Le patrimoine de Landerneau

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Plan de la ville, du port et des faubourgs de Land
Plan imprimé en couleurs, non daté, non signé, de la ville, du port et des faubourgs de Landerneau.

Par : Médiathèques de Quimper Br

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Fête des reines
Fête des Reines à Quimper en 1926 puis le 22/07/28 : danses traditionnelles au parc municipal devant une foule de spectateurs (caméra très éloignée et images surex) puis défilé des musiciens, des reines, des chevaux de trait, de la duchesse Anne de Bretagne sur un cheval et des personnalités (à identifier) dans une rue de Quimper ; le personnel du rayon parapluie, différentes saynètes sur la plage (images de mauvaise qualité) ; Noce de Louis et retour 27/10/28 ; La côte à Plougonvelin (le Danou), scènes de plage au Trez Hir ; Pointe Saint Mathieu juin 1928 ; Le Conquet, bénédiction de la mer 1928 ; Corso fleuri à Landerneau 1928 ; Corso de Douarnenez 1936 ; Championnat de football Landerneau/Concarneau (finale) le 04/03/28 ; Beg-Meil 1927/28 et 30 ; Le Pouldu juillet 1928 ; les Grands Sables Doëlan. Bénédiction de la mer.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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De Gaulle à Brest
Reportage sur la venue à Brest en 1960 de Charles de Gaulle par un cinéaste amateur de talent. De Gaulle part de Brest à bord du Clemenceau, pour arriver en baie de Douarnenez. Le retour se fait sur terre par Quimper, il arrive en gare de Landerneau à bord d'un X 2000 (Micheline), il est accueilli par Jean-Louis Rolland , maire de Landerneau, puis fait un discours important sur les relations entre la France et l'Algérie en soulignant la nécessité d'arriver à la paix puis il dit la célèbre phrase "Avant d'entrer d'entrer dans la salle, on laisse son couteau au vestiaire". Présence de Georges Lombard, maire de Brest, aux côtés du général de Gaulle.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Questions de Préminences et droits honnorifiques :
Mémoires pour l'Église paroissiale de Saint Hoüardon de Landerneau, faits à Rennes le 13 février 1750, à Paris le 10 mars 1752 et à Rennes le 11 août 1750. Questions de droit concernant la possession et l'usage des bancs, sépultures et armoiries existant dans l’église paroissiale de Saint Hoüardon de Landerneau, Évêché de Saint-Pol-de-Léon.

Par : Médiathèques de Quimper Br

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Bréviaire de Landerneau
Manuscrit sur vélin, texte en deux colonnes, lettrines rouges, bleues, noires. Petit in 8° : 11,5 x 15 cm. Date approximative.

Bibliographie :

Bulletin et mémoires de la Société archéologique du département d'Ille et Vilaine, tome XXV, Rennes 1906, p. 141-144, n°55 : "Bréviaire de Landerneau du XVè siècle", par M. l'Abbé F. Duine.

François-Marie Duine, Inventaire liturgique de l'hagiographie bretonne, Paris, librairie ancienne Honoré Champion, 1922, 291 p. (La Bretagne et les pays celtiques, n° XVI) .
Extrait du Bulletin de la Société archéologique d'Ille-et-Vilaine, T. XLIX. Cf. p. 211 : CCXCIV, "Bréviaire manuscrit de Landerneau".

Bernard Merdrignac, « L'Espace et le Sacré dans les leçons de bréviaires de l'Ouest armoricain consacrées aux saints bretons (XVe-XVIe siècles) », dans Annales de Bretagne et des pays de l'Ouest, vol. 90, 1983, p. 273-293.

Dossier constitué par M. le Chanoine Peyron, aux archives de l'évêché à Quimper à la cote 2 Z 401 (partiellement numérisé).
Transcription de la partie "Propre des saints" du Bréviaire de Landerneau par M. le Chanoine Jean-François Falc'hun, Dirinon, 1987, aux archives de l'évêché à Quimper à la cote 83 Z 28 .

