Les documents du Golfe du Morbihan

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Vannes
D'une image de ville tranquille, Vannes se transforme en ville dynamique. Sa proximité avec le Golfe du Morbihan attire une population souvent jeune, qui s'intéresse notamment à l'activité économique liée aux nouvelles technologies.

Par : INA

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Couverture de dolmen avec entailles et cupules au

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Enquête à Suscinio en Sarzeau - 1973-08

Par : Dastum

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Rossignol sauvage, toi qui est si généreux, appren
à Saint-Colombier

Par : Dastum

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Moi j'avais un bel amant

Par : Dastum

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Bonefamig a pen det er maez

Par : Dastum

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Maison, 21 rue du Four (Vannes)
Petite maison en alignement de rue en rez-de-chaussée surmonté d'un comble aménagé sous un toit à forte pente à longs pans avec coyaux. Elle est édifiée sur une parcelle laniérée de type médiéval ; elle est simple en profondeur à l'origine, puis doublée d'une aile en retour.Maison remontant probablement au 17e siècle figurant sur le plan cadastral de 1807 et de 1844 sur la même emprise de parcelle avec un corps en retour construit entre 1809 et 1844 (non vu). Cependant, les archives de la réformation la mentionnent en 1677 avec la maison suivante comme appartenant à Jeanne Gainche. Elle donnait en 1844 sur un grand jardin postérieur enclos de murs sur lequel ont été édifiées 2 resserres ou dépendances construites après 1844. La façade sur rue a vu l'ouverture à la fin du 20e siècle d'une grande porte de garage en lieu et place de l'ancienne fenêtre, qui a complètement modifié la structure de la maison. La lucarne remonte au 19e siècle.
Auteur(s) du descriptif : Toscer Catherine ; Lainé Claire ; Danielo Julien

