Les documents du Pays d'Auray

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Maison, 2 rue du Maréchal Foch (Etel)
Maison de plan massé à étage, double en profondeur. Construite au centre d'une grande parcelle, la façade principale aspectée au nord est de type ternaire.La maison est sur sous sol. Un perron donne accès à la porte principale. Un second escalier extérieur distribue une porte de service en pignon. Une porte fenêtre à balcon se trouve dans l'axe de la façade, surmontée de l'unique lucarne en pierre de taille. Pour l'éclairage des combles en façade, sont placés symétriquement deux oculi en fonte.Architecture soignée avec chaînes d'angle, balcon, corniche et lucarne à fronton triangulaire en pierre de taille.Une importance particulière est apportée au décor des souches de cheminées : décor géométrique de briques et croix de tirants prenant la forme des chiffres entrelacés des propriétaires.Maison construite vers 1910-1920. Murs d'enclos avec piliers, sur rue, datent des années 1920.Maison de négociant ou d'armateur dont les chiffres SC apparaissent sur les souches de cheminée.
Auteur(s) du descriptif : Herbaut Claudie ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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La pierre du Moine - côté sud-est

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Départ d'Eric Tabarly pour les Etats Unis
A bord de son bateau, le Pen Duick II, Eric Tabarly a quitté hier La Trinité sur Mer en direction des États Unis. Cette traversée de 45 jours en solitaire a réclamé de nombreux préparatifs.

Par : INA

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Chantiers ostréicoles sur la commune de Belz
Les chantiers ostréicoles sont pour la plupart des concessions sur le DPM.Ils se composent de bâtiments d'exploitation pour la préparation (détroquage) et de conditionnement avant expédition et bureau, d'une maison réservée à l'exploitant ou au gardien, et d'infrastructures diverses aménagées sur des terre-pleins : cales, bassins, aires de stockage.Sur les 12 chantiers anciens existants, 8 sont repérés.Pointe de Kerrio, maison de gardien et terre-plein (C 1).Pointe de Levein, maison double remaniée (B 104-105) et bâtiment de l'atelier de conditionnement (B 106), vers 1930.Îlot de Nichtarguer, maison de gardien et terre-plein, vers 1920 (AC 151).Île de Saint-Cado, chantier Ezano avec maisons, quai, cale et bassins, vers 1910 - 2006, (AC 169, 887-888).Île de Riec'h, maison de propriétaire, maison de gardien de parcs, fin 19e s. (B 45 et 47).Île de Niheu, maison de garde, terre-plein et chantier en ruine (B 4).Île des Moines, maison de gardien, terre plein et chantier (B 39).Kerispern, sur la pointe du Chochet, maison d'ostréiculteur ou de gardien de parcs, à 2 pièces et 2 portes, (AB 30).Les maisons de gardien construites près du rivage sont de dimensions modestes généralement doublées d´un atelier ou d´une remise en appentis. A Saint-Cado, sur le pittoresque îlot de Nichtarguer (anciennement Sterguer) la maison du gardien, construite en 1894, est un logis à pièce unique coiffé d´un toit à croupe (fig. 9 et 10). Une remise en appentis est détruite depuis peu. Sur l´île des Moines, la maison est à pièce unique sous toit de longs pans (fig. 15). Sur l´île de Niheu, elle est à deux pièces symétriques (fig. 13 et 14). A Kerispern sur la pointe du Chochet, la maison à deux pièces symétriques et deux portes centrées laissent à penser qu´il s´agit d´une double habitation. Les façades sont enduites (fig. 12). A la pointe du Levein, la maison du gardien datée vers 1900, est aussi une maison double. La taille et la forme de l´atelier remanié dans les années 1930 témoignent de la prospérité et de la longévité de l´activité (fig. 6 à 8).Trois maisons de propriétaires concessionnaires des parcs sont clairement identifiées : sur l´île de Riec, à Kerrio et à Kerispern, cette dernière n´est pas repérée car fortement remaniée. Ce sont des maisons à étage carré parfois situées à l´écart des chantiers comme à Kerrio (fig. 4 et 5).Comme le rappelle P. Dalido dans son ouvrage sur l´huître en Morbihan, avant de savoir élever ces coquillages, on draguait les bancs naturels, tel ceux du chenal de l´Histrec (en breton Ster-en-histrec : rivière des huîtres) ou du chenal de Riec devant l´île du même nom (AD56, S 2403).Bien qu´il y ai eu quelques tentatives précoces d´installations de parcs à huîtres et à moules en rivière d´Etel dès le début des années 1860, l'élevage des huîtres se développe réellement dans ce secteur à partir des années 1890. A l'instar de celles du golfe du Morbihan, ces exploitations profitent du développement des voies de commercialisations et en particulier du chemin de fer. Les concessionnaires de la première période 1880-1900, sont essentiellement originaires d´Etel, constructeurs de bateaux ou armateurs. Petit à petit la profession se spécialise. Tel est le cas pour M Le Lamer ostréiculteur à Etel qui obtient les concessions de Saint-Cado ou de Kerispern à Belz (fig. 1 à 3).L'élevage de l'huître plate en rivière d'Etel est complété à la fin des années 1940, par celle de l'huître creuse d'origine portugaise. En 1948 avec ses 176 hectares de parcs, les concessions en rivière d´Etel représentaient 12% des concessions morbihannaises de Pénerf à Locoal (Dalido, 1948). Après l'épizootie de 1970, les ostréiculteurs introduisent dans leurs parcs, l'huître creuse japonaise. C´est aujourd´hui encore une activité importante qui compte dans l´économie locale.
Auteur(s) du descriptif : Herbaut Claudie