Par : Diocèse de Quimper et Léon

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Observations des députés du pays de Léon et de la

Par : Gallica

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Notice historique sur la ville de Landerneau (2e é

Par : Gallica

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P'tits gars d'Arvor (Les)
P'tits gars d'Arvor (Les) 1955 - durée : 22 mn - N&B - Format d'origine film 9,5 mm - Film amateur non monté Décomptage horaire en lieu et place du TC 00.00.01 Les p’tits Gars d’Arvor 00.00.49 Jean BIHAN, moniteur bénévole au patronage, chargé des plus petits. Il exerçait la profession de cordonnier à LANDERNEAU. 00.01.01 Jeux sur la cour du Patro 00.02.01 Colonie de vacances à l’école du Sacré Cœur à GUISSENY. Enfants dans la cour Visite des parents On aperçoit Henry GUGUEN qui passe en mobylette. 00.04.46 Cour du Patro. Jeux en hiver 00.05.29 L’équipe féminine de gymnastique des Gars d’Arvor en concours. 00.07.02 Presbytère de LANDERNEAU Cuisine Salle à manger 00.10.16 Retour au Patro Vélos Lecture du journal par un jeune du Patro. 00.11.53 Aide à l’arrachage des betteraves, pour permettre au fils de l’agriculteur de participer au match de football. 00.13.15 Matches de football (différentes équipes des Gars d’arvor) 00.14.11 A l’issue de l’assemblée générale annuelle, banquet de l’Office Central, organisé dans la salle de basket des Gars d’Arvor. On peut reconnaître certains personnages emblématiques à l’origine de la « Coopérative des Agriculteurs de Bretagne » ou du « Crédit Mutuel de Bretagne » d’aujourd’hui : M. de Guébriant, Louis Lichou, etc… Mme Laouénan , M. DANIEL et CA 9/03/2009

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Press-lin de Tréflez (collections de la ville de L
Nature du meuble : cette "press-lin" comporte deux battants de portes séparés d'un très large montant dormant. La partie basse est un coffre.Bois employé : chêne. Patine naturelle d'origine.Techniques employées : menuiserie classique, moulures à coupes d'onglet et coupes mixtes, avec arasements à barbe rallongée.Répertoire des moulures : pour la coupe AB : un quart de rond, un carré, un listel, un glacis suivi d'une baguette, d'un glacis, une grande doucine, une gorge, un méplat, une petite baguette suivi d'un listel et d'un quart de rond. Pour la coupe CD : Un congé, un petit carré, un méplat, une baguette, un petit carré, un quart de rond constituent cette mouluration. Pour la coupe EF: Une plate bande en glacis, une gorge, un petit carré, suivi d'un boudin méplat, un grand méplat, une baguette, un listel, un carré, un quart de rond, une plate bande en glacis, un petit carré, un congé, un petit carré suivi d'un listel. Pour la coupe GH : Pour le pied, un chanfrein. Pour le petit montant : Un petit glacis, un petit carré, un grand congé suivi d'un petit carré, d'un boudin méplat, un listel suivi d'un méplat, un filet, un listel, un quart de rond. Sur le panneau: Une plate bande en glacis, un petit carré, un congé, un petit carré. La cimaise : Un listel, un petit carré, un bec de corbin, une grande doucine, un petit carré. Pour l'entablement : La corniche: Un quart de rond, un carré, un talon droit, un carré. La frise : Un quart de rond, un fond creux, un talon renversé, un fond creux, un quart de rond, une gorge, un fond creux, un quart de rond. Pour la moulure faisant office d'astragale de cet entablement: Un petit carré, un quart de rond, un carré, une doucine droite, un carré, un quart de rond.Décors sculptés : l'entablement qui supporte la corniche est décoré d'une frise de feuillages ainsi que de palmettes. L'entourage du dormant entre les portes ainsi que les panneaux du coffre ont également reçu un décor de palmettes. L'entourage des portes est décoré d'une frise de feuillages et de palmettes. Les panneaux hauts des portes sont décorés de têtes d'angelots, entourés d'une végétation stylisée. Deux autres petites têtes d'angelots encadrent la scène depuis les angles. Les panneaux bas des portes montrent des tulipes stylisées. Les panneaux du dormant sont sculptés de végétations stylisées, sur celui du bas apparaît la date de 1680 dans un médaillon ovale. Des motifs également de feuillages stylisés décorent les panneaux du coffre. La cimaise est décorée de palmettes.Garnitures : les serrures et entrées de serrures sont modernes. Les deux portes ainsi que le dormant du milieu sont pourvus de pendeloques de tirage. Les portes pivotent sur des fiches de fer à broche.Style : ce meuble est de style Renaissant, teinté d'art populaire.Inscription : F : Bian 1686
Auteur(s) du descriptif : Le Gall-Sanquer Andrée ; Salaün Lénaïg ; Le Bars André-Charles

