Nos documents sur le vélo

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La misère de Bernard Hinault vue d'Yffiniac
Alors que Bernard Hinault est largement distancé par Laurent Fignon dans le Tour de France, ses supporters d'Yffiniac restent quand même fidèles. Ils n'oublient pas la renommée qu'il a apporté à la commune.

Par : INA

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Projet de création d'un cimetière pour l'hospice e
Pojet de création d'un cimetière pour l'hospice et la section des Villages. Extrait du plan cadastral. Section D

Par : Archives municipales de Sa

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Ecole primaire et cours complémentaire. Partie M.D
Groupe scolaire Curie. Etat descriptif du rez-de-chaussée. Services généraux, appartement du concierge, parloir, bureau du directeur, salle des maitres, dépôt de bicyclettes, dépôt matériel nettoyage et espace de circulation. Relevés sur ouvertures et cloisons.

Par : Archives municipales de Sa

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Cité de l'Office Public d'Habitations à Bon Marché
La cité, implantée à proximité d'une voie primaire et desservie par trois voies secondaires, se compose de 10 immeubles construits avec une ossature en béton armé et un remplissage de parpaings de béton masqués par un enduit : la couverture des toits terrasses est en zinc. Six de ces immeubles à 2 étages carrés sur rez-de-chaussée surélevé sont implantés en "quinconce" au coeur d'un square-jardin. Les quatre autres immeubles à 2 et 3 étages carrés sur rez-de-chaussée surélevé, associés deux à deux, bordent la rue Joseph-Defermon.Ensemble de dix immeubles, d'une capacité de 64 logements, construits entre 1952 et 1954, sur des plans datés de 1950, pour l'Office Public d'Habitations à Bon Marché, dont Yves Lemoine est l'architecte. Un premier et unique garage est construit en 1958, suivi d'un ensemble plus important en 1971.Le descriptif joint à la demande de permis de construire indique que les immeubles sont construits avec une ossature en béton armé et un système de doubles parois : à l'extérieur des parpaings d'aggloméré creux vibré, à l'intérieur des briques. L'encadrement des baies est réalisé en béton vibré, coulé en une seule pièce, bandeaux et corniches sont coulés en béton avec une granulométrie permettant le bouchardage. Une couverture en ardoise était prévue dans le projet. Les cages d'escalier distribuent deux appartements de deux ou trois pièces par étage. Les logements de type II, de 46 m2, comportent une entrée, un bloc cuisine, WC, salle de bain, une chambre de 12,60 m2, un séjour de 16,60 m2, avec un "coin à manger" et une partie formant studio avec cheminée, où "un divan peut être installé". La pièce est en communication directe avec la cuisine "afin de faciliter le service des repas".Les logements de type III, d'une surface de 63 m2, se distinguent par la taille du séjour, qui passe à 18 m2, et par la présence de deux chambres, l'une de 12,60 m2, l'autre de 11,20 m2.Les salles de bain sont équipées de baignoires "sabot" en fonte émaillée.Les habitants disposent par ailleurs d'un séchoir commun et d'un grenier, au niveau des combles, d'une buanderie commune et d'une cave, au sous-sol, où se trouvent également garages à voitures d'enfants et à bicyclettes.
Auteur(s) du descriptif : Barbedor Isabelle