Par : L'inventaire du patrimoine

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Kiosque à musique de La Rabine, Esplanade du port
De plan octogonal, ce kiosque repose sur un soubassement de granite. Huit poteaux en bois, déversant légèrement vers l'extérieur, soutiennent une toiture évasée à huit pans. La couverture en écailles de zinc est d'époque. Pour une meilleure acoustique, l'architecte Edmond Bassac a conçu, sous la charpente et l'avant-toit, un plafond abat-son en lambris rayonnant vers le centre de l'édifice. Un décor en bois chantourné court sur toute la bordure de la toiture débordante formant lambrequin. À l'origine, le kiosque disposait d'un garde-corps ajouré en forme de lyre qui rappelait la fonction musicale du lieu. Très abîmé, il a été remplacé par un garde-corps bien plus sommaire. Le plancher en sapin a également disparu au profit d'une dalle en béton. L'accès à la scène se fait depuis le côté sud à l'aide d’un petit escalier de quatre marches. La clôture en bois, formant un enclos quadrangulaire autour du kiosque à musique, n’existe plus. Les arbres alentours, contemporains de cette construction de la fin du XIXe siècle, forment un écrin de verdure et contribuent à préserver l'esprit des lieux.Le kiosque à musique de La Rabine a été construit en 1890 d'après des plans de l'architecte vannetais Edmond Bassac. La genèse du projet remonte cependant à 1874 suite à l'arrivée à Vannes de plusieurs régiments militaires (les 28e et 35e régiments d'artillerie ainsi que le 116e régiment d'infanterie). Les musiques de l'École d'artillerie et de l'infanterie sont très tôt détachées à Vannes et ne tardent pas à donner des concerts en plein air pour le plus grand plaisir des Vannetais. Les deux formations musicales jouent les dimanches après-midis sur le tertre en terre de La Rabine, en face du couvent des Carmes déchaussés, prenant ainsi le relais de l'Orphéon, l'orchestre civil de la ville, alors en déclin. Constatant l'engouement des amateurs de musique, la municipalité décide d'améliorer les lieux : en 1875, on plante des fleurs annuelles ; en 1876, on ajoute des massifs de plantes vivaces et des arbustes. La clairière de La Rabine devient rapidement dans le cœur des Vannetais le 'square de la Musique'.Le 8 mai 1877, le Conseil municipal nomme une commission pour « l'étude de l'établissement, à moins de frais possibles, à l’emplacement d'un kiosque que devront tour à tour occuper les différentes Musiques ». Plusieurs croquis d'un kiosque pour musiciens sont signés par l'architecte-voyer Ernest de Lamarzelle. Le 30 mai, Me Paul-Émile Buguel, rapporteur de la commission, rend compte des conclusions de son groupe. Il fait remarquer que « le kiosque, si kiosque il y a, devra être établi de manière à border à peu près l'allée latérale de la promenade de La Rabine ». Cet emplacement est le seul dans tout Vannes à réunir l'ensemble des conditions indispensables à la bonne appréciation d'un concert : suffisamment d'espace pour accueillir un public nombreux ; des allées pour permettre aux spectateurs de se promener librement pendant l'entracte ; une bonne sonorité déjà éprouvée lors des précédents concerts en plein air ; un nombre d'arbres suffisant pour garantir l'ombre propice à toutes les satisfactions car « le meilleur morceau s'il était accompagné d'une insolation perdrait vite la meilleure part de son charme ». Comme le souligne Me Paul-Émile Buguel « la question d'emplacement étant ainsi fixée, reste le mode de construction à déterminer ». Chose beaucoup moins aisée car « la musique est semble-t-il [la question] sur laquelle il est le plus difficile de se mettre d'accord ». Me Buguel rappelle dans un premier temps les éléments constitutifs d'un kiosque :1° Une terrasse retenue par un mur ;2° Un plancher ;3° Une galerie circulaire ;4° Une ossature métallique destinée à recevoir la couverture ;5° Une couverture avec plafond acoustique.Il énonce ensuite quatre projets différents de kiosque à musique en fonction du crédit alloué à sa construction :1° Un crédit de 5 800 Francs pour la construction d'un kiosque conforme aux plans et devis de l'architecte ;2° Un crédit de 5 000 Francs pour la même construction, non compris le plancher ;3° Un crédit de 2 500 Francs pour la construction de la terrasse avec galerie et plancher ;4° Un crédit de 1 800 Francs pour la construction de la terrasse avec galerie sans plancher.À la suite d'une longue discussion l'établissement d'un kiosque est voté par le Conseil, mais ni l'un ni l'autre des quatre projets n'ayant ensuite réuni la majorité, aucun crédit n'est alloué pour cette dépense.