Les documents du Pays d'Auray

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Croix de cimetière, bourg (Erdeven)
La croix monumentale est placée au centre de l'enclos d'origine du cimetière, dans l'axe de l'allée centrale (orientée nord-sud).Le monument est de plan carré : sur un emmarchement à trois degrés, un soubassement appareillé en pierre de taille supporte le socle monolithe de la croix.La croix et son fût sont également monolithiques. Le fût est de section polygonale, la croix de section carrée.Elle ne comporte aucune sculpture et semble plus récente que le socle et le soubassement.
Auteur(s) du descriptif : Herbaut Claudie ; Berthou Marie ; Toscer Catherine ; Pierre L. et M.

Par : L'inventaire du patrimoine

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Dernier voyage de la locomotive à vapeur entre Ren
Dernier voyage d'une locomotive à vapeur sur le réseau de l'Ouest. Le train quitte la gare de Rennes à destination de la gare d'Auray dans le Morbihan. Tout au long de ce voyage à travers la campagne, les cheminots actionnent les machines.

Par : INA

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Bulletin paroissial de Locmariaquer et Crac'h - se
septembre 1918. 20ème siècle

Par : Gallica

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Bulletin paroissial de Locmariaquer et Crac'h - ju
juillet 1915. 20ème siècle

Par : Gallica

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Bulletin paroissial de Locmariaquer et Crac'h - ao
août 1915. 20ème siècle

Par : Gallica

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Bulletin paroissial de Locmariaquer et Crac'h - ma
mars 1917. 20ème siècle

Par : Gallica

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Bulletin paroissial de Locmariaquer et Crac'h - fé
février 1918. 20ème siècle

Par : Gallica

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Ensemble de cinq statues (grandeur nature) : Vierg
Ensemble de cinq statues en terre cuite polychrome. Revers sculpté.Les statues sont contemporaines du retable avec lequel elles forment un ensemble homogène.
Auteur(s) du descriptif : Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Une gardienne de phare
En 1925, Melle Le Bail succède à sa soeur et devient la gardienne du phare du Créac'h dans le Morbihan. Depuis 38 ans, elle consacre sa vie à son phare. Outre son activité de gardienne, elle est conseillère municipale à Saint Philibert et ostréicultrice.

