Le patrimoine de Landerneau

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Plan de la ville, du port et des faubourgs de Land
Plan imprimé en couleurs, non daté, non signé, de la ville, du port et des faubourgs de Landerneau.

Par : Médiathèques de Quimper Br

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Contraventions et commissaires de police à Landern
Contraventions et commissaires de police à Landerneau vers 1740 par l'abbé Antoine Favé

Par : Médiathèques de Quimper Br

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Bréviaire de Landerneau
Manuscrit sur vélin, texte en deux colonnes, lettrines rouges, bleues, noires. Petit in 8° : 11,5 x 15 cm. Date approximative.

Bibliographie :

Bulletin et mémoires de la Société archéologique du département d'Ille et Vilaine, tome XXV, Rennes 1906, p. 141-144, n°55 : "Bréviaire de Landerneau du XVè siècle", par M. l'Abbé F. Duine.

François-Marie Duine, Inventaire liturgique de l'hagiographie bretonne, Paris, librairie ancienne Honoré Champion, 1922, 291 p. (La Bretagne et les pays celtiques, n° XVI) .
Extrait du Bulletin de la Société archéologique d'Ille-et-Vilaine, T. XLIX. Cf. p. 211 : CCXCIV, "Bréviaire manuscrit de Landerneau".

Bernard Merdrignac, « L'Espace et le Sacré dans les leçons de bréviaires de l'Ouest armoricain consacrées aux saints bretons (XVe-XVIe siècles) », dans Annales de Bretagne et des pays de l'Ouest, vol. 90, 1983, p. 273-293.

Dossier constitué par M. le Chanoine Peyron, aux archives de l'évêché à Quimper à la cote 2 Z 401 (partiellement numérisé).
Transcription de la partie "Propre des saints" du Bréviaire de Landerneau par M. le Chanoine Jean-François Falc'hun, Dirinon, 1987, aux archives de l'évêché à Quimper à la cote 83 Z 28 .

Par : Diocèse de Quimper et Léon

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Vieille maison de la place du Marché : [carte post
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Carte postale

Par : Yroise - bibliothèque numé

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Lanrinou Ekta EF
Landerneau : chantier dans la zone industrielle de Lanrinou. Construction du futur bâtiment rond de l’Office Central, Coopagri (aujourd'hui Triskalia). Cette construction est une copie de Volvo en Suède. Tractopelles, aplanissement du terrain, on creuse, on met à niveau. Matériels (tractopelles) de travaux : Entreprise L.Bothorel, Landivisiau. Grue. Ardoise sur l’herbe « Dépoli flou / posemètre / juste milieu ». Parking extérieur de la laiterie avec des camions « Coopagri Bretagne » stationnés vert et blanc avec le logo de Coopagri. Terrain plat, panoramique des alentours. On voit les tractopelles au loin (terrain à côté de la laiterie, séparé par une route). Ardoise « Dépoli net / aiguille / posemètre / à ½ cours vers… » Sur le chantier avec les fondations. Les ouvriers montent la structure en hauteur, ils portent un ciré jaune, temps gris. Les premiers murs porteurs sont montés. Puis le chantier avance, on voit un second terrain à côté qui est aplani et en forme de rond également. Le deuxième étage du bâtiment est en cours de construction. Panoramique des alentours. On voit le bâtiment structuré sur 4 étages. Le plan est de travers (effet Tour de Pise). Une grue « Potain », matériel : ciment Lafarge. C’est l’été, le bâtiment commence à être bétonné. Sur le second terrain rond, le chantier a démarré, le rez-de-chaussée est fait.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Gymnase du collège de Mescoat, Mescoat (Landerneau
Le projet lauréat a été choisi pour sa qualité en terme d’organisation des espaces, mais aussi pour l’attention particulière donnée à la gestion de l’éclairage naturel de la salle et à la conception des cheminements extérieurs. Le gymnase, de 1 674 m2 de surface utile, dont un terrain de sport de 26,3 par 48,2 mètres permettant d’installer, par exemple, neuf terrains de badminton, est ouvert sur des plateaux sportifs extérieurs. Le principal défi technique a consisté à construire une surface de plain-pied sur un terrain accusant une pente de 10%. Il a donc fallu créer un soubassement en béton d’environ 3,90 m de hauteur pour ancrer le bâtiment dans la pente et le surmonter d'un gymnase de 9,20 m de haut à structure en charpente et bardage métalliques.L'équipement comprend une salle de sport, quatre espaces de rangement, un espace réservé aux enseignants (bureaux, vestiaires,douches), quatre vestiaires pour les élèves, des sanitaires et des locaux techniques. Des espaces de rangement de matériel sont aussi prévus pour les activités extérieures. Le choix s’est porté sur des vestiaires traversants, permettant de préserver les sols sportifs et de rendre l’espace fonctionnel. Les élèves entrent dans les vestiaires en tenue de ville, avant de ressortir sur le terrain, en tenue de sport. L’entrée, avec ses quatre portes d’accès, est dotée d’un auvent pour abriter les élèves. Pour les façades hautes de la salle multisports, le projet privilégie une conception bioclimatique des façades, adaptée à chaque orientation et à chaque situation. Le choix d’exploiter la lumière naturelle au maximum, en alternant selon l’orientation, l’utilisation de baies vitrées, de polycarbonate translucide ou de lumière zénithale grâce à des lanterneaux,devrait permettre une optimisation de la consommation énergétique. L’éclairage à leds, moins énergivores, complète cette logique. Dans la grande salle, l’éclairage artificiel pourra être utilisé en appoint l’hiver, le matin ou en fin d’après-midi. Les parois basses du gymnase sont réalisées en béton ou en aggloméré et surmontées d’une charpente métallique. La sous-face de la toiture et les parois hautes sont traitées avec de la tôle perforée, à laquelle un absorbant acoustique a été ajouté. La toiture est réalisée en bac acier avec un isolant. L’étanchéité est faite sur le dessus.Dans les espaces de circulation, les plafonds sont aussi traités avec des matériaux absorbants pour minimiser la résonance et respecter les normes PMR. Ils sont en bacs de métal et les absorbants constitués d’un flocage acoustique.Le collège de Mescoat, le plus grand du département, utilisait précédemment une salle municipale - un COSEC modèle Abadie - de 1981, située à proximité. En 2012, le conseil général décide de construire un nouveau gymnase et, le 1er juillet 2013, sa commission permanente choisit de faire appel à l’équipe d’architectes briochins Coquard, Colleu, Charrier. La première pierre du nouvel équipement, d'un coût de 3,3 millions d'euros, est posée le 24 novembre 2014. L'inauguration a lieu le 24 novembre 2016.
Auteur(s) du descriptif : Bonnet Philippe