Par : L'inventaire du patrimoine

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Digor ho tor men dous, pe me zaerou

Par : Dastum

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Supports anthropomorphes (2)
Ensemble de deux supports déplacés du choeur aujourd'hui ruiné vers le mur est reconstitué actuel.
Auteur(s) du descriptif : Tanguy Judith ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Maison, anciennement presses à sardines, 12 rue de
Maison construite à l'alignement de la voie. Grande cour postérieure avec dépendances récemment construites à l'exception d'un bâtiment de plan carré à l'est.Plan rectangulaire, élévation à étage et comble à surcroît, toiture en appentis sur demi pignons découverts. Plan massé à étage, élévation de faux type ternaire.Fenêtres à feuillures de contrevent. Chaînes d'angle et souche de cheminée sur gouttereau en pierre de taille.Maison datée 1847 sur linteau d'une fenêtre du rez-de-chaussée.Faisait partie d'un ensemble avec dépendances (détruites) mentionnées comme étant une presse (à sardines) sur le plan cadastral de 1851.Pignon sud reconstruit vers 1960.
Auteur(s) du descriptif : Herbaut Claudie ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Bulletin paroissial de Quiberon - juillet 1914
juillet 1914. 20ème siècle

Par : Gallica

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Bulletin paroissial de Quiberon - paroisse Saint-
décembre 1919. 20ème siècle

Par : Gallica

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Bulletin paroissial de Quiberon - paroisse Saint-
septembre 1919. 20ème siècle

Par : Gallica

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L'île de Houat
L'île morbihannaise de Houat, isolée du continent de 20 kilomètres, est en marge de la modernisation. Privés d'eau potable et d'électricité, les Houatais qui sont traditionnellement pêcheurs mènent une vie rude et pauvre, avec peu de distractions.

