le widget sur mon site Voir tous les documents
X

Afficher le widget sur mon site

Vous pouvez afficher le ce widget sur votre site en insérant le code suivant :

<iframe src="https://widget.breizhapp.net/index.php?set=wgt_CroixCalvaires"></iframe>

Vous pouvez également voir la liste de tous les widgets à l'adresse suivante Liste des widgets