Patrimoine de Plouaret

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Don de Martha Lindner
Plouaret, église du 16e siècle

Par : Archives municipales de Sa

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Monument aux morts (1914-1918 ; 1939-1945 ; 1954-1
Edicule en granite en forme d'obélisque sommé d'un coq gaulois en fonte moulée. Il est encadré de deux mortiers français de 58 n° 2 dits "Crapouillot" de l´armée française. Le monument porte sur sa face ouest une inscription commémorative : "AUX ENFANTS DE PLOUARET MORTS POUR LA PATRIE" et la date "1914-1918". L'obélisque est agrémentée d'un décor sculpté en haut-relief : la croix de guerre (croix à quatre branches, deux épées croisées ornée d'une couronne de lauriers), deux drapeaux croisés en berne, un casque de poilu orné de feuilles de laurier (symbole de la victoire) et une croix latine.Une plaque en marbre disposée verticalement porte l´inscription "1939-1945" et la liste des victimes. Une seconde plaque porte l´inscription : "A.F.N. 1954-1962 LE ROUZIC H MORVAN J-Y".Le monument aux morts de la première Guerre mondiale de Plouaret (1914-1918), de la seconde Guerre mondiale (1939-1945) et de l'Afrique française du Nord est situé au sud de la place de l´Eglise, il a été élevé en 1920.
Auteur(s) du descriptif : Lécuillier Guillaume

Par : L'inventaire du patrimoine

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Manoir de Kervégan Braz (Plouaret)
Cet ensemble bâti ancien, à la fois résidence seigneuriale et exploitation agricole, est situé à 2600 mètres à l´ouest du bourg de Plouaret et à 125 mètres d´altitude. Il se trouve à proximité immédiate d´une source et d´un petit affluent du Roscoat. Le manoir est isolé dans la campagne ; on y accède uniquement par la route de Plouaret à Lanvellec puis par un chemin. Le toponyme est orthographié "Kvégan bras" (Kervegan Braz) sur le cadastre de 1835 ; "Kervégen" dans les archives. Les parcelles qui le cernent sont d´assez grandes dimensions comparées au parcellaire paysan. Elles traduisent une action de concentration des terres autour du domaine manorial.Le manoir de Kervégan Braz ("grand" en breton) a vraisemblablement été fondé par la famille Le Meur dont les armoiries sont "D´argent à une fasce de gueules, accompagné de trois quintefeuilles de même" (armoiries visibles au dessus de la porte d'entrée). La seigneurie disposait d´un "droit de mouture au moulin alimenté par l´étang qui séparant Lanvellec de Plouaret, où dit-on, fut jetée la croix d´or de Plouaret lors de la Révolution".L'édifice actuel comporte un escalier en vis hors œuvre sur l´élévation postérieure datable de la fin du 16e siècle ou du début du 17e siècle ; le reste du bâtiment a été remonté au 19e siècle en réutilisant les pierres de taille et en adoptant un type ternaire. Des ouvertures ont été percées dans la façade postérieure dans la 2e moitié du 20e siècle. Les dépendances (étable et fournil) ont été remaniées au 19e siècle.
Auteur(s) du descriptif : Lécuillier Guillaume

