Les documents du Pays d'Auray

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Stèle christianisée et croix de chemin, Locoal (Lo
La stèle a la forme d'une pyramide quadrangulaire et porte en relief une large croix pattée inscrite dans une circonférence, avec au-dessus une petite croix gravée en creux.La stèle gaulloise est associée à une croix médiévale, toutes deux implantées le long le long de la route, à 100 mètres au sud de l'église. On appelle ce monument la pierre du moine : Mén er Menah. La croix est édifiée à côté de cette stèle païenne pour la christianiser comme dans d'autres exemples inventoriés sur la commune.
Auteur(s) du descriptif : Toscer Catherine ; Tanguy Judith

Par : L'inventaire du patrimoine

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Christ en croix
Les bras sont rapportés.Le Christ date probablement du 16e siècle, la croix est contemporaine, seul le titulus est rajouté postérieurement. Cette œuvre est proche de celle conservée dans la chapelle Saint-Jean en Locoal-Mendon.
Auteur(s) du descriptif : Toscer Catherine ; Tanguy Judith

Par : L'inventaire du patrimoine

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Chapelle Saint-Méen (Ploemel)
Construite en pierre de taille, la chapelle est constitué de deux vaisseaux, celui du sud plus court que le vaisseau principal étant sans doute une chapelle seigneuriale. Ils communiquent par deux arcades en plein cintre à mouluration pénétrante repposant sur une pile cylindrique à base carrée. Forme et mouluration des arcades se rapporte au début de la Renaissance. Dans le choeur, une fente verticale servait sans doute d'hagioscope pour le chapelain célébrant l'office dans la chapelle seigneuriale. Le chevet montre deux pignons découverts, dont les toitures parallèles sont reliées par une noue. Les portes en anse de panier ne portent aucun décor, que ce soir celle de la chapelle seigneuriale, ou les portes nord, sud et ouest de la nef.La tradition rapporte que la chapelle saint- Méen aurait été fondée par les templiers, affirmation non avérée. Elle a été construite en deux campagnes très proches dans la première moitié du 16e siècle : la nef, puis la chapelle sud qui s'est greffée peu après sur la nef : une petite différence de modénature entre les portes de la nef et celle de la chapelle accrédite l'idée que cette dernière est un peu postérieure. La verrière du chevet datée 1556 date la fin de la construction. Elle porte le blason de la famille de Larlan, seigneurs de la terre noble proche de Coët Quintin, qui sont les prééminenciers et sans doute les fondateurs de la chapelle. D'autres blasons figurent dans la chapelle : sur la fenêtre nord du choeur, un blason buché non lu, peut-être une croix comme sur les trois blasons sculptés sur le devant d'autel, également la famille de Larlan qui porte 'd'argent à la croix de sable chargée de neuf mâcles d'argent'.Menaçant ruines, le clocher a été démonté en 1838 et remonté sans doute à l'identique ou en remployant les pierres anciennes car il paraît dater du 16e siècle. C'est à la même époque que le recteur Guyonvarc'h fait démonter le jubé de bois jugé encombrant. Les remplages des fenêtres nord et sud ont disparu.
Auteur(s) du descriptif : Tanguy Judith ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Caserne à l'épreuve, fort central (Hoedic)
La caserne du fort d'Hoedic est construite d'après les plans-types de caserne voûtée à l'épreuve établis par le Comité des fortifications en 1843 et 1845 d'après les propositions du capitaine Belmas. Conformément à une pratique courante des années 1830-1870, elle est disposée à cheval sur la courtine de gorge du fort, et isolée de celui-ci par un fossé. Elle tient ainsi le rôle de réduit de l'ouvrage. C'est un bâtiment organisé sur trois niveaux plus la terrasse crénelée, et cinq travées voûtées principales contrebutées par deux séries de trois locaux voûtés transversaux à chaque extrémité. Sa contenance est d'environ 250 hommes et six mois de vivres. La caserne est traversée par le passage d'entrée du fort, qui occupe la travée centrale du deuxième étage. La porte est précédée d'un pont-levis prolongeant le pont dormant franchissant le fossé. Des éléments du mécanisme de ce pont-levis de type Poncelet sont toujours actuellement en place. Une passerelle permet de passer de la caserne à la cour du fort. Les locaux du sous-sol sont surtout dédiés à la logistique