À compter de l'été 1877, le principe de l'édification d'un kiosque à musique sur La Rabine est désormais acquis mais l'indécision quant à son mode de construction perdure plus d'une dizaine d'années. Ces atermoiements portent sur plusieurs questions : Quelle forme de clôture adopter ? Faut-il installer des bancs à dossier autour du kiosque à musique ? Faut-il opter pour un kiosque métallique ou un kiosque en bois moins onéreux ? À cette époque, les villes portent généralement leur choix sur des kiosques métalliques vendus sur catalogue. En mars 1888, la mairie de Vannes reçoit des plans et devis pour un kiosque à musique à ossature métallique fabriqué par les Établissements Gandon et Lœvenbruck du Havre. L'édifice de style japonisant, très aérien et représentatif de la grande vague de l’architecture de fer et de fonte, ne cadre pas avec le budget municipal. L'option du kiosque en bois, moins coûteux et en grande partie réalisable par les services techniques de la ville, va lui être préférée.Le 20 mai 1889, douze ans après le rapport de la commission Buguel, le Général de Division Colonieu demande l'établissement d'un kiosque pour la musique militaire. Un mois plus tard, le 23 juillet, l'architecte vannetais Edmond Bassac présente ses plans et « affirme que l'exécution [des travaux] peut parfaitement en être entièrement confiée aux ouvriers de la ville de Vannes ». Le devis estimatif qu'il propose s'élève à 'seulement' 2 800 Francs ; le Conseil municipal l'accepte en votant un crédit de 3 000 Francs. L'adjudication des travaux se déroule deux mois plus tard, le 5 octobre. Le 16 décembre, le Conseil municipal vote un crédit de 1 000 Francs pour l'éclairage au gaz du kiosque à musique. En mars 1890, la question de la clôture du kiosque fait à nouveau débat ; sur fond de rivalités politiques, le Préfet du Morbihan casse le marché passé, sans adjudication, entre le Maire et l’entrepreneur Normand. Le nouveau marché conclu auprès de M. Chavagnac s’avère en définitive plus onéreux que celui contracté précédemment avec M. Normand (702,63 Francs contre 680 Francs). Le 25 du mois a lieu la réception des travaux d’éclairage du kiosque réalisé par M. Jobet. Le choix s'est porté sur un lustre hollandais en cuivre bronzé à huit branches, seize globes Manchester opale, huit rampes cintrées et trente becs. Le 18 septembre 1890 a lieu la réception définitive du kiosque de La Rabine moins d'un an après le début des travaux.En 1909, l'intégrité du kiosque à musique est menacée par la rectification du virage de la rue du Port. Pour une meilleure circulation, on projette de bâtir une avenue le long de La Rabine dont le tracée passerait en plein milieu de l'édifice. Il est alors envisagé de déplacer le kiosque de quelques mètres plus à l'ouest sur la place de l'Évêché [actuelle place Théodore Decker]. Fort heureusement, le projet de ligne droite ne voit pas le jour et se cantonne à l'amélioration du tournant de La Rabine en face du kiosque.En 1911, constant que « la balustrade qui entoure le kiosque de La Rabine est en fort mauvais état et absolument irréparable », il est décidé de la remplacer par une nouvelle balustrade semblable à l'ancienne. Pour des raisons de coûts la Ville opte pour une balustrade en bois au détriment d'une balustrade en fer plus résistante dans le temps mais beaucoup plus onéreuse (1 200 Francs contre 2 500 Francs). En 1912, c'est au tour du plancher en sapin d'être changé. Il est un temps question de le remplacer par un plancher en bois dur offrant une plus longue durée de vie mais les musiciens utilisant le kiosque s'y opposèrent invoquant que « le plancher en sapin était indispensable au point de vue de l'acoustique, ses qualités vibratiles étant de beaucoup supérieures à celles des bois durs ».En 1973, à une époque où l'on « ne peut vivre au siècle de l'automobile, comme à celui des charrettes », l'avenir du kiosque à musique devient précaire. Un projet de construction d'une station essence sur La Rabine le menace directement : va-t-il être détruit ou bien déplacé ? Le kiosque doit en grande partie sa survie aux arbres qui l'entourent. En effet, même si le maire de Vannes écrit au Préfet du Morbihan que « le sort des arbres est précisément, hélas de ne pas être éternel, et on ne peut vouloir les protéger indéfiniment comme on le ferait d'un monument historique » c'est bien la question de leur préservation qui a fait capoter le projet et non la supposée volonté de protéger le kiosque à musique, patrimoine bâti de la fin du XIXe siècle alors peu considéré. La « volonté de concilier les exigences de la circulation et de la sécurité avec le point de vue esthétique » a considérablement remodelé le tracé du projet. La largeur de la ligne droite entre l'avenue de Lattre de Tassigny et la rue du Port a été « réduite de façon à épargner le plus grand nombre d'arbres et aussi le muret qui longe la rue du Port » ; il est nullement question du devenir du kiosque sur lequel empiète pourtant la nouvelle voie. La création de la station essence, en forme de 'L' afin de préserver quatre beaux arbres, entrainerait la destruction du kiosque ou du moins son déplacement. Fort heureusement, une nouvelle fois, le projet n'a pas abouti.En 1989, soit plus d'un siècle après sa construction, le kiosque à musique a été complètement restauré. Les éléments de structure en bois ont été remplacés, pièce par pièce ; le décor d'origine et la couverture en écailles de zinc ont, eux, été conservés.Chronologie succincte de la construction du kiosque à musique de La Rabine :8 mai 1877, nomination d'une commission pour l'établissement d'un kiosque à musique30 mai 1877, rapport de la commission Buguel pour l'établissement d'un kiosque à musique20 mai 1889, demande du Général de Division Colonieu pour l'établissement d'un kiosque pour la musique militaire23 juillet 1889, présentation des plans de l'architecte Bassac et vote d'un crédit de 3 000 Francs pour la réalisation des travaux28 septembre 1889, adjudication des travaux du kiosque pour les musiques militaires18 septembre 1890, réception définitive du kiosque de La Rabine
Auteur(s) du descriptif : Robert Clément