Par : L'inventaire du patrimoine

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Manoir de Coat Roué (Plouaret)
Cet ensemble bâti ancien, à la fois résidence seigneuriale et exploitation agricole, est situé à 3900 mètres au nord du bourg de Plouaret et à 113 mètres d´altitude. Il se trouve à 300 mètres au nord-est d´une source et d´un petit affluent du ruisseau de Kerlouzouen. Le manoir est isolé dans la campagne ; on y accède uniquement par le chemin "de Poulguilquin à la croix des trois Recteurs" puis par un autre chemin courant vers l´est (Poulguilquin s´appelle aujourd'hui "Traou an Alé" et la croix des trois Recteurs était située à l´est de Kerveyen). Le toponyme est "Convenant Brian" sur le cadastre de 1835. On trouve aussi mentionné dans les archives seigneuriales le "manoir de Coatrouez" ou "Coatrouëz". Aujourd´hui le lieu-dit s´appelle : "Coat Roué".Entre le manoir de Coat Roué et le manoir de Kerverziou, distants de 400 mètres, se dresse une motte féodale du Moyen Age (11-12e siècles), nommée "Coat Boue" sur le cadastre ancien et accompagnée de 7 bâtiments aujourd'hui disparus... Cette motte, parfaitement représentée sur le cadastre de 1835, est connue depuis le 18e siècle et appelée "Coat Roué" que l´on peut traduire par "le bois du roi", ou le "bois des Roué". En breton, "Koad" ou "ar C'hoad" signifie le bois ; "ar Roue", le roi. Il peut s´agir également d´un patronyme. Les archives de la seigneurie de Vieux-Marché (E 3075) précisent : " - dans la frairie de Coatrouez, le manoir, le moulin et la métairie nobles de Kermellec, le manoir de Coatrouez (Coatrouëz) ; - dans la frairie de Keranbescond, le manoir de Kerversiou". Le manoir de Kermelec (de Kermellec, ramage de Keranraiz) est situé à 750 mètres au sud-ouest.Le volume, les éléments stylistiques et la mise en œuvre soignée en pierre de taille de granite permettent de dater l´édifice de la fin du 16e siècle ou du début du 17e siècle. La façade sud du corps de logis, dessinée en 1935 par Henri Frotier de la Messelière, est restée inchangée depuis. La complexité de ce bâtiment vient d´une part du fait que le pignon ouest a été modifié, d´autre part qu´il est à double orientation. En effet si le pignon est est d´origine (pierres d´attente jusqu´au niveau de l´étage ; latrines en encorbellement à l´étage carré ; pierres de taille en chaînage d´angle ; rampants et mise en œuvre...), le pignon ouest trahit un remontage au 20e siècle (post 1935) et les souches de cheminées ont également été changées. En l´état, l´édifice dispose de trois accès : en façade antérieure, c'est-à-dire orientée au sud, une porte en plein cintre moulurée en cavet ; en façade postérieure, deux portes en plein cintre, dont l´une (la plus à l´est) est murée. Les fenêtres sont rectangulaires, à piédroits moulurés en cavet et à traverse ; les baies de l´étage disposent chacune d´un appui saillant. En façade antérieure, au rez-de-chaussée, la fenêtre centrale dispose d´un linteau orné d´une accolade qui dénote par rapport au autres ; cette baie a peut-être été modifiée. A l´intérieur de l´édifice, deux cheminées ont pu être observées : dans la salle basse, une cheminée monumentale engagée dans le mur de refend ; à l´étage carré, dans ce qui était une chambre haute, une cheminée de taille plus modeste mais ornée et engagée dans le pignon est. Placard mural, saloir et pierre à saler sont disposé dans l´angle sud-est. On peut également noter que charpente (à égout retroussé à l´origine) et poutraison ont été changées. La construction du puits à margelle est contemporaine de celle du manoir.Le bâtiment situé dans la cour au sud du manoir et orienté est, est à usage d´étable (à vaches, à chevaux). Il est datable de la seconde moitié du 19e siècle et a été agrandi par le sud et doté de trois boulins. Les deux autres dépendances à usage d´étable (il s'agit d'une logis) et de remise sont datables du 19e siècle mais réutilisent des éléments anciens.
Auteur(s) du descriptif : Lécuillier Guillaume