Par : L'inventaire du patrimoine

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Gymnase de Mescoat, allée de Mescoat (Landerneau)
Halle de sports composée d’une aire de jeux de 40 m x 20 m avec locaux annexes, vestiaires, sanitaires et local technique. Structure extérieure en agglomérés cimentés destinés à recevoir une peinture. Charpente lamellé avec revêtement toiture en bardeaux d’asphalte.Le 27 février 1979, le conseil municipal retient le projet des établissements Joncquez "qui ont déjà édifié plusieurs salles de sport dans la région, dont une à Lesneven". Il approuve le montant de la dépense estimé à 1,4 MF et donne mandat au maire de passer le marché. L'arrêté d'approbation technique est signé le 19 juin 1979 et le permis de construire le 27 juillet. Le projet bénéficie d'une subvention de 500 000 F au taux de 34,86%. Le chantier démarre le 7 septembre 1979. La réception des travaux est prononcée le 15 avril 1981 avec effet au 31 octobre 1980.
Auteur(s) du descriptif : Bonnet Philippe

Par : L'inventaire du patrimoine

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La Société Linière du Finistère
La Société Linière du Finistère s'étendait sur environ 16 hectares à la sortie est de la ville. Le site comprenait des bâtiments et un étang de retenue (environ 6 ha).Le mémoire établi lors de la liquidation des biens de la Société, en date du 25 janvier 1892, nous en donne une description précise. Le site comporte plusieurs bâtiments, dont les descriptifs et dimensions sont indiqués en annexe dans la transcription du document, conservé aux archives départementales du Finistère sous la cote 7 M 247.Trois ensembles de bâtiments sont encore visibles actuellement sur le site, chacun étant dans un état plus ou moins bien préservé. Ces ensembles architecturaux sont partagés entre deux types de matériaux : la pierre et la brique.La Peignerie et le scutcher. La Peignerie est un bâtiment de forme rectangulaire et longitudinale (n°33 sur le plan). Il est constitué de pierres ainsi que de briques pour l’encadrement de la porte. L’élévation se fait sur deux niveaux, avec un rez-de-chaussée et un premier étage, et un toit en éverite. Le long du rez-de-chaussée de la Peignerie se trouve, complètement accolé, le bâtiment nommé « scutcher » (n°34 sur le plan) qui n’a qu’un niveau et dont le toit est manquant. Le nom de ce bâtiment provient de l'anglais scutching-machine (teilleuse) et qui était aussi appelé "moulin irlandais" ; la mention "scotcher" se retrouve aussi, cependant ce n'est qu'une déformation du mot d'origine. L’ensemble général des bâtiments est délabré, la végétation est plutôt dominante. Côté rivière, des latrines en brique et un accès par un escalier qui donne directement sur la rivière sont à noter. De plus, des vestiges d’une passerelle qui passait par-dessus l’Elorn sont encore visibles. Ajoutons à cela, que deux "roues" ou "meules à chanvre" ont été retrouvées sur le site, dans une propriété privée. Toutes deux en granite, elles mesurent 2 mètres de diamètre pour 50 centimètres d'épaisseur, et elles pèsent dans les 4 tonnes.Les magasins liniers. Le deuxième ensemble de bâtiments encore préservé est celui qui est en bordure de route, dans la rue des Écossais. Sur l’ensemble actuel, ce sont au moins deux bâtiments d’origine qui sont accolés, chacun s’élevant sur deux niveaux : l’habitation-bureaux pour le premier (n°20 sur le plan) et les magasins de lins et fils au rez-de-chaussée du second du bâtiment (n°21 sur le plan), avec au premier étage les marchands et les outils. Ils forment ainsi un ensemble longitudinal à multiples travées. L’encadrement est de pierre pour la porte principale et de brique pour la secondaire, et les fenêtres sont encadrées de béton.La blanchisserie. Enfin, construite le long de l’Elorn, se trouve l’ancienne blanchisserie (n°2A sur le plan). L’état actuel de ce bâtiment laisse voir deux affectations différentes qui se sont succédées dans le temps et qui se retrouvent dans le choix des matériaux encore visibles dans la structure en ruine. En effet, dans un premier temps se trouvait la blanchisserie qui était constituée de pierre et s’élevait sur deux niveaux : la blanchisserie en elle-même au rez-de-chaussée et le séchoir à l’air libre au premier étage. Aujourd’hui, les parties architecturales de la blanchisserie ne sont qu’apparentes par le matériau (la pierre) et par l’élévation marquée par les huit piliers qui subsistent, tandis que le toit, lui, a disparu. La blanchisserie reste visible de loin grâce aux trois pignons restants côté ouest et qui devaient marquer les trois vaisseaux composants de la structure (voir ill. « Ancienne filature » pour visualiser une comparaison). Et dans un second temps, la briqueterie a investit les lieux de l’ancienne blanchisserie. Les vestiges que nous pouvons observer imbriquent alors à la fois celles de la blanchisserie et celles de la briqueterie, distinguables par leur principal matériau de construction (respectivement la pierre et la brique).La manufacture du Léon qui fabriquait les Crées, ces toiles de lin qui étaient exportées par les ports de Landerneau et Morlaix, était « gérée » par les négociants (Heuzé, Radiguet, Homon, Goury, Le Roux), souvent également armateurs de ces deux villes.Dans un premier temps (début du XXe siècle) ils ont organisé le tissage en ateliers, comme celui installé au couvent des Capucins, où, en 1820, 160 métiers environ tissaient le lin, le coton, les siamoises de couleur, le linge de table mais principalement des toiles à carreaux, fil bleu d’épreuve, façon de Bruges et de Lille.Si les premières étapes de la transformation de la fibre ne pouvaient se faire que manuellement, ils ont souhaité prendre modèle sur les Anglo-saxons, en avance sur la mécanisation, pour le filage et le tissage. C’est ainsi que peu à peu ils ont opté pour l’installation d’une usine pour produire de la toile en quantité et en qualité capable de répondre au cahier des charges de la Marine. Le lieu d’implantation a été choisi en fonction de l’énergie nécessaire au fonctionnement des machines, en l’occurrence, à l’est de la ville sur les bords de l’Elorn afin de profiter de la force hydraulique de la rivière.Ils déposent les statuts de la Société Linière le 22 août 1845 (voir en annexe), avec comme associés (qui seront, pour certains, suivit par leur fils) René Poisson (1768-1854) ; Joseph et Charles Goury (1779-1869/1815-1885) ; Jean-Isidore Radiguet (1792-1862) ; François et Gustave Heuzé (1789-1852/1821-1898) ; Guillaume et Albert Le Roux (1794-1868/1836-1912).Les machines sont achetées pour la plupart en Irlande. Le personnel est recruté sur place mais la Société Linière attire également des ouvriers d'autres communes finistériennes (Plounéour-Ménez, Commana...) et d’autres pays de tisserands, tel que les Côtes d’Armor. Afin de former et d'encadrer les ouvriers bretons, les négociants pré-cités font venir des contre-maîtres et ouvriers spécialisés Écossais.Ceux-ci forment alors une véritable communauté, ont leur pasteur, leur école dans le « quartier des Écossais ». Les bâtiments d'habitation des contre-maîtres sont toujours visibles près de la voie ferrée.L'apport des actionnaires dans la société est constitué principalement de blanchisseries ou d'ateliers de tissage répartis sur un territoire qui va de Landerneau à Ploudiry, Landivisiau, Saint-Sauveur, Commana, Plourin. D'autres ateliers de tissage ont été construits et mis en œuvre ultérieurement (Guimillau).Le principal client de la Société sont la Marine Royale qui passe commande pour des toiles à voile, vareuses, chemises, pantalons et manches à eau, et I‘Administration de la Guerre pour laquelle elle fabrique des toiles « à tentes de soldats et d’officiers », ainsi que pour les sacs de campement.Le lin n’est pas acheté sur pied, l'ensemble des essais de rouissage industriel ayant échoué, la Société achète le lin roui qu’elle stocke au couvent des Capucins, stockage qui devient le rôle principal de la communauté après la construction des nouveaux bâtiments de la filature à I‘entrée de la ville (1847). C’est aussi au couvent des Capucins que se font I'emballage et I‘empaquetage des fils et toiles, le marquage, la couture ; pour cela, la Société emploie une soixantaine d’ouvriers.L'arrivée de la Marine à vapeur entraînant la perte du marché de la Marine et la difficulté d'un approvisionnement homogène, vont, entre autres, conduire à la fermeture de la Société Linière du Finistère en 1891. Après la liquidation, les bâtiments sont repris par la Grande Briqueterie.Aujourd'hui, ils sont encore partiellement visibles, certains dans un état de délabrement avancé car situés en zone inondable.
Auteur(s) du descriptif : Le Gall-Sanquer Andrée