Par : L'inventaire du patrimoine

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Maison, 1 place Lucien Laroche (Vannes)
Maison de plan massé à l'origine à plan double en profondeur, construite sur une parcelle laniérée, en alignement de rue. Escalier latéral postérieur au bout d'un couloir latéral dallé. Lucarnes et corniche en calcaire.Maison édifiée au 17e siècle d'après ses caractéristiques architecturales ; si les archives du 3 place Lucien Laroche signalent à cet emplacement un jardin, ce qui pourrait expliquer l'absence de réformation pour ce bâti, cette maison succède vraisemblablement à une maison plus ancienne faisant partie comme ses voisines de droite et de gauche d'un ensemble de trois maisons mentionnées dans le rentier du domaine ducal de 1455-1458 ; la date de 1840 donnée par le cadastre numérisé peut correspondre à des travaux effectués à cette époque car la maison remonte sans conteste au 17e siècle. Les cours postérieures d'origine ont été utilisées pour agrandir le bâtiment ; ce qui confère à la maison sa configuration actuelle en L. Enlèvement de l'enduit à une date encore inconnue, sans doute dans les années 1970. Les fenêtres ont été réduites.Lors de l'installation du Crédit mutuel de Bretagne au rez-de-chaussée de l'immeuble ainsi qu'à celui du 3 de la place en 1972, le demandeur s'engageait dans le permis de construire lié à la modification des façades à remettre en état les éléments anciens découverts comme l'arcade de la porte droite et les allèges plus basses des fenêtres.
Auteur(s) du descriptif : Lainé Claire ; Toscer Catherine ; Mauvais Marion ; Danielo Julien

Par : L'inventaire du patrimoine

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Maison
Maison isolée bâtie perpendiculairement à la rue avec un jardin antérieur clos de murets. C'est une maison à pièce unique simple en profondeur de plan massé orientée au sud. Sa façade principale est enduite. Les encadrements des fenêtres sont en ciment.Cette maison aurait été construite peut-être pour un des ouvriers de la fonderie de Kerino, en 1900 d'après le cadastre numérisé : elle ne figure pas sur le plan Léchard de 1897. La maison a été augmentée dans les années 1960 d'un corps en retrait vers l'est.
Auteur(s) du descriptif : Lainé Claire ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Bulletin paroissial de Vannes - paroisse de Saint
août 1915. 20ème siècle

Par : Gallica

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Bulletin paroissial de Vannes - paroisse de Saint
janvier 1914. 20ème siècle

Par : Gallica

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Bulletin paroissial de Vannes - paroisse de Saint
avril 1918. 20ème siècle

Par : Gallica

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Écart
Initialement établi à l'ouest du chemin de desserte, le hameau de Kerbiquette, constitué d'un long bâtiment en équerre et d'une ferme avec dépendances isolées, s'est par la suite implanté de l'autre côté de la voie.Ecart rural caractérisé par un très fort remaniement, lié à la transformation précoce, dès les années 60, des fermes en maisons. Il est possible qu'au 19e siècle, il n'ait comporté que deux fermes, l'une d'elles éventuellement divisée en plusieurs exploitations par la suite. On note un vestige du 17e siècle et des éléments indatables car trop fortement remaniés. L'écart s'est trouvé très augmenté par des constructions nombreuses entre 1970 et 1980.
Auteur(s) du descriptif : Herbaut Claudie ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Colloque conte

Par : Dastum

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Vannes - non renseigné
OOOO

Par : Dastum

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Air de flûte (55)

Par : Dastum

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Colloque conte

Par : Dastum

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Environs de Vannes. Noce bretonne à table

Par : Dastum

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Remerciements du Capitaine Goering
Sur la demande du Maréchal Goering, une cérémonie présidée par son neveu le Capitaine Goering est organisée à Vannes en l'honneur de deux morbihannaises qui ont sauvé quatre aviateurs allemands de la mort.

Par : INA

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Les dix ans de l'Université de Bretagne Sud
La plus jeune université de France, l'UBS, Université de Bretagne Sud, fête ses dix ans. Implantée à Pontivy, Vannes et Lorient, elle a pour mission de développer les filières professionnelles et d'offrir un accueil de proximité aux étudiants.

Par : INA

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La réélection de Francois Goulard
Au lendemain du deuxième tour des élections municipales, retour sur la réélection du maire de Vannes, François Goulard. Dans une ville traditionnellement à droite, cela avait été une surprise de le voir en ballottage à l'issue du premier tour. Il est finalement passé, mais avec seulement 675 voix d'avance.

Par : INA

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Maison à Vannes

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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