Par : L'inventaire du patrimoine

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Une semaine, une histoire : semaine 42
22 octobre 1961. Edgar Pisani, devenu récemment Ministre de l'Agriculture, se rend à Plouaret, dans les Côtes d'Armor. La situation est très tendue depuis des mois, et les manifestations d'agriculteurs font rage en Bretagne. En 2014 dans les colonnes du Télégramme, l'ancien Ministre se remémorait cet événement : "C'est le premier endroit où, ministre de l'Agriculture, j'ai mis le nez dehors. A la suite d'une maladresse d'organisation, je me suis trouvé face à un mur d'agriculteurs plutôt remontés. On venait visiter un transporteur qui était contesté par le monde paysan. C'était houleux mais pas méchant ni hostile. Soudain, le meneur, qui chauffait l'assemblée, a sauté sur une remorque et a fait un grand discours. Que faire, sinon monter à mon tour sur la remorque et tenir un discours ? On est reparti tous ensemble boire du vin d'Algérie dans une ferme. En chemin, on est tombé sur les forces de l'ordre. C'est là que j'ai dit : il n'y aura jamais de gendarmes entre les paysans et moi !" Roger Laouénan, journaliste et déposant historique de la Cinémathèque, se trouvait sur les lieux et a immortalisé cette rencontre.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Château, Kerham (Camlez)
Antérieur aux premières destructions, le cadastre de 1834 nous permet d'avoir un aperçu de la forme originelle du château de Kerham : un plan en U dans lequel le logis principal est raccordé à deux ailes par deux pavillons d'angles. Orienté vers le nord-ouest, le château de Kerham est construit en pierre de taille de granite de grand appareil. Il dispose au sous-sol de cinquante mètres de caves voûtées en plein cintre. L'entrée de la cour se fait par le nord-est. Deux avenues permettent d'accéder au château : au sud-est, la première mène aux hameaux de Coat Jélégo et de Kerguillan ; la seconde mène au hameau de Pen Prat, remembrée aujourd'hui. En 1930, une série de dessins réalisés par l'archiviste Frotier de la Messelière montre que tout la partie nord du site (dépendance + pavillon d'angle nord-ouest) est déjà détruite. Cependant, on remarque encore clairement le logis principal, un bâtiment à cinq travées en granite appareillé avec lucarnes à fronton.L'ensemble est inséré au milieu d'une enceinte rectangulaire de 4 hectares fermée par des murs crénelés et protégés aux angles par de petits fortins.Il ne reste aujourd'hui que la dépendance ouest, un bâtiment en granit appareillé, vraisemblablement la maison du métayer construite dans le prolongement d'une galerie à usage de remise. Cette galerie comprend quatre arcades en plein cintre surmontées de quatre jours d'aération en oeil de boeuf. Elle est peut-être inspirée par celle du manoir de Guernanchanay à Plouaret. Dans le mur arrière, au niveau du sous-sol, plusieurs ouvertures servent probablement à passer des matériaux dans la remise. Une grange et une petite écurie viennent compléter la cour à l'ouest.Une résidence seigneuriale d'Ancien RégimeLa position du château sur un des points hauts de la commune est liée à sa proximité avec la motte castrale de Croas Husto. Durant le Moyen-Âge, cette motte constitue la première résidence fortifiée de ce qui deviendra la seigneurie de Kerham. Le toponyme Kerham vient du préfixe ''kêr'' ou ''caer'' (lieu fortifié, en vieux breton), et d'un suffixe ''ham'' (hameau).Le château est construit de 1634 à 1650 par la famille Le Lay (Rolland le Lay) après acquisition du domaine en 1600, suite au mariage de Jeanne de Coadallan avec Jean Le Lay. A l'origine, le domaine s'appelle Kergrescant, il semble changer de nom au moment du mariage pour devenir Kerham.Les armoiries de la famille Le Lay apparaissent encore sur des pierres réemployées dans la grange : ''d'argent à la face d'azur, accompagné de trois annelets de gueules rangés en chef et en pointe d'un aigle éployé de sable, becquée et membrée de gueules''. Kerham appartient à la famille Le Lay jusqu'au début du 18e siècle, puis à la famille de Kérousy suite au mariage de Anne-Gabrielle Le Lay avec Joseph-Marie de Kerouzy, avant de passer en possession de la famille de Marboeuf jusqu'à la Révolution.Au début de la Révolution, l'archevêque de Marboeuf (de Lyon), l'héritier de cette famille, émigre. Ses biens sont vendus en tant que Bien National. Le procès verbal de cette vente offre une description complète du château de Kerham.Un site racheté à la Révolution et partiellement détruit Le château et ses dépendances (la métairie, les bois, les terres, les routoirs et les prairies) sont achetés par M. Toussaint Cossen le 13 thermidor an IV (le 31 juillet 1796) au prix de 19 967 livres. Mais dès la même année, Kerham est remis en vente et acheté par des cultivateurs, Antoine Boussougan et son épouse Françoise Urvoaz.En 1831, devenue veuve d'Antoine Boussougan, Françoise Urvoaz partage Kerham entre ses quatre enfants. L'essentiel revient à Pierre et Anne.En 1848, à la mort de Pierre Boussougan, Anne et son mari Joseph Queuffeulou héritent de la majeure partie des bâtiments avant de récupérer les terrains au milieu des années 1860. Les biens sont ensuite partagés entre leurs cinq enfants. L'essentiel revient à leur fille Marie-Perrine Queffeulou et à son mari Jean-Marie Rouzault qui détruisent toute la partie nord du château à la fin des années 1860 (pour plus de détails lire l'annexe "Succession et partage de Kerham 1796-1860").Le logis du château et le pavillon d'angle sud-ouest sont détruits dans les années 1960 pour construire un nouveau logis, dans le prolongement de l'aile sud.
Auteur(s) du descriptif : Billardey Maxime

