Les documents du Pays d'Auray

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Croix de chemin dite croix de Keredo (Erdeven)
Croix de chemin située à l'est du hameau de Keredo, au nord du chemin qui conduisait au village de Saint-Sauveur, actuellement au bout du chemin rural n°25, en un point haut (altitude 32 m) à proximité d'un dolmen en ruine.Le fut de la croix est cassé, deux morceaux sont posés à côté du socle cubique. La section des bras de la croix est polygonale. Elle est sculptée sur sa face sud d'un Christ en croix très abîmé.Non documenté. Croix de chemin pouvant dater du 17e siècle, jalonnant le chemin qui reliait Keredo à Saint-Sauveur.
Auteur(s) du descriptif : Herbaut Claudie ; Berthou Marie ; Toscer Catherine ; Pierre L. et M.

Par : L'inventaire du patrimoine

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Croix de chemin dite croix de Kerangre (Erdeven)
Située à Kerangre, elle marque le carrefour des routes de Kerascouët et Kerdavid.Son soubassement est accolé au mur de clôture de la parcelle nord.Elle repose sur un socle monolithe et un soubassement en pierres de taille, de plan carré. Le fût et la croix en bâtière ourlée d'un cordon, sont en deux blocs de section polygonale. La face ouest de la croix est sculptée d'un Christ en faible relief.En 1969, elle était orientée à l'est. Les désordres visibles entre le socle et le soubassement s'expliquent par cette modification d'orientation récente.Croix en bâtière du 16e siècle.
Auteur(s) du descriptif : Herbaut Claudie ; Berthou Marie ; Toscer Catherine ; Pierre L. et M.

Par : L'inventaire du patrimoine

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Église paroissiale Saint-Martin, place de l'Eglise
Edifice homogène, l'église est construite en moellon enduit suivant un plan en croix latine. Le massif occidental en léger ressaut sur la nef est construit en pierre de taille pour l'élévation ouest qui contraste par une forte structuration avec l'austérité des autres façades de l'édifice. Dans cette élévation à trois travées, la travée centrale est soulignée par un fronton triangulaire surmontant la porte en plein cintre encadrée de pilastres, une disposition que l'on retrouve sur les quatre faces de la base du clocher. Les vaisseaux sont couverts d'une charpente en berceau lambrissé ; les entraits apparents dans la nef masquent en fait des tirants en fer vus par Danigo en 1983. De nombreuses sculptures sont remployées de l'ancienne église : sur le chevet au dessus de la date de 1834 protégée par un larmier deux blasons ronds aujourd'hui lisses en alliance dans une couronne d'ordre ; sur les rampants du chevet, les vestiges d'un animal (marin ?) non identifié. Une sacristie d'axe en rez-de-chaussée est acolée au chevet.La première église remontait au 15e siècle selon Ogée : une inscription tronquée remployée dans le mur sud mentionne : Lan Mil Quatre Cents quatre (vingt ?). Cette date de la fin du 15e siècle peut être reliée à celle de 1512 incrite sur une sablière déposée que Rosenzweig a vu chez l'aubergiste Couppé : on apprend que le clocher fut achevé en 1512 par François Lorans. Les autres dates mentionnées par Rosenzweig et Du Halgouet figurant en remploi, 1422 et 1413, n'ont pas été retrouvées. Le Méné atteste que l'ancienne église possédait trois nefs, le collatéral nord, seul pavé dédié à saint Martin ; la nef était plus courte que les bas-côtés. La corniche extérieure était sculptée des sept péchés capitaux : peut-être les sculptures fantastiques insérées en remploi dans l'édifice actuelen sont-elles des vestiges.La nouvelle église est érigée en 1834 selon la date portée sur le pignon du chevet. Le devis de construction établi le 30 décembre 1833 se monte à 15000 francs. Il ne comprenait pas le clocher pour lequel un nouveau devis de 14000 francs fut établi en 1842. Faute de subsides, celui-ci n'aboutit pas et un nouveau plan dressé par l'ingénieur-voyer Louis Marsille en 1854 est effectué en 1855 par l'entrepreneur Léon. La sacristie est contemporaine de l'église.Le terrain en pente a cependant obligé à la construction d'un contrefort au nord, près du clocher peut-être à la fin du 19e siècle. Le porche sud détruit pendant la deuxième Guerre mondiale a été reconstruit vers 1950.Sur un soubassement daté 1812 et redaté 1872 peut-être déplacé après la reconstruction de l'église, une croix de bois est érigée 1920, date portée sur le socle. En pendant, on construit le monument aux morts à peu près à la même date.
Auteur(s) du descriptif : Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Écart dit village de Penpoul (Locoal-Mendon)
Situé à proximité immédiate du village de Lapaul, Penpoul ne comprenait qu'une ferme composée de trois bâtiments, figurés sur le cadastre ancien de 1845. La grange datée 1703 donne peut-être la date d'origine de la ferme. La situation des bâtiments est inchangée depuis l'époque du cadastre napoléonien malgré le remaniement du corps de ferme principal dans la seconde moitié du 19e siècle et la reconstruction in situ du logis secondaire à la fin du siècle.
Auteur(s) du descriptif : Toscer Catherine ; Tanguy Judith

Par : L'inventaire du patrimoine

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Préparatifs de la course Transatlantique
Entraînement du favori Alain Colas et d'Eugène Riguidel, avant le départ de la course transatlantique 1972. Colas, ancien équipier d'Eric Tabarly, naviguera sur le trimaran Pen Duick IV avec lequel Tabarly avait débuté la transatlantique 1968.

