Les documents du Pays d'Auray

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Bulletin paroissial de Locmariaquer et Crac'h - ju
juillet 1916. 20ème siècle

Par : Gallica

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Statue de saint Michel
Statue en plusieurs éléments : la figure du saint est assemblée sur celle du dragon. Son avant-bras gauche est rapporté, grossièrement assemblé par des chevilles au reste du bras. Le revers de la statue est plat, destiné à être appliqué contre le fond de la niche supérieure du retable.Statue de saint Michel du 18e siècle, contemporaine du retable pour lequel elle a été sculptée et placée dans la niche du registre supérieur.
Auteur(s) du descriptif : Toscer Catherine ; Tanguy Judith

Par : L'inventaire du patrimoine

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Ferme, Kerohan (Locoal-Mendon)
Ferme de type logis-étable à haut comble à surcroît à usage de grenier. La partie logis est sans fenêtre, séparée de l'étable par un mur de refend percé d'une porte. L'étable, plus vaste que le logis, est éclairée d'une fenêtre. Elle faisait probablement aussi fonction de remise agricole comme semble l'indiquer la porte charretière en pignon. Une remise également à usage de cellier est construite, en appentis, le long du mur nord avec entrée à porte charretière et linteau de bois.Cette ferme homogène est édifiée dans le 4e quart du 19e siècle. Elle ne figure pas sur les cadastres anciens de 1810 et 1845. La fenêtre de l'étable est un remploi du 17e siècle. Le cellier rajouté le long du mur nord est de peu postérieur à la construction du corps de ferme.
Auteur(s) du descriptif : Toscer Catherine ; Tanguy Judith

Par : L'inventaire du patrimoine

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La Trinite sur Mer : Un cortege de noce

Par : Dastum

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Brech (Eglise) - Chapiteau
CHAPITEAU

Par : Dastum

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Préparatifs de la course Transatlantique
Entraînement du favori Alain Colas et d'Eugène Riguidel, avant le départ de la course transatlantique 1972. Colas, ancien équipier d'Eric Tabarly, naviguera sur le trimaran Pen Duick IV avec lequel Tabarly avait débuté la transatlantique 1968.

