Femmes au travail en Bretagne

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Dentellières au travail
Dentellières au travail devant leur étalage, place Saint Guillaume

Par : Archives municipales de Sa

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Paimpol : La vendeuse de legumes

Par : Dastum

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Religieuse posant devant une maison
Sujet représenté : portrait (escalier ; soupirail ; bâtiment ; chapelet ; croix ; voile ; tunique ; religieuse ; cour) - N° d'inventaire : DOC 992.13.155 ; R992.13.155

Par : Musée d'Art et d'Histoire

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femme en costume bourgeois assise, 1 bébé sur les

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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1 femme assise en costume breton tenant un bébé et

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Quimper : La vieille marchande de cuillers en bois

Par : Dastum

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Les employées de maison à Paris
L'absence de travail en Bretagne incite certaines jeunes filles à quitter leur région. A Paris, elles s'engagent en tant qu'employée de maison. Pour les guider dans leur nouvelle vie, La Maison de la Bretagne les accueille.

Par : INA

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La Coiffe de Nantes : [carte postale] : Une Marcha
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Carte postale

Par : Yroise - bibliothèque numé

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plaque de verre
Sujet représenté : scène (école professionnelle ; couture ; couturière ; table ; jeune femme ; le travail) - N° d'inventaire : 2015.0.153

Par : Musée d'Art et d'Histoire

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Famille paysanne devant un porche
Sujet représenté : portrait collectif (jeune fille ; homme ; vieille ; fillette ; chapeau ; panier ; mur ; porte ; jeune homme ; tablier ; nourrisson ; blouse ; sabot ; garçon ; fille ; femme ; famille) - N° d'inventaire : DOC 992.13.35 ; R992.13.35

Par : Musée d'Art et d'Histoire

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Guillemette et sa nourrice
Sujet représenté : portrait collectif (cour ; tablier ; nourrice ; dentelle ; corsage ; jupe ; fillette ; mur) - N° d'inventaire : DOC 992.13.371 ; R992.13.371

Par : Musée d'Art et d'Histoire

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Mont da labourat en Amerik [Aller travailler aux E
Ganet e 1901 e Kastell-Nevez-Ar-Faou, Marie-Josèphe Citarel a ziviz e 1927 ober evel pemp eus he breudeur : kuitaat ar vro ha mont da labourat en Amerik asambles gant he gwaz. [En 1927, Marie-Josèphe Citarel, née en 1901 à Châteauneuf-du-Faou, décide de suivre l'exemple de cinq de ses frères : quitter le pays et partir avec son mari travailler aux Etats-Unis.]

Par : INA

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Témoignage de Jeannette Bodou
Jeannette Bodou, ouvrière à la manufacture de tabac de Morlaix, évoque son travail et sa condition d'ouvrière.

Par : INA

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(Côte d'Emeraude) St-Malo - Une Sécherie de Morues

Par : Dastum

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Entretien Andrée Weber
Entretien avec Mme Weber, à propos de M. Albert Weber. Bobine 8 : Andrée Weber (institutrice) Institutrice bretonne, Andrée Weber a longtemps vécu en Algérie du temps des colonies, où elle rencontra son mari, dentiste alsacien épris de cinéma. Se décrivant comme « la porteuse de caméra », femme de l’ombre, Mme Weber accompagnera son mari lors de ses tournages, qui donneront naissance à de très nombreux films portant sur le désert et la vie des habitants du M’Zab. Le sourire aux lèvres et rêveuse, Mme Weber nous confie n’être que la seconde femme de son mari, la caméra étant l’élément de sa vie le plus important, une passion dévorante qui occultait tout le reste…

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Bobines d'amateurs : Loïc et Marie-Yvette Chantere
Monsieur navigue, Madame reste à terre. Mais tous deux ont une caméra, qu’ils utilisent comme d’autres auraient recours au papier et au crayon. Cette correspondance cinématographique, ces films réalisés pour garder trace et témoigner de ce que chacun faisait, leur permettaient de conserver le lien unique qui unissait ce couple passionné de cinéma. Depuis toujours attiré par les documentaires, pour ce qu’ils avaient d’éducatif, M. Chantereau s’en est allé en mer caméra à la main pour expliquer à tous ceux qui restaient à terre ce qu’était par exemple la grande pêche à Terre-Neuve. Il ne préparait jamais rien, mais filmait tout et réalisait son film au montage, avec moult coupures et collages s’il le fallait.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Les filles de la sardine
Elles sont encore 300 environ à travailler dans la dernière et la plus ancienne conserverie de Douarnenez. Embauchées depuis quelques mois ou à poste depuis des années, à l'usine et " hors les murs ", " les Filles de la sardine " nous racontent leur quotidien, leurs premiers jours, les conditions de travail, les copines, la solidarité, les revendications, leurs rêves.