Par : L'inventaire du patrimoine

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Lycée Bréquigny, 7 allée de Bréquigny (Rennes)
Description et évolution du bâtiLe lycée est composé de 14 bâtiments avec le poste de transformation électrique et le garage à vélo, auxquels il convient d’ajouter, pour retrouver le programme d’origine, les bâtiments de l'ancien collège Jean Moulin (transféré à Saint-Jacques-de-la-Lande), qui accueillent aujourd’hui un établissement régional d’enseignement adapté.A l’entrée, située à l’ouest de l’ensemble, la façade du lycée est composée de l’entrée proprement dite (accueil et externat), avec, à sa gauche, l’administration surmontée de trois étages de logements de fonction et, à sa droite, une salle polyvalente. Elle cache une immense barre de 200m, la plus longue de Bretagne, abritant les salles de classes. Le programme d’origine comportait trois internats. Deux d’entre eux, les bâtiments D et E, abritent désormais des classes et un CDI. Le bâtiment L, complète le programme en termes d’externats.Le lycée est encore composé d’un gymnase, d’une barre recevant les ateliers et l’infirmerie (bâtiment T) et du restaurant scolaire.L’externat technologique et les ateliers ont été construits selon les plans de l’architecte Pascal Debard (PC, 2004).La restructuration thermique des bâtiments A, B et C va débuter. Elle a été confiée au cabinet Anthracite Architecte 2.0, une agence qui a reçu le prix architecture Bretagne pour le même type d’opération au lycée Colbert de Lorient.Un nouveau bâtiment va être construit, au nord de la plus grande barre, pour abriter le nouveau service de restauration. Sa réalisation a été confiée au groupe Legendre qui s’est attaché les services de la même agence Anthracite Architecte 2.0 pour les plans du projet. L'actuel restaurant scolaire va être conservé et affecté à de nouveaux usages.intérêt architecturalCe bâtiment est d’ailleurs, entre le lycée et le parc, un édifice remarquable. Louis Arretche a créé, au sein d’un lycée composé de grandes barres R+3, un événement architectural. L’étage, posé sur pilotis, abrite, au centre, les cuisines éclairées par un astucieux jeux de baies en surélévation et, sur trois des quatre côtés, les salles de restaurant. Assis à table, élèves et personnels sont plongés dans le parc et protégés par un imposant pare soleil qui, avec les pilotis, permet de rompre avec les formes cubiques strictes des autres bâtiments.Comme ses confrères confrontés à la rigidité des règles édictées par le ministère, à la rigueur du programme, Louis Arrête a construit des barres de trois étages sur rez-de-chaussée, avec des couloirs de circulation latéraux. Il reproduit évidemment la trame de 1,75m dont il rompt la monotonie par des décrochés de fenêtre. L’utilisation en façade de panneaux préfabriqués, en béton et gravier lavé, fait place, de part et d’autre de l’entrée et sur certains pignons, à des pierres de parement en granite.Il alterne les orientations et les longueurs et tutoie le gigantisme, avec une barre de 200 m de long, un garage à vélos de 100 m... Il joue avec la topographie : l'ancien internat du collège, une barre r+3 comme les autres, paraît plus haute, car plus courte et positionnée au point le plus élevé de l'ensemble.Les trois internats d'origine ne comportent pas les préaux, ouverts ou fermés, qui forment souvent les rez-de-chaussées des établissements contemporains. Louis Arretche les remplace par de grands espaces vitrées en encorbellement, qui donnent du volume aux façades. Ces derniers sont surmontée de toits terrasses. L’écoulement des eaux pluviales qu’ils reçoivent est assuré par d’étonnantes gargouilles.Louis Arretche casse encore la répétition en diversifiant remarquablement le traitement des entrées, des galeries de circulation et des quelques escaliers extérieurs. Il y apporte beaucoup de soin. Ici, les escaliers extérieurs sont vitrés. Là, ils sont ouverts. Ici, il ouvre le couloir latéral, en rez-de-chaussée. Là, pour désengorger les couloirs de la longue barre de 200, est construit, quelques années plus tard, "le métro", une galerie de circulation, fermée sur les deux tiers...