Par : INA

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Minoterie à marée de Pont-Sal, actuellement habita
Le Moulin de Pont-Sal est implanté au Nord-Ouest du Morbihan, à la jonction entre le fleuve côtier du Sal et la Rivière du Bono. Organisé selon un plan en L, il est implanté sur la rive droite et fonctionne avec une digue de 32 m de longueur et d'un peu moins de 10 m de large. Il ne reste que très peu d'éléments des vannes qui géraient l'admission et la sortie de l'eau. La retenue, dans la continuité du Sal, constitue une réserve de 3 hectares. L'ancienne maison du meunier se trouve quelques mètres en amont et a été raccordée au moulin par le sous-sol, travaux déjà effectués avant l'arrivée des derniers propriétaires.Le bâtiment principal est réalisé en moellons de granit enduits. Il est long de 27 mètres et constitué de quatre étages et un étage immergé et est donc complété par une partie probablement plus récente formant un L. La cour formée par ces deux éléments a été remblayée, l'ancien rez-de-chaussée devenant ainsi sous-sol.Les façades du bâtiment sont marquées par leur caractère industriel. La façade sud-est qui donne sur la rivière est organisée en six travées de fenêtres avec des encadrements en granit et accueille également une porte haute qui témoigne du transit du grain par les bateaux. L'autre façade comprend 4 travées et le pignon comporte une travée centrale. La façade intérieure de la partie du bâtiment perpendiculaire à la rivière présente trois travées. Le bâtiment compte également deux cheminées réparties dans la partie principale du bâtiment. Elles percent un toit à croupe en ardoise. Le bâtiment a subi peu de modifications à l'extérieur. A l’intérieur les propriétaires n'ont gardé que les murs, les poutres en bois étant trop détériorées par l'humidité. Une partie du mécanisme en mauvais état est conservée dans le sous-sol du moulin. Le propriétaire a fait poser de grandes baies horizontales à l'endroit où passait l'axe qui entraînait les meules, une installation qui permet ainsi d'observer l'eau qui passe sous le bâtiment. Le moulin à marée de Pont-Sal a été construit entre 1851 et 1853 à l'initiative de Jean-Marie Lucas Richardière. L'édifice qui forme aujourd'hui un L semblerait avoir été construit en deux temps, la deuxième partie étant mentionnée dès 1887 et aurait servi pour le stockage. Certaines sources évoquent la présence d'un moulin à marée plus ancien à cet emplacement. Jean-Marie Lucas Richardière est l'auteur de deux brevets déposés en 1848 et 1852 qui visent à utiliser l'énergie du flux et du reflux de la marée. Son idée consiste à utiliser des turbines hydrauliques noyées et d'en obtenir 20 à 24 chevaux de puissance répartis entre huit paires de meules en batterie au moyen d'un système de vannes et de bassins communicants. Il présente son projet ainsi : « Il est de la plus haute importance pour l'industrie que l'on puisse savoir le plus tôt possible, par une application en grand, ce que l'on peut attendre de l'immense force motrice du flux et du reflux de la mer, au moyen de roues qui tournant toujours du même côté, peuvent utiliser la même quantité d'eau quatre fois par vingt-quatre heures », pour justifier cette initiative il ajoute « … Le pays pourra jouir des avantages d'une meunerie perfectionnée, obtenue par des moyens très économiques(...) et un certain nombre d'ouvriers pourront être occupés cet hiver ». (J-L. Boithias et A. de La Vernhe)Une telle idée a mis du temps à être mise en place pour plusieurs raisons pratiques. La première est humaine. En effet, le rythme des moulins artisanaux n'y correspond pas : un seul homme ne peut pas travailler en continu. Autres contrainte, il faut également un site particulier auquel celui de Pont-Sal répond parfaitement : les fonds doivent être plats afin de pouvoir recevoir le réseau de canaux du système et régulièrement désenvasés. Par ailleurs il faut noter que la puissance de la marée est plus faible lorsqu'elle est monte (1/3 de l'énergie totale ) que lorsqu'elle descend (2/3) et qu'un tel système demande des travaux beaucoup plus important que pour un simple moulin. De plus, dans la pratique, ce système de double effet ne permet pas de doubler le temps d'utilisation. En effet, ce temps est multiplié par 1,5 soit un allongement de la période de production de 10h-12h/24h à 15h-18h /24h, ce qui constitue malgré tout un gain important de productivité. Tous les éléments prévus pour ce système ne furent pas installé au moulin de Pont-sal et il fut encore moins efficace que ces prévisions.Outre ce système particulier, l'histoire du moulin fut marqué par des querelles entre les riverains et le propriétaire à cause des inondations des berges que son installation causée ; l'administration dû imposer l'installation d'un trop plein. J-L. Boithias et A. de La Vernhe relèvent également que l'entretien de la chaussée fut assurée par le propriétaire, main d’œuvre comprise, alors que celle-ci était souvent attendue du meunier. Autre fait lié à l'entretien du moulin, les marnes récoltées dans l'étang étaient vendues comme engrais.Dès 1885, alors que le moulin est détenu par un certain Louis Hédan, le caractère révolutionnaire du système double flux montre ses limites : un article de la revue « Avenir du Morbihan » du 4 novembre annonce la vente du moulin pour cause de faillite. Cette vente se décompose en plusieurs lots dont la valeur totale revient à 100 000 francs. En 1887 le moulin est encore en vente mais cette fois pour une valeur de 30 000 francs. Si ce n'est pas le système double flux qui l'a sauvé, c'est peut être lui-même qui aura causé sa perte, en nécessitant des frais d'entretien trop importants. Les moulins traditionnels à simple flux permettaient par exemple un désenvasement naturel alors que le flux montant à Pont-Sal favorisait l'ensablement. Parallèlement à ces contraintes techniques il faut aussi prendre en compte des contraintes extérieures comme l'arrivée des concasseurs mécaniques qui fut préjudiciable pour tous les moulins en permettant au paysan de moudre son propre grain. La minoterie aurait connu un regain d'activité après guerre, à cette époque le moulin sous-traitait même une partie de son activité avec quelques moulins artisanaux de la région. Il s'arrête définitivement dans les années 1940-1950. Les propriétaires actuels (2017) ont acheté le moulin en 1999 et habitent le rez-de-chaussée.
Auteur(s) du descriptif : Nadolski Claire

Par : L'inventaire du patrimoine

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Ur manac'h yaouank a gouant En Alre (Ridee 6 temps