Par : Bretagne et diversité

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Madalen an Amour
Décembre 1998 - Madalen an Amour vient de sortir un nouveau livre en breton intitulé "Bugale Kerugan" (les enfants de Kerugan) qui raconte des souvenirs d'enfance dans la campagne trégorroise. Madalen n'a pas toujours été écrivaine, loin de là. Elle a exercé de nombreux métiers dont institutrice à ses débuts et employée à LTT pendant 20 ans. Madalen, a accepté de recevoir chez elle des élèves de classe bilingue, Gwladys, Klervi et Nolwenn, qui avaient préparé un lot de questions à lui poser. Et avec une grande gentillesse, elle a répondu à toutes ces questions, tout cela en breton, bien sûr (sous-titré, bien entendu) ...

Par : TV Trégor

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Réparation du filet de pêche

Par : Diocèse de Quimper et Léon

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Al lapin a c'haloup bepred - Le lapin court toujou
Trois ans après Mon lapin bleu, Yvonne, tenancière d'un bistrot de campagne, a cessé son activité à 80 ans et vit toujours sur place. Yvonne a beaucoup de visites, comme aujourd'hui celle de Yann, le romancier bigouden. C'est en breton, qu'ils conversent. Et c'est seulement en breton, sa langue maternelle, qu'Yvonne peut aujourd'hui se confier...

Par : Bretagne et diversité

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CONCARNEAU - Le repose de la ramandeuse
Concarneau.- Une jeune femme pose en costume traditionnel, en train de réparer un filet de pêche.. Date : 20e siècle, début. Fonds : Cartes postales

Par : Archives départementales d

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Crises économiques, migrations féminines et nouvel
Conférence Crises économiques, migrations féminines et nouvelles formes de domesticités donnée par Caroline IBOS, Politiste, Maîtresse de conférences, Université Rennes 2 / Laboratoire d’études de genre et de sexualité (LEGS

Par : L'aire d'u

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12/3/24, Bois de Boulogne [nourrices bretonnes prè

Par : Gallica

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Plaque commémorative de la pêcheuse jaguine
Plaque en bronze avec décor en relief représentant une pêcheuse de coques avec son râteau, signée de Poiron, avec l'inscription suivante : Elles aussi ont fait l'histoire de Saint-Jacut. Cette plaque est apposée sur un mur en granite. L'oeuvre commémorative est située devant la plage de la Banche, au dessus de la cale de Béchet.Cette plaque commémorative, réalisée en décembre 2003, par Poiron (atelier BBC), rappelle l'économie vivrière de la pêche à pied, en particulier le travail des femmes à la grève, coquères (pêcheuses de coques), chevrinouères (pêcheuse de chevlin ou chevrin), mancouétères (pêcheuses de mançots ou pieds de couteaux), sans oublier celles qui pêchent des panerées de menuse, de buée et de lançonnets, pour l'affare. Leurs patronymes et leurs surnoms sont conservés dans la mémoire locale grâce au témoignage oral de ceux qui les ont connues : la "Vieille Margot", Marie-Rose Goasdoué, pêcheuse de coques, "La Grande Blochette", Joséphine Touze chevrinouère et Françoise Pilard (née en 1920), dernière pêcheuse à pied de Saint-Jacut.Les pêcheuses de coques fréquentaient en particulier les "banches du baie" entre Saint-Jacut et Le Guildo, qu'elles descendaient au "Tourillon", en groupes ou par affinités. Elles devaient traverser l'Arguenon (appelée 'la rivière') parfois en crue dans les gués. La pêche se vendait au mannequin, contenant une trentaine de kg, qu'elles devaient porter sur le dos (parfois deux sacs) et ramener jusqu'à la cale de la Banche, après 4 heures de pêche. Les Jaguines pêchent de jour comme de nuit, songnant le chevlin pour alimenter en affare les bâts (bateaux) qui "faisaient" le maquereau. Le "journal parlé des Banches du Bay" était alimenté par les conversations des chevrinouères et des coquères.En 1914, selon le témoignage de Jean-Baptiste Lemoine, elles étaient encore une trentaine de tous âges à pratiquer cet impitoyable métier, même des femmes enceintes jusqu'à sous les bras.Les mareyeuses, nombreuses à Saint-Jacut, faisaient le commerce des coquillages et des poissons, comme Jacques et Rose Carré, qui utilisaient un âne pour transporter leur 'poissonnerie'.
Auteur(s) du descriptif : Prigent Guy

Par : L'inventaire du patrimoine

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2 femmes en costume bourgeois et un militaire tena

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Une marchande de "souvenirs" en coquillages à Canc
Numérisation : Archimaine - 2021

Par : Les tablettes rennaises

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