Le fest-noz en Bretagne

vignette
picto
Fest-noz avec Gwenfol

Par : Dastum

vignette
picto
Fest-Noz
Fêtes folkloriques du Léon. Bagadoù et cercles celtiques qui défilent dans les rues (à identifier). Danses bretonnes. Concours de lutte bretonne. Fest-noz (sonneurs et chanteurs à identifier). Les sœurs Goadec au chant. La Kevrenn Brest St Marc.

Par : Cinémathèque de Bretagne

vignette
picto
Une nuit en Bretagne
Regard singulier sur le fest-noz en tant que réalité culturelle d’aujourd’hui. Notoires ou anonymes, les personnages du film se livrent sans fard et transmettent leur vision du fest-noz, avec sincérité, un brin d’amusement parfois mais toujours avec beaucoup de passion..

Par : Bretagne et diversité

vignette
picto
Chanson Job Kerlagad
Chanson de Job Kerlagad, en fest noz, accompagné des Trouzerions.

Par : INA

vignette
picto
Concarneau portes ouvertes ; fest-noz
Voyage à Concarneau, juin 1978 ; porte ouverte I.M.P.R.O. du Valais, juin 1978 ; neige à Saint-Brieuc, juin 1979 ; fest-noz, château, juin 1979.

Par : Cinémathèque de Bretagne

vignette
picto
Grand fest-noz grand bal breton

Par : Dastum

vignette
picto
Fest-Noz à Ploujean
au profit de l'orphelinat de Rwamagana (Rwanda)

Par : Dastum

vignette
picto
Ar paotr bihan savant ha disoursi

Par : Dastum

vignette
picto
Les Frères Morvan aux Rencontres Trans Musicales d
En Bretagne, les trois Frères Morvan, paysans de leur état, animent les fest noz depuis plus de quarante ans. Lors de leur prestation entièrement a capella, ils n'auront qu’un seul but : vous faire danser sur du Kan Ha Diskan, tradition bretonne par excellence.

Par : Association Trans Musicale

vignette
picto
Les loisirs en campagne
Extrait du film "Au paysan breton ou la mémoire du sabot" de Patrick Camus. Dans le pays de Gourin, les loisirs pour les jeunes sont rares. Ils se rejoignent parfois au café pour écouter de la musique. Les anciens quant à eux, se retrouvent au fest noz ou à la veillée pour chanter des chants traditionnels bretons.

Par : INA

vignette
picto
Fest-noz de soutien à Trégor-Vidéo
Il était une fois une belle association qui s'appelait Trégor-Vidéo. Dotée de plusieurs salariés, elle a été, pendant 20 ans, le fer de lance de la télévision de proximité dans le Trégor. Une télévision locale portée au départ par les élus locaux et le pôle télécoms de Lannion. Pour la petite histoire, Trégor-Vidéo était issue de la fusion de VIDEOTEC (productrice de programmes) et de VIDEOCOM (gestionnaire du Réseau Vidéo du Trégor en fibre optique). Ce petit miracle n'a été possible que grâce au soutien financier, pendant plus de 20 ans, des collectivités locales (communes, communautés de communes, département). Et puis, patatras ! Après l'an 2000, au fil des années, malgré de nombreuses démarches, les subventions publiques se sont raréfiées, sans justification. L'attention des élus locaux s'est détournée de cette belle aventure qui ne demandait qu'à perdurer, pour continuer à prouver le dynamisme technique et créatif du Trégor. Quel gâchis ! En guise de tentative de la dernière chance, mais sans trop y croire, Trégor-Vidéo a organisé au printemps 2010, à Pleumeur-Bodou, un fest-noz de soutien qui s'est révélé être un fest-noz d'adieu. Cet événement a, bien sûr, été mémorisé en images par Trégor-Vidéo elle-même. C'est cette fête au goût amer, mais pleine de musique et de gaité que nous vous proposons de revivre aujourd'hui. Trégor-Vidéo a produit pendant toutes ces années un nombre considérable de reportages, de magazines (édités en cassettes VHS au début), de documents vidéo pour des associations ou des entreprises. Elle a organisé des plateaux TV, réalisé d'innombrables captations de spectacles. Tout cela, fort heureusement a été sauvegardé et en grande partie numérisé. Aujourd'hui, TV-Trégor, héritière de Trégor-Vidéo (mais sans aucun salarié), a l'honneur et le plaisir de faire partager ces documents d'archive aux trégorrois et ... au monde entier puisque le miracle du web nous permet d'être vus "worldwide". Mais, assez bavardé . Place à la musique et à la danse bretonne ...