Par : L'inventaire du patrimoine

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Le cavalier et l'anguipède / Par J. Trévédy
Article de 1889 faisant un état des découvertes de groupes sculptés représentant un cavalier assaillant un anguipède, créature légendaire de la mythologie gauloise dont le corps finit en queue de serpent.

Par : Médiathèques de Quimper Br

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Le groupe équestre de Saint-Mathieu, commune de Pl
Brochure de 1887 relative à un groupe sculpté représentant un cavalier assaillant un anguipède, créature légendaire de la mythologie gauloise dont le corps finit en queue de serpent.

Par : Médiathèques de Quimper Br

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Cantiq voar Mission Plouaret [suivi de] Cantiq an
Feuille volante dont le titre peut être traduit comme suit : "Cantique de la Mission de Plouaret [suivi du] Cantique de l’Ave Maria [et du] Nouveau cantique pour le Salut".

Par : Médiathèques de Quimper Br

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Neventiou, ar bloaz 1961
Des pardons en 1961. Pardon des Terre Neuvas à Saint Malo : défilé d'enfants, de femmes en coiffe du Trégor, la bateau le "MUTIN", bénédiction de la mer. Pardon à Ploubezre : défilé partant de l'église, femme en coiffe du Trégor goëlo, les enfants de choeur. Pardon des sept saints au Vieux-Marché : marche sur un chemin de campagne. Porz-Gwenn, pardon Sant Gonery (Port Blanc) sur l'île de Saint Gildas : le port, embarcation, débarquement, défilé, une statue de Saint. Plouaret, an had pardon : église, manège, course cycliste, spectatrices, discours, arrivée de la course. Fête de la Saint-Yves aux arènes de Lutèce à Paris, pardon Sant Erwan : chorale d'enfants de choeur, drapeau breton, marins, pardon sur une estrade, défilé de bretons et bretonnes de différentes coiffes (bigoudène, Lorient, Loch Raïen), danses bretonnes. Descente de l'Oust en canoë, à Hemonstoir. La dérobée à Guingamp : défilé, danse bretonne des enfants et des adultes (non costumés), coiffe du Trégor. Plouilliau, gouel ar c'hezek (fête des chevaux à Ploumilliau) : Spectacle de cascades avec des chevaux dans un champ, des spectateurs, des femmes en coiffe du Trégor, un homme à la caméra. Koz varc'had, gourennou (lutte bretonne au Vieux-Marché) : spectacle de lutte bretonne. Pleuveur Servel, an tan e lanneier (le feu dans les landes de Pleumeur Bodou et de Servel) : des pompiers, un gendarme et des paysans tentent d'éteindre le feu des landes.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Allocution de Mgr l'Evêque de Saint-Brieuc et Trég

Par : Gallica

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Plouaret ; l’église

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Plouaret? ; chapelle de la Trinité

Par : Musée de Préhistoire de Ca

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Plouaret (C.du N.) : Casseuses de cailloux

Par : Dastum

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Femme de Plouaret en costume
il est mentionne 00024 en nocarte

Par : Dastum

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La tour de l’église de Plouaret
La construction, commencée en 1554, est de style renaissance. La Tour, de section carrée à la base, comporte quatre niveaux. Un escalier à vis de pas à droite permet d’accéder aux différents étages. Dans l’ordre croissant on trouve l’horloge puis les quatre cloches ainsi que les deux chemins de ronde. Ces éléments ont longtemps rythmé la vie des Plouaretais.