alimentaire : magasins aux vivres, boulangerie, cuisine, cantine. La citerne alimentée par le recueil des eaux pluviales en terrasse occupe la travée centrale. Les salles de police sont également au sous-sol, ainsi que le magasin d'artillerie et une forge. Des latrines à fosses, séparées pour les officiers et la troupe, sont aménagées sous une voûte dans la contrescarpe de la partie nord du fossé de la caserne. La communication entre le fond du fossé de la caserne et le terre-plein de la cour du fort s'effectue au moyen de deux escaliers droits. Les casemates du rez-de-chaussée et de l'étage sont affectées au casernement et ses dépendances (corps de garde, logement du concierge, infirmerie). La troupe loge dans des chambrées occupant une travée entière ou une demi-travée. Les sous-officiers et les officiers disposent de chambres aménagées dans les locaux des extrémités. Le commandant du fort dispose d'une demi-travée. Certains locaux ont été adaptés à leur destination actuelle. Des vestiges des installations liées au casernement sont ponctuellement présents : conduits de poêles, pitons de planches à bagages. La distribution s'organise selon le plan-type en corridors longitudinaux faisant communiquer les travées entre elles via des portes percées dans les piédroits des voûtes. Deux escaliers occupant l'espace central des locaux des pignons desservent les trois niveaux voûtés. Un grand escalier double dessert également le premier étage depuis le passage d'entrée au deuxième étage. L'accès à la terrasse se fait au moyen de deux escaliers courant dans l'épaisseur des voûtes. La terrasse était rendue défensive au moyen d'un parapet percé de créneaux pour le tir au fusil et d'embrasures pour pièces d'artillerie légère surmontant la façade ouest. Ce parapet a été victime des prélèvements de pierres opérés sur la caserne et n'existe plus. Une caserne de gorge à l'épreuve issue du plan-type de 1843-1845 est présente dans les projets du fort d'Hoedic dès ceux de 1846 pour 1847, présentés suivant les préconisations du Comité des fortifications dans son avis du 29 avril 1846. Initialement prévue à sept travées, elle est réduite à cinq travées par l'avis du Comité du 8 juillet 1847 qui arrête le tracé définitif du fort. La caserne est construite en même temps que l'enceinte du fort, de 1847 à 1854. Fin 1850, il reste à construire les voûtes supérieures et la terrasse. Après l'abandon du fort en 1875, la caserne abrite un temps l'école publique de l'île. Comme le reste du fort, elle sert aussi de carrière de pierres de taille. Elle accueille actuellement un gîte d'étape, les locaux d'un club nautique et des salles d'exposition. Sa restauration est prévue (2017).
Auteur(s) du descriptif : Jadé Patrick ; Duigou Lionel

Par : L'inventaire du patrimoine

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Garde-corps de tribune
Tribune en partie ménagée dans le massif ouest, à laquelle on accède par un escalier situé dans l'épaisseur du mur. Le garde-corps est supporté par quatre poutres insérées dans le mur ouest, la balustrade assemblée par rainure et languette.Tribune contemporaine de la construction de la chapelle.
Auteur(s) du descriptif : Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Quadrilatère de Crucuno

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Pe oen ievank da zimezein

Par : Dastum

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An invantoer Baod

Par : Dastum

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Bannière de procession 1 : bannière de la congréga
Application de drap d'or, de soie et de carton peint (chairs) ; broderies rembourrées sur carton ; broderies de soie. Hampe en bois tourné.
Auteur(s) du descriptif : Tanguy Judith ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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An dro

Par : Dastum

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Deuit hui ganein plac'hig da vale d'ar c'hoad sapi

Par : Dastum

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Bulletin paroissial de Quiberon - octobre 1916
octobre 1916. 20ème siècle

Par : Gallica

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Louison Bobet, entrepreneur
L'ancien cycliste Louison Bobet a troqué son maillot de sportif pour la casquette de chef d'entreprise. Il évoque sa reconversion et son besoin d'entreprendre. A Quiberon, il a ainsi ouvert un centre de thalassothérapie.