Par : TV Trégor

vignette
picto
Carlos Nuñez au Festival des Hortensias 2008
Pour son 25e anniversaire, en août 2008, le Festival des Hortensias avait vu les choses en grand : six ensembles traditionnels, trois bagads, deux groupes mythiques pour le fest-noz et une légende de la musique celte, Carlos Nuñez. Le galicien, qui n'en était pas à sa première apparition au festival, a vite retrouvé ses habitudes et son goût pour la danse bretonne. Et puis, il y a eu ces deux heures de pur bonheur musical qui ont comblé les festivaliers. Ceci n'a pas empêché le musicien de se livrer avec une grande gentillesse aux reporters de TV-Trégor, présents ce soir là. Place à l'artiste ...

Par : TV Trégor

vignette
picto
Une tradition au XXIème siècle - Quels sont les di
La réalité de la pratique des musiques traditionnelles en Bretagne est avérée et reconnue en France et sur le plan international (UNESCO). Pour autant, la façon de vivre et de pratiquer la tradition en Bretagne n’a cessé d’évoluer depuis deux siècles pour prendre des visages multiples. Les communautés musicales réinventent en permanence leur façon d’agir et de penser la musique. Fest-noz, salles de spectacle, café-concerts et festivals : quels sont les lieux de la pratique musicale bretonne aujourd’hui ? Quelle conception de la musique se fait jour dans ces espaces ? Quelles perspectives pour les pratiques des musiques traditionnelles au 21e siècle ?

Par : L'aire d'u

vignette
picto
Témoignages – À la croisée des contextes
Historiquement pratiquée sur scène (groupe folklorique, cercles celtiques, ballets populaires) dans un format spectaculaire et ayant investi le bal (fest-noz puis bal folk), la danse traditionnelle s’inscrit aujourd’hui dans de nouveaux contextes, spécifiques ou non, et prend de nouvelles formes, pour lesquelles les musiciens jouent un rôle parfois important. Souvent très impliqués dans ces démarches, ils peuvent aussi être force de proposition voire même à l’origine de projets pour certains. Ce premier temps se veut une vitrine de ces nouveaux contextes, ou ces nouvelles formes en laissant la parole aux acteurs et porteurs de projet. Intervenants : Stéphane HARDY Étudiant en Master au Pont Supérieur Nolùen LE BUHE Chanteuse (chant traditionnel breton) Ivan RAJALU Ivan du rêve Tristan GLOAGUEN sonneur et danseur confirmé Modérateurs : Christophe APPRILL et Emmanuel PARENT

Par : L'aire d'u

vignette
picto
Les Ours du Scorff aux Rencontres Trans Musicales
Quels sont les points communs entre l'Ours, le fest noz et Henri Dès ? A priori aucun... Et pourtant. Ces ours-là sont cinq - autour des fameux Laurent Jouin et Gigi Bourdin -, habitent le Centre Bretagne, pratiquent l'art de la musique celte depuis longtemps et ont enregistré La Maison Des Bisous à l'attention des enfants. Le Retour D'Oné, leur troisième album, possède toujours ce charme hors contexte, mâtiné d'humour et d'autodérision. Si leurs chansons font rire les petits, elles n'en possèdent pas moins plusieurs degrés de lecture, propres à embarquer les plus grands dans leur sillage festif et joyeux. Grâce à ces Ours, qui ont reçu le Prix de l'Académie Charles Cros en 1995, les termes folk et traditionnels peuvent aussi rimer avec humour décapant.