Par : L'inventaire du patrimoine

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Gymnase de Mescoat, allée de Mescoat (Landerneau)
Halle de sports composée d’une aire de jeux de 40 m x 20 m avec locaux annexes, vestiaires, sanitaires et local technique. Structure extérieure en agglomérés cimentés destinés à recevoir une peinture. Charpente lamellé avec revêtement toiture en bardeaux d’asphalte.Le 27 février 1979, le conseil municipal retient le projet des établissements Joncquez "qui ont déjà édifié plusieurs salles de sport dans la région, dont une à Lesneven". Il approuve le montant de la dépense estimé à 1,4 MF et donne mandat au maire de passer le marché. L'arrêté d'approbation technique est signé le 19 juin 1979 et le permis de construire le 27 juillet. Le projet bénéficie d'une subvention de 500 000 F au taux de 34,86%. Le chantier démarre le 7 septembre 1979. La réception des travaux est prononcée le 15 avril 1981 avec effet au 31 octobre 1980.
Auteur(s) du descriptif : Bonnet Philippe

Par : L'inventaire du patrimoine

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La Société Linière du Finistère
La Société Linière du Finistère s'étendait sur environ 16 hectares à la sortie est de la ville. Le site comprenait des bâtiments et un étang de retenue (environ 6 ha).Le mémoire établi lors de la liquidation des biens de la Société, en date du 25 janvier 1892, nous en donne une description précise. Le site comporte plusieurs bâtiments, dont les descriptifs et dimensions sont indiqués en annexe dans la transcription du document, conservé aux archives départementales du Finistère sous la cote 7 M 247.Trois ensembles de bâtiments sont encore visibles actuellement sur le site, chacun étant dans un état plus ou moins bien préservé. Ces ensembles architecturaux sont partagés entre deux types de matériaux : la pierre et la brique.La Peignerie et le scutcher. La Peignerie est un bâtiment de forme rectangulaire et longitudinale (n°33 sur le plan). Il est constitué de pierres ainsi que de briques pour l’encadrement de la porte. L’élévation se fait sur deux niveaux, avec un rez-de-chaussée et un premier étage, et un toit en éverite. Le long du rez-de-chaussée de la Peignerie se trouve, complètement accolé, le bâtiment nommé « scutcher » (n°34 sur le plan) qui n’a qu’un niveau et dont le toit est manquant. Le nom de ce bâtiment provient de l'anglais scutching-machine (teilleuse) et qui était aussi appelé "moulin irlandais" ; la mention "scotcher" se retrouve aussi, cependant ce n'est qu'une déformation du mot d'origine. L’ensemble général des bâtiments est délabré, la végétation est plutôt dominante. Côté rivière, des latrines en brique et un accès par un escalier qui donne directement sur la rivière sont à noter. De plus, des vestiges d’une passerelle qui passait par-dessus l’Elorn sont encore visibles. Ajoutons à cela, que deux "roues" ou "meules à chanvre" ont été retrouvées sur le site, dans une propriété privée. Toutes deux en granite, elles mesurent 2 mètres de diamètre pour 50 centimètres d'épaisseur, et elles pèsent dans les 4 tonnes.Les magasins liniers. Le deuxième ensemble de bâtiments encore préservé est celui qui est en bordure de route, dans la rue des Écossais. Sur l’ensemble actuel, ce sont au moins deux bâtiments d’origine qui sont accolés, chacun s’élevant sur deux niveaux : l’habitation-bureaux pour le premier (n°20 sur le plan) et les magasins de lins et fils au rez-de-chaussée du second du bâtiment (n°21 sur le plan), avec au premier étage les marchands et les outils. Ils forment ainsi un ensemble longitudinal à multiples travées. L’encadrement est de pierre pour la porte principale et de brique pour la secondaire, et les fenêtres sont encadrées de béton.La blanchisserie. Enfin, construite le long de l’Elorn, se trouve l’ancienne blanchisserie (n°2A sur le plan). L’état actuel de ce bâtiment laisse voir deux affectations différentes qui se sont succédées dans le temps et qui se retrouvent dans le choix des matériaux encore visibles dans la structure en ruine. En effet, dans un premier temps se trouvait la blanchisserie qui était constituée de pierre et s’élevait sur deux niveaux : la blanchisserie en elle-même au rez-de-chaussée et le séchoir à l’air libre au premier étage. Aujourd’hui, les parties architecturales de la blanchisserie ne sont qu’apparentes par le matériau (la pierre) et par l’élévation marquée par les huit piliers qui subsistent, tandis que le toit, lui, a disparu. La blanchisserie reste visible de loin grâce aux trois pignons restants côté ouest et qui devaient marquer les trois vaisseaux composants de la structure (voir ill. « Ancienne filature » pour visualiser une comparaison). Et dans un second temps, la briqueterie a investit les lieux de l’ancienne blanchisserie. Les vestiges que nous pouvons observer imbriquent alors à la fois celles de la blanchisserie et celles de la briqueterie, distinguables par leur principal matériau de construction (respectivement la pierre et la brique).La manufacture du Léon qui fabriquait les Crées, ces toiles de lin qui étaient exportées par les ports de Landerneau et Morlaix, était « gérée » par les négociants (Heuzé, Radiguet, Homon, Goury, Le Roux), souvent également armateurs de ces deux villes.Dans un premier temps (début du XXe siècle) ils ont organisé le tissage en ateliers, comme celui installé au couvent des Capucins, où, en 1820, 160 métiers environ tissaient le lin, le coton, les siamoises de couleur, le linge de table mais principalement des toiles à carreaux, fil bleu d’épreuve, façon de Bruges et de Lille.Si les premières étapes de la transformation de la fibre ne pouvaient se faire que manuellement, ils ont souhaité prendre modèle sur les Anglo-saxons, en avance sur la mécanisation, pour le filage et le tissage. C’est ainsi que peu à peu ils ont opté pour l’installation d’une usine pour produire de la toile en quantité et en qualité capable de répondre au cahier des charges de la Marine. Le lieu d’implantation a été choisi en fonction de l’énergie nécessaire au fonctionnement des machines, en l’occurrence, à l’est de la ville sur les bords de l’Elorn afin de profiter de la force hydraulique de la rivière.Ils déposent les statuts de la Société Linière le 22 août 1845 (voir en annexe), avec comme associés (qui seront, pour certains, suivit par leur fils) René Poisson (1768-1854) ; Joseph et Charles Goury (1779-1869/1815-1885) ; Jean-Isidore Radiguet (1792-1862) ; François et Gustave Heuzé (1789-1852/1821-1898) ; Guillaume et Albert Le Roux (1794-1868/1836-1912).Les machines sont achetées pour la plupart en Irlande. Le personnel est recruté sur place mais la Société Linière attire également des ouvriers d'autres communes finistériennes (Plounéour-Ménez, Commana...) et d’autres pays de tisserands, tel que les Côtes d’Armor. Afin de former et d'encadrer les ouvriers bretons, les négociants pré-cités font venir des contre-maîtres et ouvriers spécialisés Écossais.Ceux-ci forment alors une véritable communauté, ont leur pasteur, leur école dans le « quartier des Écossais ». Les bâtiments d'habitation des contre-maîtres sont toujours visibles près de la voie ferrée.L'apport des actionnaires dans la société est constitué principalement de blanchisseries ou d'ateliers de tissage répartis sur un territoire qui va de Landerneau à Ploudiry, Landivisiau, Saint-Sauveur, Commana, Plourin. D'autres ateliers de tissage ont été construits et mis en œuvre ultérieurement (Guimillau).Le principal client de la Société sont la Marine Royale qui passe commande pour des toiles à voile, vareuses, chemises, pantalons et manches à eau, et I‘Administration de la Guerre pour laquelle elle fabrique des toiles « à tentes de soldats et d’officiers », ainsi que pour les sacs de campement.Le lin n’est pas acheté sur pied, l'ensemble des essais de rouissage industriel ayant échoué, la Société achète le lin roui qu’elle stocke au couvent des Capucins, stockage qui devient le rôle principal de la communauté après la construction des nouveaux bâtiments de la filature à I‘entrée de la ville (1847). C’est aussi au couvent des Capucins que se font I'emballage et I‘empaquetage des fils et toiles, le marquage, la couture ; pour cela, la Société emploie une soixantaine d’ouvriers.L'arrivée de la Marine à vapeur entraînant la perte du marché de la Marine et la difficulté d'un approvisionnement homogène, vont, entre autres, conduire à la fermeture de la Société Linière du Finistère en 1891. Après la liquidation, les bâtiments sont repris par la Grande Briqueterie.Aujourd'hui, ils sont encore partiellement visibles, certains dans un état de délabrement avancé car situés en zone inondable.
Auteur(s) du descriptif : Le Gall-Sanquer Andrée