Par : INA

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Corps de garde crénelé actuellement maison, batter
Le corps de garde crénelé de la batterie du Béniguet est issu du type n° 1 pour 60 hommes de la circulaire du ministère de la Guerre du 31 juillet 1846. Ses dimensions sont de 23,70 mètres de long pour 14,80 mètres de large. La divergence majeure par rapport au plan-type concerne l'épaisseur des voûtes et de leurs piédroits, renforcée afin de supporter le poids et le tir des pièces légères prévues pour armer la terrasse. A la différence d'autres corps de garde "renforcés", les murs extérieurs ont été laissés à leur épaisseur initiale. La distribution intérieure du corps de garde reprend celle du plan-type. Elle a été peu modifiée pour correspondre à la destination actuelle du bâtiment. Les pièces de part et d'autre de l'entrée accueillent la cuisine (à droite) et les chambres du chef de poste et du gardien (à gauche). La citerne est présente sous les pièces de l'entrée. La première grande travée est partagée entre le magasin aux vivres (à droite) et une chambrée de troupe, séparées par une cloison s'appuyant sur l'escalier droit menant à la terrasse. Les deux autres grandes travées sont des chambrées de troupe. Des éléments témoignant des dispositions prises pour le casernement au 19e siècle y sont toujours visibles : traces au sol des assises des poteaux supportant les barres pour les hamacs, conduits des poêles. Les trois pièces du fond correspondent aux deux magasins à poudre séparés par le magasin d'artillerie. Une seule fenêtre supplémentaire a été ouverte sous une baie semi-circulaire initiale, sur la façade sud. Les planchers en bois des magasins à poudre ont disparu. Le sol du magasin d'artillerie est dallé de pierre, ceux des autres pièces ont conservé leur revêtement en asphalte. Les matériaux mis en œuvre pour la maçonnerie sont le granite local pour les moellons et le granite importé du continent pour les pierres de taille. Le parapet de la terrasse défensive est percé d'embrasures pour pièces légères en plus des créneaux de tir pour armes individuelles. La "Commission mixte d'armement des côtes de la France, de la Corse et des îles" de 1841 attribue comme réduit à la batterie du Béniguet une tour n° 1, pour 60 hommes. Après le premier projet présenté fin 1845 pour l'exercice 1846, dans lequel le chef du génie propose un corps de garde circulaire de sa création, les projets ultérieurs reviennent à des dispositions conformes au plans-types adoptés en 1846. Dès 1846, la tour crénelée est remplacée par un corps de garde crénelé de même contenance, moins coûteux. Celui-ci doit néanmoins être à voûtes et piédroits renforcés afin de pouvoir porter les pièces d'artillerie légères prévues pour la défense rapprochée. Les travaux du corps de garde se déroulent parallèlement à ceux de l'épaulement de la batterie, de 1857 à 1859. Après le déclassement de la batterie en 1889 et sa vente en 1891, le corps de garde trouve une destination comme maison, qu'il conserve toujours actuellement.
Auteur(s) du descriptif : Jadé Patrick ; Duigou Lionel

Par : L'inventaire du patrimoine

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Bénitier
Bénitier sur pied en marbre rose, composé d'une cuve ovale monolithe, sur fût et base monolithe de section ovale également. L'ensemble est rehaussé sur socle en granite de même section que la base de marbre, s'élargissant sur un socle plus grand.Proviendrait de la chapelle du château de Kercadio (tradition orale). Non documenté.
Auteur(s) du descriptif : Herbaut Claudie ; Berthou Marie ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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soldat devant les portes du musée

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Ne 'p eus ket soñj plac'hig (a)

Par : Dastum

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Ridée du Pays d'Auray

Par : Dastum

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