Par : Association Trans Musicale

vignette
picto
Coray 1981, les fêtes
Film réalisé par René Métairie. Deux bobines de 160 mètres 1/ 2 : L'affiche dit : " Coray, les ". Partie de football amateur. Le concours de boules. Comme tous les ans, M. métairie filme les boulistes urinant dans le fossé. Course à l'oeuf , course en sac et course des enfants avec un chien en laisse. (Virage magenta, film craquelé en fin de bobine (champignons ?) 2/2 : Une affiche dit : Coray, 15 août, Fête de la moisson. Défilé de 400 costumes et spectacle folklorique". Préparatifs du défilé. Les cercles celtiques, bagadou, troupes folkloriques de Galice, Pays de Galles, Provence et Auvergne. Danses sur la chaussée. Les anciens, comme chaque année, investissent l'estrade, devant la foule endimanchée, c'est la démonstration du battage au fléau. Un pause s'impose, c'est la bolée de cidre. Danses bretonnes assez acrobatiques. Dans le public, la mode est au bob. Danses provençales. Discussions aux alentours de la buvette. Les danseurs et danseuses se succèdent sur la scène.Un groupe de chanteuses. Prises de vues le soir, le fest noz, (sousexposé).

Par : Cinémathèque de Bretagne

vignette
picto
Stivell, Kirjuhel au Larzac...
Alan Stivell en concert (N/B). Kerjuel au Larzac. Festival de Kertalg près de Quimperlé (Brenda Wooton). Jeux populaires. Fest-noz en soutien aux ouvriers des Etablissements Guichaoua. TORR E BENN, La contestation a d’autres voix A l’inverse des autres, le groupe Torr e Benn, créé en 1972 lors de la grève du Joint Français de Saint-Brieuc, est un collectif sans existence “officielle”. Le groupe réalisera jusqu’en 1975, des films spontanés mettant en images des grèves et des manifestations. Dans la mouvance des idées de Mai 68, mais d’horizons différents, les membres du collectif sont entre la Bretagne et Paris : Jean-Louis Le Tacon est alors étudiant en sociologie à Rennes, Patrick Prado, a déjà participé à l’Association Populaire d’Image Cinéma (APIC) à Paris, il y a aussi Geneviève Delbos. Torr e Benn tire son nom de la devise des paysans révoltés de 1775, les bonnets rouges, dont la devise était “casse-leur la tête” Les films étaient réalisés en Super 8, souvent “saisis au grand capital”, expédiés au labo et montés quinze jours plus tard pour être diffusés. La vidéo sera rapidement utilisée pour une plus grande liberté d’action : “on filmait le matin, on montait –ou pas- l’après-midi et on diffusait le soir” “ D’abord ce qui importait, c’était principalement l’engagement militant auprès des ouvriers bretons et des paysans, ainsi que dans le mouvement breton, et cela dès le début. ” Jean-Louis Le Tacon

Par : Cinémathèque de Bretagne

vignette
picto
Marthe Vassallo chante "Son ar bizhin gwenn"
Dans l'ouvrage de Daniel Giraudon, "La clef des chants" (**), on trouve principalement des gwerzioù qui sont des chants populaires relatifs, la plupart du temps, à des événements dramatiques qui ont marqué les gens de l'époque et dont la mémoire s'est transmise oralement jusqu'à nos jours. Mais il existe au moins une exception dans ce livre. Il s'agit de "La sône du goëmon blanc" ("Son ar bizhin gwenn") qui raconte simplement et avec humour le travail et les rêves de la ramasseuse de goémon blanc (jargot) à Trévou; ceci sur un air guilleret et dansant. A l'origine, la chanson nous vient d'une certaine Jeanne Huon, une femme de Trévou; mais le texte qui est interprété ici est celui de Maryvonne Le Flem collecté par Anatole Le Braz, et l'air est de François Thomas, un perrosien. Quant à la chanteuse, il s'agit de Marthe Vassallo, qu'on ne présente plus dans le Trégor (quoique ... *) et que nous remercions très chaleureusement pour cette interprétation très vivante de "Son ar bizhin gwenn", rien que pour vous ... (*) Bio express de Marthe Vassallo, chanteuse Née dans le Trégor, Marthe Vassallo commence à chanter dans les fest-noz et les veillées à l'âge de 17 ans. Récompensée à plusieurs concours (dont le Kan ar Bobl en 1993), sa carrière ne se limite cependant pas au chant : elle a été comédienne, animatrice TV en breton pour France 3 Ouest. Elle est membre bénévole de l'association de collectage Dastum, pour laquelle elle fait de la transcription et de la traduction. Cette collaboration lui a permis d'élargir son répertoire de chants. Considérée comme une des plus grandes voix de la musique traditionnelle bretonne, elle embrasse également une carrière de chanteuse classique, d'abord dans les chœurs de l'Opéra de Rennes, puis auprès de Mélisme(s). (**) "La clef des chants" de Daniel Giraudon : voir en suivant ce lien, le reportage "Quand la gwerz nous est contée"