Par : L'inventaire du patrimoine

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Maison du 16e siècle, dite des "Treize Lunes", 4 p

Par : L'inventaire du patrimoine

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Maison de la Duchesse Anne, ou hôtel de Rohan, 9 p

Par : L'inventaire du patrimoine

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L'aventure d'Edouard Leclerc
Depuis 8 ans, grâce à l'expérience menée par Edouard Leclerc, le coût de la vie à Landerneau, dans le Finistère, est en baisse. Avec le soutien de sa femme, et contre l'avis de tous, il affiche des prix défiant toute concurrence dans son épicerie.

Par : INA

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Centrale laitière, port de Landerneau
Landerneau : le bâtiment extérieur de la laiterie, des camions de lait viennent décharger le lait collecté, les citernes des camions portent le logo Univor - Coopagri Bretagne, nettoyage au jet des camions de lait. Panoramique sur la ville de Landerneau. Bâtiment de l'usine Coopagri. Quais du port de Landerneau (plan court). Pont. Station de nettoyage des camions de ramassage du lait.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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L'Elorn au-delà des Ponts : [carte postale]
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Carte postale

Par : Yroise - bibliothèque numé

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Eglise Saint-Thomas de Cantorbéry, XVie Siècle : [
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Carte postale

Par : Yroise - bibliothèque numé

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Eglise Saint-Houardon : [carte postale]
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Carte postale

Par : Yroise - bibliothèque numé

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L'Eglise Saint-Thomas et le : [carte postale]
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Carte postale

Par : Yroise - bibliothèque numé

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Univor ; Bureau Cabioch...
Univor (ensachage) ; Bureau Cabioch ; Avicole Guingamp ; Bovins Guingamp abattoirs ; Siège ; expédition chou fleur. Description : Univor : ensachage des aliments Univor (aliments d'allaitement pour les veaux). Travail des hommes lors de la mise en sac. Gros plan sac Univor. Deux secrétaires travaillent dans un bureau, le patron, monsieur Cabioch leur confie des tâches. Guingamp : dans un atelier avicole, une machine trie mécaniquement les oeufs, une femme en blouse surveille la machine. Guingamp : atelier de découpe des carcasses de bovins, un homme sur un monte-charge découpe en deux une carcasse avec une scie électrique. Siège de l'Office Central de Landerneau. Dans un atelier, préparation des choux-fleurs pour l'expédition : des hommes trient les choux-fleurs, découpent des feuilles puis disposent les choux-fleurs dans des cageots, alignement des cageots prêts à l'expédition dans un hangar, une femme emballe manuellement des choux-fleurs dans du papier siglé OC. Champ de choux-fleurs avec au loin la ville de Saint Pol de Léon et ses clochers, zoom sur la cathédrale.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Pompiers de Lesneven
Inauguration du local de pompiers, congrès départementaux de pompiers à Morlaix, Landerneau... Sainte Barbe des pompiers à Lesneven où les pompiers ont pour tradition d'arroser la statue du Général Le Flô. Scènes de famille.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Clocher Saint-Houardon à Landerneau : [dessin]

Par : Gallica

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