Œuvres du 1% artistiqueLe lycée Bréquigny a bénéficié de trois décorations au titre du 1% artistique. Le portail de l'entrée principale est l’œuvre du ferronnier d'art Raymond Subes (commande 1968) et est dans un bon état de conservation. Francis Pellerin a réalisé "le Signal", sculpture métallique visible de l'entrée, au nord du bâtiment administratif (commande 1968). Edmond Heuzé est l'auteur de la peinture murale monumentale qui orne la totalité du mur intérieur nord de la salle polyvalente (commande 1962, datée 1963) et représente une scène de plage. Ces deux dernières œuvres sont dans un état de conservation méritant attention.Collections pédagogiquesLes collections de sciences physique comportent peu d'objets anciens. Les instruments ne sont pas conservés lorsqu'il sne sont plus aux normes. Celles de sciences naturelles sont plus développées, bien qu'une partie soit allée enrichir les collection du lycée Chateaubriand lors du regroupement des classes préparatoires rennaises dans cet établissement.Thierry Goyet, opération d'Inventaire du patrimoine des lycées, 2018Contexte urbain et paysagerAux lendemains de la Seconde Guerre mondiale, la situation du logement à Rennes (forte présence de logements insalubres, surpeuplés, existence de camps provisoires de baraques…) conduit les municipalités à envisager, entre autres, l’urbanisation de la commune au sud. Le château de Bréquigny est acquis par la ville en 1951 ainsi que plus de 26 ha de terrain. Le plan d’urbanisme de Rennes prévoit d’y installer un vaste complexe sportif. S’ensuit l’achat par la nouvelle municipalité Henri Fréville, en 1955, de nouveaux terrain pour y implanter « un lycée de Jeunes filles et un collège technique et moderne ».Le projet urbain prévoit l’implantation d’autres équipements publics. La plupart seront construits après le lycée tout comme les programmes de logements de la ZUP sud. Le lycée s’implante donc dans un cadre encore largement naturel et bocager, à proximité de la rue de Nantes, rue de Faubourg, déjà urbanisée.Il est aujourd’hui dans un tissu urbain bien équipé (y-compris une piscine avec un bassin olympique). Face à l’entrée se situe la place Albert Bayet, bordée de commerces et d’immeuble dont les façades reprennent les mêmes que ceux du lycée (panneaux préfabriqués de béton et gravier lavé). A l’est, le square de Terre-Neuve, est bordé d’immeubles d’un autre architecte qui a marqué Rennes : Georges Maillols.La ZUP sud, désormais appelée Le Blosne, est composée de différents quartiers. Celui de Bréquigny est moins dominé par les barres et les tours que la Zup dans son ensemble. Il se distingue surtout par la présence d’espaces verts dont le parc de Bréquigny, de 20ha, dans lequel est implanté le lycée. Certains arbres du parc sont classés en tant qu’arbres remarquables. Un chêne, date, selon la tradition orale, d’Henri IV.Intérêt historiqueLe château de Bréquigny, construit vers 1660-1670, pour Charles Le Meneust, premier président au parlement de Bretagne, a été démoli lors de la construction du lycée. Un puits en est le seul vestige encore visible.La construction du lycée, est étroitement liée au développement économique et urbain de Rennes.Son architecte est une personnalité marquante de l’urbanisme rennais et malouin, auteur de la plupart des édifices universitaire rennais, de cinq lycées en Bretagne et d’équipements importants tels que l’usine marémotrice de la Rance, le siège de la direction régionale des télécommunications (appelé aujourd'hui "le Mabilais") ou la salle omnisports de Rennes (appelée aujourd'hui "le Liberté).Lorsque le lycée ouvre, en 1960, c’est une annexe du lycée de jeunes filles de Rennes. En 1962, il devient mixte. En 1964, il acquiert son indépendance administrative. La cité scolaire est alors composée d’un lycée polyvalent et d’un collège technique. Le lycée accueille, en 2017-2018, près de 3200 élèves dont environ 300 internes. Il dispense un panel très larges de formations, allant des filières générales, technologiques et professionnelles, aux sections sportives, européenne (anglais) et artistiques (cinéma et audiovisuel, art et danse, musique, théâtre et art dramatique).Thierry Goyet, opération d'Inventaire du patrimoine des lycées, 2018
Auteur(s) du descriptif : Barbedor Isabelle ; Goyet Thierry