Par : INA

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Ferme, Saint-Sauveur (Erdeven)
Maison bourgeoise double en profondeur, à double exposition : façade sur courette au sud, façade sur jardin d'agrément et verger au nord.Logis flanqué de deux dépendances en alignement : une étable à l'ouest, augmentée d'une seconde en retour à RDC ouverte en pignon et coiffée d'une toiture à croupe, et une remise à l'est avec loge à charette à toiture à croupe, également ajoutée en retour.L'élévation du logis est à un étage carré sous comble à surcroît. L'escalier dans oeuvre est dans l'axe et en partie postérieure de la maison. La façade principale est de type ternaire, enduite, avec petit perron devant la porte d'entrée et une lucarne en pierre de taille à fronton demi circulaire en pierre de taille au-dessus de la travée centrale.La courette antérieure est fermée d'un muret avec piliers en pierre de taille et portail en fer forgé. Le puits n'est pas en place.Au nord de la ferme, le verger est cerné d'un mur d'enclos en moellons, avec jours et petite porte au nord.Ferme construite vers et après 1885 (tradition orale) pour un greffier qui possédait toutes les fermes du hameau.
Auteur(s) du descriptif : Herbaut Claudie ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Chapelle des Sept Saints (Erdeven)
L'édifice avant restaurations des années 1995-1997, était couvert d'un berceau en béton armé. Il présentait également au niveau d'une pseudo-abside, une tribune extérieure adossée au pignon nord. L'édifice actuel est entièrement reconstruit dans sa partie supérieure : arrase des murs, charpente, couverture, partie supérieure des pignons et des baies, vitraux.Edifice de plan rectangulaire, chevet plat, orienté au nord. Sacristie accolée en retour à l'est du choeur. La chapelle est désormais couverte en bâtière, pignons découverts, comme à l'époque de sa construction (cartes postales anciennes). Le clocheton élancé en pierre de taille de granite gris est d'origine.Trois baies cintrées sont ménagées dans le mur de chevet, le mur est et le mur ouest, où est également percée une porte.L'enduit extérieur n'a pas été restauré.La charpente apparente est à entraits retroussés et arbalétriers supportant un cintre reposant sur des blochets. Chacune des fermes est renforcée par un câble métallique formant tirant. Les murs intérieurs sont enduits.Une inscription en breton a été placée en pignon sud, au-dessus de la porte principale : "ER SEIH SANT A VREIZ IZEL".La chapelle primitive figurée sur le plan cadastral de 1811 est correctement orientée.Elle est réédifiée en 1899, à l'initiative du recteur Camper, qui la fait rebâtir suivant une orientation nord-sud. Son clocheton élancé fut dessiné par l'abbé Le Trouher d'après le chanoine Danigo.Vers 1910-1920 on augmente l'édifice d'une tribune extérieure en abside afin de pourvoir aux célébrations extérieures du pardon du dernier dimanche d'août, qui pouvait rassembler 5 à 6 mille pèlerins.Vers 1930 (Danigo), le recteur la fit couvrir d'un berceau en béton que l'on du maintenir quelques temps plus tard par des colonnes intérieures et des contreforts extérieurs également en béton armé.1944, l'armée allemande occupe le site. Autel, vitraux et clocheton sont endommagés.Entre 1995 et 1997, l'association aidée par Breiz Santel entrepris de supprimer les structures en béton des années 1930, sous la houlette de l'architecte Léo Goas-Straaijer.Son attribution aux "septs saints" se réfère aux sept saints fondateurs des évêchés de Bretagne, à l'origine du pèlerinage du Tro-Breiz.
Auteur(s) du descriptif : Herbaut Claudie ; Berthou Marie ; Toscer Catherine ; Pierre L. et M.

Par : L'inventaire du patrimoine

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Josiane la sémaphoriste
A la mort de son mari, Josiane a repris l'activité de son époux au sémaphore d'Etel. Elle a appris son métier en observant la nature, et, s'est petit à petit imposée auprès des marins, qui se laissent guider à travers la barre, réputée dangereuse.

Par : INA

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femme en costume breton devant un moulage du musée

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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maison bourgeoise ; plusieurs personnages autour d

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Le Pardon de Sainte Anne d'Auray
Le 26 juillet, la paroisse de Sainte Anne d'Auray fête sa sainte patronne, Anne. Ce grand pardon rassemble de nombreux pèlerins, notamment des femmes qui viennent célébrer la mère de la Vierge Marie.

Par : INA

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La saison des Pardons
La Bretagne a une tradition de fêtes religieuses, les pardons. A travers les pardons de Rosporden et de Sainte Anne d'Auray, l'historien Georges Provost explique la signification de cette manifestation religieuse qui perdure.

Par : INA

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