Par : INA

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Le menhir

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Château, Lannouan (Landévant)
Corps de logis principal enduit à un étage carré sur sous-sol. Elévation nord principale avec pavillons en retour, travées centrales réunies sous un fronton triangulaire. Elévation sud à treize travées avec avant-corps central polygonal. Couverture en ardoise avec noue et croupe. Sur les deux élévations, les travées centrales sont ponctuées au niveau de la toiture par des amortissements en forme de balustres. Les lucarnes sont différentes : la plupart sont en bois à fronton cintré à l'est, mais cinq d'entre elles sur les pavillons et sur l'avant-corps sont en calcaire.Communs enduits à avant-corps latéraux sur l'élévation est couverts d'une demi-croupe et noue pour l'articulation avec la toiture principale. Les ouvertures sont en granite gris et en brique (comble), le soubassement en pierre de taille de granite gris. Un bandeau de brique sépare les deux niveaux.La ferme est en moellon enduit à un étage ou double grenier selon que l'on soit dans le logis à l'est ou la dépendance à l'est. Un grand portail à grilles en fer forgé donne accès au château : il est situé latéralement et on y accède par l'ancienne avenue de Talvern, interrompue. Il coupe un fossé creusé le long du mur d'enclos.La métairie de Lannouan est signalée exempte dans l'enquête sur les exempts du fouage de 1448. Hervé de Lannouan, seigneur du lieu paraît à la montre de 1464 : avec cent livres de rente, c'est la seconde seigneurie ou sieurie de la paroisse après le Val. Cette terre passa ensuite aux du Garo de Kermeno par alliance au début du 16e siècle. Cependant d'après P. Robino, les du Garo sont liés aux Lannoan, dès le 14e siècle par transaction et alliances.La terre est acquise en 1702 par Jérôme de Perrien, originaire du diocèse de Tréguier et époux de Jeanne Eudo de Kerohel ; il n'est pas certain que cette date marque le début de la reconstruction du château, car peu de temps s'écoule entre l'acquisition et la mort de Jérôme de Perrien ; de plus, le plan cadastral de 1837 montre un grand corps de logis orienté au sud-ouest nord-est relié au château actuel par le pavillon sud-ouest qui n'existe plus et qui pourrait être l'ancien manoir. Lors de l'inventaire après décès de Jérôme de Perrien en 1705, le château est décrit avec salon, cuisine, chambre haute et quatre autres chambres, complété d'écuries et de greniers. Au milieu du 18e siècle, Charles de Perrien épouse Bonne de Kerboudel de la Courpéan, seule héritière de ses parents : peut-on supposer que l'argent de l'héritage a servi à construire le château ? A la Révolution, le château reste dans la famille de Perrien et le plan cadastral de 1837 fait apparaître une physionomie assez différente d'aujourd"hui : si le corps principal avec son avancée centrale et les pavillons sont bien en place, ces derniers ont été complétés par de nouveaux pavillons en avancée vers le nord après 1840 et d'un nouveau corps en retrait sur la façade sud côté ouest ; c'est sans doute à cette époque que le grand corps en retour est détruit : il s'agit sans doute d'une refonte complète du château avec création d'un parc à l'anglaise qui fait disparaître les jardins et la cour enclos, de même qu'un petit bâtiment carré à l'entrée de la cour (plan cadastral) qui pourrait être la chapelle, ainsi que la ferme ou communs à l'ouest. Cette campagne comprend peut-être aussi la construction de communs édifiés en retrait, tandis qu'une nouvelle ferme est construite à l'ouest derrière ces communs sur une parcelle de bois de fûtaie cernée d'allées sur le cadastre ancien.Le château a subi de grands dégâts durant la seconde Guerre mondiale : incendié, il ne reste plus que deux cheminées du 18e siècle ; le grand corps construit à l'ouest dans la 2e moitié du 19e siècle est détruit, remplacé par un garage et un corps bas en avancée au sud. La plupart des décors repris au 19e siècle ont disparu. La chapelle signalée par Le Méné a disparu peut-être au même moment.L'orangerie qui remonte au 18e siècle est détruite pendant la guerre puis remontée partiellement et agrandie dans la 2e moitié du 20e siècle.La ferme est construite au milieu du 19e siècle sur l'emplacement d'une parcelle de bois de futaie cernée d'allées sur le plan cadastral ancien.
Auteur(s) du descriptif : Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Dolmen des Pierres Plates, détail des gravures d’u