Par : TV Trégor

vignette
picto
La coiffe du pays FANCH
Le Pays FañchSitué en Centre-Bretagne, au Sud-ouest des Côtes-d’Armor, le Pays Fañch est, comme tout le cœur de la Bretagne, un haut lieu du renouveau du fest-noz, avec sa « Dañs Plinn » caractéristique et ses sonneurs de clarinette. Là se trouve le plus grand chaos granitique de Bretagne, et les Gorges du Corong, situées sur la commune de Locarn, constituent un attrait touristique majeur. Le fleuve Blavet imprime également sa marque dans le paysage, passant notamment par Trémargat et Gouarec.C’est une région où l’agriculture et l’élevage dominent : éleveurs de génisses, spécialisés dans les animaux à haut potentiel génétique, côtoient paysans passionnément tournés vers l’agriculture biologique. Ces derniers ont d’ailleurs créé « Biozone », foire biologique de Mûr-de-Bretagne à résonance nationale, qui en est à sa 30me édition en 2015. C’est un pays de passionnés, attachés à un territoire où il fait bon vivre.C’est aussi le pays, entre autres, des Frères Morvan, de Marcel Guilloux et de Yann-Fañch Kemener.La coiffe du Pays FañchSelon le classement de R.-Y. Creston que nous prenons comme référence, elle fait partie du groupe de Carhaix et comprend les communes suivantes : St Nicolas du Pelem, Plounevez-Quintin, Canihuel, Corlay, Plussulien, St Igeaux, Ste Tréphine, Plouguernevel, Gouarec, Laniscat, St Gelven, Perret, Ste Brigitte et en partie les communes de : St Mayeux, Caurel, Plélauff, Trémargat, Lescouët-Gouarec.Au XIXe siècle, étaient portées une grande coiffe de cérémonie qui évoluera vers la Korledenn portée dans la région de Carhaix et, parallèlement, une coiffe plus petite, la « Koef Sionn » dont le porté se rapproche de celui des coiffes du pays Gallo. Au début du XXe siècle, les femmes portent une coiffe encore simplifiée, pour adopter finalement entre les deux guerres une coiffe très légère en filet carré ou en filet irrégulier d’une grande finesse.Alors que classée dans le groupe de Carhaix du fait de sa forme, la coiffe du Pays Fañch, se caractérise par un porté particulier par rapport à sa voisine de Carhaix dans la mesure où la chevelure, bien que ramassée en un chignon bas dans une résille retombant presque sur le cou, n’est pas recouverte par la coiffe. Cette coiffure vient de Haute Bretagne, toute proche.Cette caractéristique dans le port de la coiffe aurait valu, assez récemment, le sobriquet de « Fanchon » aux femmes la portant, signifiant délurée, légère. Ce serait, semble-t-il l’origine du nom du pays, Pays Fañch ».
Auteur(s) du descriptif : ijin ha Spered ar Vro

Par : L'inventaire du patrimoine

Afficher le widget sur mon site Voir tous les documents
X

Afficher le widget sur mon site

Vous pouvez afficher le ce widget sur votre site en insérant le code suivant :

<iframe src="https://widget.breizhapp.net/index.php?set=wgt_festnoz"></iframe>

Vous pouvez également voir la liste de tous les widgets à l'adresse suivante Liste des widgets