Les documents du Pays d'Auray

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Village dit bourg de Mendon (Locoal-Mendon)
Le long de la route reliant Belz à Pluvigner, le bourg de Mendon s'est construit autour d'un noyau initial formé par la chapelle Notre-Dame, l'église paroissiale Saint-Pierre et le presbytère. Entre les édifices religieux se sont développées deux places irrégulières qui se sont modifiées entre le début du 19e siècle et le début du 20e siècle. Sur les cadastres anciens de 1810 et de 1845 figurent, entre la chapelle et l'église, une première place bordée de maisons contigues les unes aux autres, puis, dans le prolongement, une seconde place située au sud du cimetière, appelée place de la Croix. Cette dernière est une sorte de terrain communal au milieu du bourg de Mendon où se trouve en 1810 la maisonnette isolée d'une veuve, et où l'on établit en lieu et place, dès 1844, une mairie-école ainsi qu'une grande maison d'angle. Le projet de reconstruction de l'église paroissiale est abandonné en 1810 et remplacé par la construction d'un établissement de religieuses dès 1822. Le cimetière n'est transféré qu'en 1914, à l'entrée ouest du bourg, laissant un espace vide qui permet d'agrandir la place. A l'angle de cette dernière sera édifié le bureau de poste en 1935 par Edmond Gemain. Outre ces quelques changements, la comparaison entre les deux anciens cadastres montrent peu d'évolution : très peu de maisons et de fermes sont construites entre les deux périodes. La paroisse semble, en effet, s'être appauvrie à partir de la seconde moitié du 18e siècle et surtout pendant et après la Révolution. C'est surtout dans la seconde moitié du 19e siècle et au début du 20e siècle que les constructions vont se densifier le long de la route dite de grande communication entre Belz et Pluvigner et que d'autres maisons, commerces et écoles viendront peupler le bourg et l'agrandir. Ce développement de la construction est lié, comme dans beaucoup d'autres bourgs, à l'ouverture des routes départementales dans les annèes 1830-1840 et à l'amélioration des chemins vicinaux qui faciliteront l'échange des marchandises et génèreront une population plus diversifiée. On notera toutefois que l'agrandissemenr et la densification du bourg a épargné jusqu'à récemment les parcelles situées autour du noyau initial formé par la chapelle, l'ancien église reconstruite en établissement conventuel et le presbytère.
Auteur(s) du descriptif : Toscer Catherine ; Tanguy Judith

Par : L'inventaire du patrimoine

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Bulletin paroissial de Locmariaquer et Crac'h - ja
janvier 1917. 20ème siècle

Par : Gallica

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Statue de la Vierge
Statue bois en plusieurs éléments : corps en plusieurs parties, mains rapportées. La dorure à la feuille est posée sur un apprêt. La couronne en laiton doré est ornée de verres taillés en facettes.
Auteur(s) du descriptif : Toscer Catherine ; Tanguy Judith

Par : L'inventaire du patrimoine

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Festival de l'huître à la Trinité sur Mer
L'association l'Astroballe organise pour la première fois le festival de l'huître. Ce festival est la rencontre de l'ostréiculture et des arts. Les ostréiculteurs sont très heureux de cette manifestation de promotion de l'huître.

Par : INA

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Écarts sur la commune de Belz
Les 47 écarts repérés constituent la base du travail d'inventaire de la commune et font tous l'objet d'une fiche. Parmi ceux-ci, 18 sont sélectionnés, soit par ce qu'ils conservent une structure d'implantation de l'habitat et des voies de circulation proche de l'état figuré sur les cadastres anciens, soit par ce que leurs parties constituantes (habitat ou autres constructions) sont particulièrement révélatrices de l'évolution des villages sur la commune. Ainsi les deux plus gros villages anciens que sont Saint-Cado et Kerdonnerc'h sont sélectionnés, mais le petit hameau côtier de Manébras qui conserve quelques maisons de pêcheurs caractéristiques de la période contemporaine et un ancien chantier de construction navale avec cale de lancement, l'est également.Ces 47 écarts ou hameaux peuvent être répertoriés en 4 catégories selon le type d'habitat qu'ils présentent. Les 18 hameaux ruraux sont composés exclusivement de fermes, tel Bodéac (fig. 1), Kergallan, Trébointel (fig. 9), Mané-Guégan (fig. 5) ou Le Ganquis petit écart doté de deux fermes. Les 16 hameaux ou villages de pêcheurs sont composés d'une majorité de maisons de marins pêcheurs. Comme Larmor, Kergueran ou Kerhuen (fig. 3) ils sont situés à faible distance de la côte. Les villages côtiers sont quant à eux dotés d´un port qui peut être un simple abris comme à Kerispern ou aménagé de cale comme celles de Porh-Niscop à Kergo. Les 5 hameaux mixtes reflètent la double réalité économique du territoire de Belz, à la fois rurale et maritime. On y trouve des fermes mais aussi des maisons de pêcheurs comme à Kerdonnerc'h, à Kerlourde ou au Ninezveur. Ici, la structure du village avec un commun doté d´un puits apparaît rurale, mais plusieurs maisons de pêcheurs sont venus compléter l´habitat ancien constitué de fermes (fig. 6). Enfin 8 autres écarts échappent quelque peu à cette classification. Ce sont pour la plupart des groupes de maisons construites en bordure de route pour des pêcheurs mais aussi des ouvriers dont certains allaient travailler dans les conserveries d'Etel, des petits fermiers, des ouvriers agricoles exploitant la lande. Il s'agit par exemple de l'écart de Kernio sur la route de Pont-Lorois, du carrefour des Quatre-Chemins, de Bellevue, Kervrazic et Kergou sur la route d'Auray ou du Pont-Neuf à l´ouest du bourg (fig. 8).Certains hameaux anciens de Belz puisent leur origine en la présence d´un manoir ou d´un établissement religieux. C´est le cas de Saint-Cado, la Madeleine ou Kerclément. A Kerguen qui présentait encore au début du 19e siècle les vestiges d'un manoir et d'une chapelle, le hameau a été complètement reconstruit de fermes neuves à compter de 1816, à tel point qu'il n'existe que peu de correspondances entre les plans cadastraux anciens et l'actuel (fig.2).Conséquence du formidable développement de la pêche puis de l´industrie de la conserve à Etel, à compter du dernier quart du 19e siècle, la commune de Belz connaît également une extension démographique importante jusqu´aux années 1930. Les anciens écarts se développent tandis que de nouveaux villages apparaissent tel Kergo ou Parc-en-Nail (fig. 7) près du rivage de la rivière d´Etel.
Auteur(s) du descriptif : Herbaut Claudie