Par : L'inventaire du patrimoine

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Eglise Saint-Thomas-de-Cantorbéry (Landerneau)

Par : L'inventaire du patrimoine

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Maison de la Duchesse Anne, ou hôtel de Rohan, 9 p

Par : L'inventaire du patrimoine

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Ancien couvent des Capucins, 2, 4 rue des Capucins

Par : L'inventaire du patrimoine

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German prisoners are taken at Brest, France
Un convoi de prisonnier allemand est amené vers Landerneau. Départ en train vers Saint-Thégonnec depuis la gare de Landerneau. Portraits de prisonniers. Longue vue aérienne de la ville de Brest détruite (Recouvrance, base sous-marine, gare...).

Par : Cinémathèque de Bretagne

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L'Elorn au-delà des Ponts : [carte postale]
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Carte postale

Par : Yroise - bibliothèque numé

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La Pierre de l'Ancien Moulin du Pont avec l'inscri
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Carte postale

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Eglise Saint-Houardon : [carte postale]
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Carte postale

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L'Eglise Saint-Thomas et le : [carte postale]
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Carte postale

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Arrivée du bataillon des chasseurs
Arrivée en gare de Landerneau du bataillon des chasseurs à pieds. Réception des chasseurs. Prise d'armes, réception du drapeau du 19 R.I.. Inauguration de la caserne Taylor. Brignogan 1931 plage du "Petit Nice"., faisons un feu ... La Haye les Roses (Val de Marne) ; Paris : exposition coloniale, août 1931, les pavillons, le jardin zoologique .

Par : Cinémathèque de Bretagne

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