Par : L'inventaire du patrimoine

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Départ du Tour de France à Rennes
Le 51ème Tour de France est parti de Rennes. Après une cérémonie inaugurale présidée par le député-maire de Rennes Henri Fréville, les cyclistes se sont lancés sur les routes pour effectuer la première étape, reliant Rennes à Lisieux.

Par : INA

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Bernard face à Hinault, la bande-annonce
Au moment de prendre sa retraite, Bernard Hinault qui sera présent une dernière fois sur le prochain Tour de France, a choisi de sortir un magnifique livre sur sa carrière préparé avec Jean Cléder, enseignant-chercheur en littérature comparée à l’université Rennes 2. Construit en partenariat avec le Cellam et l’Ina, ce livre enrichi d’un webmedia conçu par le CREA donne enfin au coureur la possibilité matérielle d’analyser lui-même son propre parcours. Voici la bande-annonce de ce grand projet multimédia richement illustré.

Par : L'aire d'u

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Les débuts de Bernard Hinault
Après quatre années de compétition, Bernard Hinault a obtenu des résultats prometteurs, en remportant notamment deux titres de champion de France. Il est interviewé sur ses débuts de carrière.

Par : INA

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Marthe à bicyclette

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Société vélocipédique de Quimper dite du "vélo-spo
Statuts de la Société vélocipédique de Quimper dite du "vélo-sport"

Par : Médiathèques de Quimper Br

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En vélo autour de Quimper / J.-M. Abgrall, Corresp
Six excursions réalisées à vélo à Quimper et ses environs par le chanoine Abgrall

Par : Médiathèques de Quimper Br

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En vélo autour de Quimper / J.-M. Abgrall,...

Par : Gallica

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Patronage en vélo avec prêtre

Par : Diocèse de Quimper et Léon

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Pierig vihan hag e velo

Par : Dastum

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Le Tour de France à la voile
Le navigateur Michel Desjoyaux participe actuellement au Tour de France à la voile, avec l'équipage de Jean-Pierre Dick, sur Virbac-Saint Raphaël-Générali./

Par : INA

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Châteaux de la Loire-Inférieure Vue - Château du P
Deux enfants et leur vélo devant la façade nord du château du Pas (Vue, Loire-Atlantique).. Date : 20e siècle, début. Fonds : Cartes postales

Par : Archives départementales d

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Promenade au Boël
Portraits de Françoise et Jean-Pierre jouant et dansant dans le jardin de la rue de l'Alma, à Rennes. Une ronde. Vélo et trottinette rue de l'Alma. Promenade au moulin du Boël. Les enfants sur le toit de la voiture des grands-parents Devaux. Pitreries avec des chaises de pique-nique : la grand-mère reste coincée.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Ramassage des oeufs à La Harmoye
Ramssage des opeufs à la Harmoye. Alain, Dominique, Marie Hélène. Guerlédan et Bon repos. Vallet, vendanges et dégustation de raisin. Dominique en aprrentissage du vélo. Roc'h Toul 1961. Plestin 1961.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Faisant mon tour de France
IdM-1 : p.58 / hésitations

Par : Dastum

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Kaozeadenn war c'hoarioù ar vugale (bernig dilhad,
suite de DBG-2003-030

Par : Dastum

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La Festi'Rando de Plounérin
Le 29 mai dernier, le rendez vous Festi'Rando des marcheurs de tous niveaux a fêté sa vingtième année à Plounérin. Cet événement co-organisé par l'office de tourisme de Lannion Trégor Communauté (LTC) et les associations locales de randonnées fut l'occasion de découvrir la nouvelle réserve naturelle régionale des landes, prairies et étangs de Plounérin. Nouveaux sentiers de randonnée, circuits à vélo électrique, expositions photos et peinture en pleine nature ont donné un intérêt particulier à cette journée qui a attiré de nombreux visiteurs amoureux du patrimoine local d'une grande richesse écologique. TV-Trégor vous en propose un petit aperçu imagé...