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Écart dit village de Keristès
En limite communale sud-est, le village est constitué de deux parties reliées par un chemin aujourd'hui piétonnier dans lequel se trouve une fontaine et le lavoir du village : aujourd'hui, deux chemins différents permettent d'accéder aux deux parties du village à partir de la route D 768, d'Auray à Quiberon. Dans le secteur sud du village, il ne subsiste du manoir qu'un mur d'enclos. La ferme qui le remplace (p. 647) est un logis de type ternaire avec appentis cellier postérieur et étable en alignement en appentis. Deux fermes prennent place au sud du manoir, de part et d'autre du chemin de desserte. La première à l'ouest du chemin (p. 710, 712) consiste en un logis étable à deux portes. La seconde n'a pas été repérée, mais conserve des vestiges du 17e siècle. Dans la partie nord du village, la ferme (p.556) construite en moellon régulier et couverte en tôle ayant remplacé le chaume, appartient au type logis-étable à porte unique complété d´une chambre non chauffée avec accès indépendant. Dépendance en retour en moellon régulier couverte en tôle.Keristès est un village très ancien, dont les tenues relevaient de la seigneurie de Kaer. Il est le siège d'un manoir attesté dans les réformations de 1424, 1427, et tout au long du 15e siècle où il appartient à la famille Le Palut. A la réformation de 1536, il appartient à Gilles du Querissec et Gilles de Camsquel, ce dernier issu d'une seigneurie sur le territoire de Vannes. Le logis du manoir a été reconstruit en 1913, information orale : localisé dans la partie sud-ouest du village, il était figuré en ruines sur les plans cadastraux de 1811 et 1845, de même que le bâtiment au sud (p. 501) qui semble en dépendre ; le fournil qui lui était associé (ou fournil du village) est aujourd'hui en ruines. Cette partie du village qui outre le manoir comptait deux ou trois fermes (selon la fonction du bâtiment face au manoir), ne conserve plus qu'une ferme de la fin du 16e ou du début du 17e siècle, la seconde probablement de la même époque étant très remaniée et la troisième face au manoir détruite. Séparée du sud du village par un douet, la partie nord-est du village comportait deux fermes et une maison de prêtre de la fin du 16e siècle, conservée. Une des deux fermes qui date probablement de la même époque que le logis de prêtre conserve une dépendance qui porte la date de 1635. La seconde ferme au nord de la première a été reconstruite. Le village comptait deux fontaines formant les affluents du ruisseau de Pont-er-Ru, limite communale, sur le plan de 1845 : l'une alimentait sans doute le lavoir qui subsiste entre les deux parties du village.
Auteur(s) du descriptif : Tanguy Judith ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Kontant oe ar boulom

Par : Dastum

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Ridée

Par : Dastum

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Statue Hoche à Quiberon

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Écart dit village de Kerdavid (Erdeven)
Petit hameau situé au bout d'une impasse communiquant avec le chemin de Kerascouët au village des Sept-Saints.Les fermes et leurs dépendances forment deux alignements parallèles aspectés au sud.Les espaces communs, chemin, cour de ferme, mare sont préservés.Deux fermes dont une de la fin des années 1930, procédant chacune de la réunion de deux petites tenues, sont repérées.Nommé Kerdavy, dans les déclarations de 1683 et 1699, ce village comprenait un convenant dépendant de Keravéon.Il était primitivement situé au nord de la route qui reliait Etel au bourg d'Erdeven, avant l'aménagement de la nouvelle route au nord de Kerlavart, dans la seconde moitié du 19e siècle.Les plans cadastraux de 1811 et 1845, confirment les modifications intervenues sur le bâti (escaliers extérieurs détruits) et dans l'espace (fermes rallongées) dans la seconde moitié du 19e siècle.D'autres augmentations datent de la 1ère moitié du 20e siècle.
Auteur(s) du descriptif : Herbaut Claudie ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Ferme, Saint-Sauveur (Erdeven)
Le logis-étable d'origine, à combles à surcroît, est très dénaturé. Il présente une couverture en tuiles mécaniques. L'appentis à l'est est couvert de fibrociment.Le nouveau logis construit en retour au sud, est à deux pièces chauffées à RDC et combles à surcroît. L'élévation présente une travée centrale avec porte surmontée d'une lucarne en maçonnerie. La façade est enduite dans l'esprit des pratiques de l'entre-deux-guerres.Ferme (logis étable ?) représentée sur le cadastre de 1811, transformée en simple dépendance après la construction d'un logis neuf au sud, vers 1920-1930. La tradition orale rapporte qu'il s'agissait d'une "tenue" de la grande ferme (ZK 11) au moins à compter des années 1880.Sur le plan cadastral de 1845, la façade principale de cette ferme, devenue simple étable, est orientée au nord sur une cour limitée au nord et à l'est par deux (ou trois) autres fermes.
Auteur(s) du descriptif : Herbaut Claudie ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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2 soldats devant les portes du musée

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Costume de Ste Anne d'Auray

Par : Dastum

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Le Pardon de Sainte Anne d'Auray
Le 26 juillet, la paroisse de Sainte Anne d'Auray fête sa sainte patronne, Anne. Ce grand pardon rassemble de nombreux pèlerins, notamment des femmes qui viennent célébrer la mère de la Vierge Marie.

Par : INA

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