Par : L'inventaire du patrimoine

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Barzh e Chateaubriant

Par : Dastum

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Hag a han c'hoazh ur wech betek dor ma mestrez

Par : Dastum

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Parrez Pluniau hes merc'hed vrav

Par : Dastum

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Bulletin paroissial de Quiberon - octobre 1914
octobre 1914. 20ème siècle

Par : Gallica

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Bulletin paroissial de Quiberon - janvier 1916
janvier 1916. 20ème siècle

Par : Gallica

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Bulletin paroissial de Quiberon - septembre 1918
septembre 1918. 20ème siècle

Par : Gallica

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Bulletin paroissial de Quiberon - paroisse Saint-
janvier 1919. 20ème siècle

Par : Gallica

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Auray : Vieilles maisons de la rue du Pave

Par : Dastum

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Environs d'Auray : Noce bretonne a table

Par : Dastum

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Ferme, Keroret (Erdeven)
Ferme située au nord-ouest du hameau.Ancien logis-dépendance à deux portes, ou logis double. La partie étable est détruite (correspondrait à la parcelle actuelle ZC 132).Elle présente un étage carré. Les chambres non chauffées sont distribuées par un escalier placé dans l'axe de la porte centrale. Au RDC distribution symétrique de part et d'autre de l'entrée et de la cage d'escalier avec mur de refend à gauche et cloison à droite. La salle de droite présente une cheminée à larges consoles moulurée en quart de rond. Un placard mural subsiste également en pignon.La partie ouest, à pièce unique en RDC, conserve une cheminée fermée de deux vantaux de bois (fumoir ?). Taque de cheminée datée 17e siècle, représentant cervidés et arbres.Les éléments de la ferme ancienne sont d'une part, dans la partie ouest de la façade sud, un parement remarquable, en pierre de taille avec éléments de calages, conservé jusqu'à environ 1,60 m de haut. D'autre part les vestiges du blason de Keravéon dont on reconnaît la couronne à sept épis, pierre monolithe intégrée aux reprises en moellons de la partie supérieure de l'élévation.Le puits dans la cour est en moellons et sans superstructure.Ferme composée d'un long alignement de plusieurs bâtiments ne formant qu'une seule parcelle sur les plans cadastraux de 1811 et 1845.Un appareil en pierre de taille très soigné, et l'élément supérieur (couronne) d'un blason de grande taille, conservé dans le parement de sa façade sud, permettent de l'identifier comme la métairie noble du château de Keravéon, cité dans les sources dès 1540.Elle est remanié fin 19e siècle comme l'indiquent les proportions des baies actuelles.
Auteur(s) du descriptif : Herbaut Claudie ; Berthou Marie ; Toscer Catherine ; Pierre L. et M.

Par : L'inventaire du patrimoine

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Fontaine de Kerberdery (Erdeven)
Fontaine insérée dans le parement extérieur du mur d'enclos du jardin I 790. Orientée à l'ouest, elle est précédée d'un petit bassin maçonné dont le canal d'écoulement alimente un lavoir, construit quelques mètres en contrebas, dont le trop plein s'écoule dans une mare.Fontaine située en 1811 sur les communs de Kerberdery. Représentée sur le cadastre de 1845 sans le lavoir.
Auteur(s) du descriptif : Herbaut Claudie ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Corps de garde crénelé (détruit), batterie de Beg
Le corps de garde crénelé de la batterie de Beg Rohu est conforme au modèle n° 3, pour 20 hommes, de la circulaire du ministère de la Guerre du 31 juillet 1846. Il est modifié lors de la modernisation de la batterie au milieu des années 1880. Sa face exposée au large est protégée par un massif de terre et sa terrasse remplacée par un toit à double pente visible sur les cartes postales du début du 20e siècle et une photographie aérienne de 1932. Le corps de garde complète la batterie de Beg Rohu, réorganisée en 1860-1861. En février 1861 il est achevé jusqu'à hauteur de la terrasse. Il est complètement achevé à la fin de l'exercice 1861. Il est conservé comme casernement lors de la réorganisation de la batterie intervenue au milieu des années 1880. Il est visible sur les cartes postales du début du 20e siècle et une photographie aérienne de 1932. Il n'apparaît plus sur une photographie aérienne de 1947 et est mentionné détruit dans les documents de la commission de déclassement et d'aliénation des ouvrages anciens (CDAOA) en 1947.
Auteur(s) du descriptif : Jadé Patrick ; Duigou Lionel

Par : L'inventaire du patrimoine

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Pardon de Sainte Anne d'Auray (26 juillet), peleri

Par : Dastum

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La saison des Pardons
La Bretagne a une tradition de fêtes religieuses, les pardons. A travers les pardons de Rosporden et de Sainte Anne d'Auray, l'historien Georges Provost explique la signification de cette manifestation religieuse qui perdure.

Par : INA

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