Par : TV Trégor

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Guadalupe Plata aux Rencontres Trans Musicales de
Une atmosphère fiévreuse et habitée. Un blues maltraité sans pitié et un rock’n’roll violenté à grands coups de chaînes de vélo. Il n’y a plus aucune hésitation à avoir. Ces jeunes gens, qui ont entre autres fait monter de quelques degrés la température du célèbre festival texan SouthBySouthwest, viennent bien du sud. Du sud de l’Espagne. Fiers rejetons d’une lignée où l’on retrouve Holly Golightly et Jeffrey Lee Pierce, John Lee Hooker et Lux Interior, les Andalous de Guadalupe Plata aiment tordre le coup aux traditions, armé d’une guitare, d’une batterie et d’une (contre)basse artisanale et peu banale. Pour les aficionados d’une musique crue et envoûtante, voici un concert à ne pas (Guada)lupe.

Par : Association Trans Musicale

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Toups Bebey Pact aux Rencontres Trans Musicales de
Toups Bebey, fils du fameux chanteur et poète camerounais Francis Bebey, a une sacrée bougeotte. Saxophoniste, percussionniste, il ne cesse de surprendre sur tous les terrains. Percussions africaines et antillaises, élan jazz, ou bien encore techno mécanique, fanfare débridée, tous les moyens sont bons pour nouer avec cette "great black music" si bien illustrée par ses aînés de l'Art Ensemble Of Chicago. Avec son quintette Paris Africans, il a publié voici quatre ans African Bicyclette, où l'on retrouvait l'influence de Steve Coleman. Avec PACT - comprendre Paris Africans Cosmic Tone -, Toups s'est aventuré avec aplomb sur le territoire des BPM de plomb. Pour frapper fort, secouer les esprits et les corps, rendre hommage à l'Afrique et aux Caraïbes, faire revivre biguine et makossa avec un entrain communicatif et un nouveau souffle. Un pied dans le passé, un autre dans le futur, Toups Bebey incarne parfaitement la relève de la scène parisienne des musiques afro-antillaises.

Par : Association Trans Musicale

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Des chercheurs partagent leurs savoirs sur l’eau
Chercheur au CNRS, Thomas Houet étudie l’évolution des paysages en Ille-et-Vilaine notamment au sein d’un dispositif de recherche appelé Zone Atelier Armorique.  Lors d’une sortie scolaire à vélo, il échange avec le directeur de l’école d’Ercé-pré-Liffré (35) qui conduit un projet éco-école sur les questions environnementales. Thomas Houet lui propose de venir avec des collègues rencontrer les élèves pour leur faire part de leurs savoirs sur le sujet de l’eau. En mars 2020, plusieurs enseignants-chercheurs rencontrent les enfants des classes de CM1 et CM2 et abordent les questions de l’eau, notamment l’influence de l’eau sur la faune, sur la flore, l’écoulement de l’eau dans les sols mais aussi la cartographie de l’eau. Une deuxième rencontre a eu lieu avec les enfants et les chercheurs en octobre 2020 au marais de Sougéal, une zone humide classée Natura 2000 pour sa biodiversité, notamment connue comme frayère à brochets et essentielle aux oiseaux migrateurs, située au sud du Mont Saint-Michel. L’occasion pour les élèves de découvrir le site, d’approfondir leurs connaissances et de mieux appréhender le travail des chercheurs “en vrai”. Thomas Houet travaille avec Cendrine Mony sur la Zone Atelier Armorique, dispositif soutenu par le CNRS et l’INRAe, qui étudie l’évolution des paysages en Ille-et-Vilaine sur le long terme et l’influence des changements d’usages du sol et climatiques sur l’environnement, l’eau et la biodiversité. La Zone Atelier Armorique porte sur une zone qui comprend notamment un territoire bocager autour Pleine-Fougères dans lequel s’inscrit le marais de Sougéal et la métropole Rennaise. Thomas Houet est chercheur CNRS, au laboratoire LETG, basé à l’Université Rennes 2. Diplômé de géographie, ses travaux portent sur le Land Change Science, l’analyse des changements d’occupation et d’usages des sols, et l’usage de drones en télédétection.