Par : Dastum

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Écart dit village de Poul Bleï
Deux fermes ont été repérées dans le village, mais quatre autres bâtiments conservent des vestiges anciens. Les constructions sont orientées sud, à l'exception d'un ensemble d'anciens logis orientés à l'ouest.Le hameau de Poul Bleï conserve de nombreux vestiges du 17e siècle. Le village traversé par une voie nord sud comprend à l'est de cette voie une unique et grande ferme du 17e siècle, et à l'ouest, plusieurs autres imbriquées entre elles. Un vaste commun les sépare, se prolongeant vers le sud. Entre les cadastres de 1811 et 1845, on constate la disparition d'une maison à l'angle de la route nord, ainsi que la division des anciennes propriétés (centre et sud du hameau). Deux maisons ou fermes ont été repérées, celle de l'est du 17e siècle, la seconde du 19e siècle. Un seul fournil devenu maison, est mentionné sur le plan cadastral de 1845. Au sud, de nouvelles habitations ont été construites établissant la jonction entre le village et la route d'Erdeven.
Auteur(s) du descriptif : Tanguy Judith ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Départ à l'armée

Par : Dastum

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Bulletin paroissial de Quiberon - juin 1918
juin 1918. 20ème siècle

Par : Gallica

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Louison Bobet, entrepreneur
L'ancien cycliste Louison Bobet a troqué son maillot de sportif pour la casquette de chef d'entreprise. Il évoque sa reconversion et son besoin d'entreprendre. A Quiberon, il a ainsi ouvert un centre de thalassothérapie.

Par : INA

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L'île de Houat
L'île morbihannaise de Houat, isolée du continent de 20 kilomètres, est en marge de la modernisation. Privés d'eau potable et d'électricité, les Houatais qui sont traditionnellement pêcheurs mènent une vie rude et pauvre, avec peu de distractions.

Par : INA

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Retable majeur
Retable bois en menuiserie, composé d'un soubassement à deux placards latéraux, d'un niveau médian avec un tableau occupant la contre-table flanqué de pilastres cannelés, dont l'iconographie est le reniement de saint Pierre, deux niches latérales chacune flanquée d'un aileron et d'une niche sommitale dans l'axe de la composition. Les niches à coquille sont scandées de colonnes et coiffées d'un fronton triangulaire. Les colonnes lisses à chapiteaux corinthiens agrémentés de palmettes sont peintes en faux marbre pour le niveau médian, et de feuillages pour la niche axiale. Des pots à fleurs sont placés au-dessus des frontons des niches latérales.L'autel en pierre était orné d'un coffrage en menuiserie et d'un antependium peint sur toile (photo 1979), qui n'ont pas été restitués.Le retable inspiré des oeuvres lavalloises de l'époque, présente une composition originale, avec partie médiane abaissée au niveau de la contre-table, adaptée à la faible hauteur sous charpente de la chapelle. L'ensemble reste bien proportionné et homogène.Le tableau est repéré en partie constituante.La baie du chevet de la chapelle est bouchée en 1635, pour installer un retable, comme c'est l'usage au 17e siècle.Le retable présente des éléments de décor propres à cette période, tels les pots à fleur, les colonnes à chapiteaux corinthiens ornés de palmettes, les denticules sur les frontons, cependant il présente aussi des emprunts plus tardifs telles les feuilles de laurier autour du tableau de la contre-table. Les menuiseries du soubassement sont également refaites tardivement.Les statues en plâtres de saint Mamers et saint Germain remplacent des originaux en bois, achetées par le recteur en 1898 (Danigo, 1986).
Auteur(s) du descriptif : Herbaut Claudie ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Josiane la sémaphoriste
A la mort de son mari, Josiane a repris l'activité de son époux au sémaphore d'Etel. Elle a appris son métier en observant la nature, et, s'est petit à petit imposée auprès des marins, qui se laissent guider à travers la barre, réputée dangereuse.

Par : INA

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homme à barbe et bésicles ; vitrines du musée en a

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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femme en costume breton

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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3 soldats devant les moulages du musée

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Saint-Pierre-Quiberon - Horloge
HORLOGE DE RENNES

Par : Dastum

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Le Pardon de Sainte Anne d'Auray
Le 26 juillet, la paroisse de Sainte Anne d'Auray fête sa sainte patronne, Anne. Ce grand pardon rassemble de nombreux pèlerins, notamment des femmes qui viennent célébrer la mère de la Vierge Marie.

Par : INA

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