Par : INA

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Une gardienne de phare
En 1925, Melle Le Bail succède à sa soeur et devient la gardienne du phare du Créac'h dans le Morbihan. Depuis 38 ans, elle consacre sa vie à son phare. Outre son activité de gardienne, elle est conseillère municipale à Saint Philibert et ostréicultrice.

Par : INA

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Conserveries sur la commune de Belz
Un seul établissement est sélectionné sur la commune de Belz, se reporter à sa fiche.Il est fait mention de presses à sardines au port de Saint-Cado. Connues uniquement par tradition orale, elles pourraient dater de la fin de l'Ancien Régime ou du début du 19e siècle. Les conserveries n'apparaissent sur le territoire communal qu'au 20e siècle. Celle de Kernio fonctionne à partir de 1939 jusqu'en 1980. Celle de la Z.I. des Quatre-Chemins, est en réalité constitués des entrepôts d'une conserverie d'Etel, délocalisée à Belz dans les années 1990.
Auteur(s) du descriptif : Herbaut Claudie

Par : L'inventaire du patrimoine

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A-barzh jardrin ar minour eh eus un evnig rouz

Par : Dastum

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Écart dit village de Keroulin
Le village est desservi par l'ancien chemin du Bourg à Carnac, conservé et bordé de murets, l'itinéraire actuel (D 119) passant plus à l'ouest. Un ancien chemin de desserte perpendiculaire le relie à la nouvelle route. Les logis sont tous orientés au sud. Au centre, le logis avec fournil se compose d'une pièce unique et peut-être d'un cellier dans lequel se trouve l'ouverture du four. La cheminée est en bois. Au sud, l'alignement remanié ouvert au nord appartenait au type logis-étable à deux portes ; la salle conserve une cheminée à colonnettes dont l'origine est inconnue.A l'est du chemin ancien, ferme enclose regroupant un logis en moellon à deux pièces avec dépendance en retour, crèche isolée et grange à porte charretière en pignon. A l'ouest du chemin, la dernière ferme remaniée conserve au fond de la parcelle une dépendance avec cellier.Le village de Keroulin ou Keryolin sur le plan cadastral de 1811, est situé au sud du bourg auquel il est relié par un chemin qui menait autrefois au bourg à Carnac : ce chemin a été retracé à l'ouest immédiat du village. De petites dimensions, celui-ci regroupe autour d'un commun deux grandes fermes au sud, celle la plus au sud accompagnée d'un fournil, et deux plus petites au nord. Cette structure a subsisté, mais l'alignement du sud-ouest a été entièrement remanié. Le fournil au nord de la ferme sud-est est en ruines. Au nord-est, la petite ferme est reconstruite entre 1811 et 1844, tandis que les dépendances du 18e siècle ont subsisté. Une maison avec fournil est construite entre 1811 et 1845. Trois maison ou fermes ont été repérées, la plus ancienne remontant à la fin du 16e ou début du 17e siècle. Une d'entre elles a fait l'objet d'un dossier individuel.
Auteur(s) du descriptif : Tanguy Judith ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Maison, 16 ruelle des Champs (Etel)
Maison faisant partie d'un alignement de cinq. Mitoyenneté partielle, jardin latéral.Maison de type à deux pièces symétriques à surcroît, éclairé d'une grande lucarne pignon.Modénature et décor de type années 1930 : soubassement en appareil polygonal, enduit à fausse chaîne d'angle, entourages des baies briques et pierres, lambrequins à l'égout de toit de la lucarne.Maison d'origine date vers 1900.Façade recomposée et augmentée d'une lucarne pignon dans les années 1930.
Auteur(s) du descriptif : Herbaut Claudie ; Toscer Catherine

Par : L'inventaire du patrimoine

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Bulletin paroissial de Quiberon - novembre 1915
novembre 1915. 20ème siècle

Par : Gallica

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Bulletin paroissial de Quiberon - paroisse Saint-
novembre 1919. 20ème siècle

Par : Gallica

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Quiberon (Morbihan) : Menhir erige comme monument

Par : Dastum

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Quiberon - Lucarne / Souche de cheminée
LUCARNE Quiberonnaise + SOUCHE Pierre Ht tronc de cone men. Alu?

Par : Dastum

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Kerdonnech (?) un mur

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Carnac - Maison / Architecture moderne
Maison chaume

Par : Dastum

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soldat devant les moulages du musée

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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communiante avec missel sur fond de toile

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Polka-jeu

Par : Dastum

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