Par : L'aire d'u

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Briqueterie Kermarec devenue villa-pension La Pago
Certains bâtiments de l´ancienne briqueterie, devenue villa-pension, sont encore visibles près de la caserne Sourdis. Il en subsiste une rangée de petites maisons bordée d´un côté par la route de Quélern et de l´autre par l´ancien chemin pavé, aujourd´hui intégré aux terrain privés. Les bâtiments mitoyens, aujourd´hui transformés en logements, sont constitués de murs à moellons apparents. L´entourage des portes et fenêtres est en brique, tout comme les ouvertures condamnées. Ainsi, la trace d´une ouverture destinée à un atelier de peintres subsiste sur le pignon nord.Des fours à briques et les ruines de deux fours à chaux sont encore visibles aujourd´hui. Le toit du bâtiment qui abritait ces derniers s´est effondré, seuls les murs subsistent. L'ensemble est recouvert par la végétation. Une partie des locaux d´habitation, le mur de l´hôtel et les vestiges de l´orangerie, absorbés par une extension de la caserne Sourdis, ont été intégrés dans le périmètre militaire et leur accès est aujourd´hui interdit au public.La date d´ouverture de la briqueterie de Quélern n´est pas connue avec précision mais remonterait à la fin du 18e siècle. C´est vers cette époque que Méry Vincent, allié par son mariage avec la famille Rideau qui exploitait des bancs calcaires à Roscanvel, construit à Quélern (ainsi qu´au bourg et à Postermen) une usine à briques pour répondre à la forte demande des ministères de la Marine et de la Guerre engagés dans des chantiers considérables dans la presqu´île et dans la rade (nombreuses batteries, notamment à Roscanvel). On doit la présence de cet établissement à l´exploitation de filons calcaires dans la commune. Le calcaire était acheminé jusqu'à l'usine par voiture. Auparavant, les pierres brutes étaient directement exportées vers Brest. L´établissement de Quélern, en activité jusqu´en 1886, soit pendant un siècle environ, s´étendait sur plus de 4 hectares, non loin de la caserne Sourdis. On y fabriquait une gamme étendue de produits : briques creuses et pleines, tuyaux, carreaux et même de la poterie (faïences de Quimper à la fin du 19e siècle). Une citerne avait été construite sur la hauteur (près du réduit) pour l´alimentation en eau. Jusqu'à 80 personnes environ ont travaillé dans cette briqueterie. L'usine ferme en raison de la concurrence active de la briqueterie de Landerneau.En 1903, l´homme d´affaires Austin de Croze se rend propriétaire des bâtiments et ouvre en 1904, sous les conseils du poète Saint-Pol-Roux alors établi à Lanvernazal, une villa-pension appelée La Pagode, en raison de son jardin à la végétation luxuriante (planté de fuchias, aloès, bambous, herbes de la pampa) à une époque où la mode est à l´exotisme. Austin de Croze, vise une clientèle aisée de régiments coloniaux, de touristes parisiens et de promeneurs du dimanche. Il met à la disposition de ses clients, ainsi que l´annonce la publicité de l´établissement, « une salle à manger, un salon de musique, une bibliothèque, un grand atelier d´artistes, des cabinets noirs pour les photographies, des salles de bains et de douche, un café, un kiosque, un garage pour les bicyclettes et les automobiles, une écurie, des jeux de boules, de quille, de croquet et un terrain de tennis ». L´opération est un succès dans un premier temps et fait de Quélern le point de départ de promenades et d´excursions vers tous les pardons du Finistère. Pourtant, l´établissement ferme ses portes à la fin de la saison, en septembre 1909, la fréquentation estivale étant loin de suffire à couvrir les frais d´exploitation et les touristes préférant Morgat, mieux desservie par les navettes des hôtels, ou Camaret. Seuls quelques artistes de passage, comme l´écrivain Ruben Dario et le peintre Ricardo Florès, tous deux originaires d´Amérique du sud, ainsi que le peintre Pierre Vaillant y séjournèrent quelques temps.
Auteur(s) du descriptif : L'Aot Lénaïg

Par : L'inventaire du patrimoine

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