Par : L'ARSSAT

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Environs de Plouaret - Château de Guernachay. L'An
Numérisé par le partenaire. Appartient à l’ensemble documentaire : GMBrst001. Carte postale

Par : Yroise - bibliothèque numé

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PLOUARET (Côtes-du-Nord). la Grande Verrière (XVIḞ
Date : 20e siècle, début. Fonds : Cartes postales

Par : Archives départementales d

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Manoir de Guernachannay, près Plouaret - Ensemble
Date : 20e siècle, début. Fonds : Cartes postales

Par : Archives départementales d

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Manifestations d'agriculteurs
Ar Vretoned o tifuni - Manifestation d’agriculteurs Réalisateur : Roger Laouénan Format : 9.5mm – noir et blanc – muet – 11’44“ – 1962 Les paysans du Léon et du Tréguor manifestent à l’instigation de la FNSEA et demandent l’application immédiate de la loi d’orientation agricole. Alexis Gourvennec intervient à Pontivy lors de la réunion "Loi programme pour la Bretagne". A Plouaret, Edgar Pisani (ministre à l'époque) rencontre les syndicalistes.

Par : Cinémathèque de Bretagne

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Maison au 183 rue de la Gare (Plouaret)
Maison de plan rectangulaire alignée sur la rue, à double orientation et double en profondeur, à trois travées en façade (type ternaire) construite en moellon de granite. La travée centrale qui comprend l'entrée est mise en valeur par une porte-fenêtre avec balcon à l'étage carré. L'encadrement des baies (en arc segmentaire ou surbaissé) et les chaînes d'angles sont édifiés en pierre de taille de granite. Elle est composée d'un logement en sous-sol semi enterré accessible depuis la façade postérieure (logement pour domestique ?), d'un rez-de-chaussée (accès central sur rue), d'un étage carré et d'un comble abrité sous un toit à deux pans et pignons couverts. La distribution intérieure, avec couloir traversant central, est classique. Eléments de décor : granite gris (entourage des baies, chaînes d'angles et bandeau), clés d´arc sculptées en granite gris (représentant des animaux dont un éléphant et une tête humaine), granite rose (claveaux), appareil polygonal en façade antérieure, balcon central sur corbeaux sculptés (représentants deux sphinx ou lynx ; garde-corps en rusticage représentant un ornement végétal).Cette maison est située au 183 rue de la Gare, au sud-sud-est du bourg de Plouaret, le long de la route qui va à Vieux Marché. Aucune construction ne figure à cet endroit sur le cadastre de 1835 : il s´agit de champs. La rue de la Gare, route large et rectiligne, a probablement été aménagée vers 1860 avec l´arrivée du chemin de fer. Cette maison, originale par son ornementation et ses sculptures est attribuée à Émile Nicol (1867-1938), tailleur de pierres à Plouaret. Elle est vraisemblablement datable de la fin du 19e siècle ou du 1er quart du 20e siècle.
Auteur(s) du descriptif : Lécuillier Guillaume

Par : L'inventaire du patrimoine

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Poull Kannan - Au lavoir d'antan
C'est avec une joie communicative que Christiane et Thérèse retournent avec leur brouette au lavoir de leur jeunesse. Tout en lavant leur linge comme autrefois, elles évoquent en breton les bons souvenirs de cette époque révolue. Suivons les sans hésiter pour ce charmant voyage dans le temps autour du lavoir de Coat Roué en Plouaret ...

Par : TV Trégor

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Ur Feunteun anvet Anjela - Plateau TV sur Anjela D
Eus menaj Traoñ an Dour da bed al lennegezh. - De la ferme de Traoñ an Dour au monde de la littérature. C'est en décembre 1991, dix ans après le décès de la poétesse Anjela Duval, que l'association culturelle Traoñ an Dour, du nom de la ferme d'Anjela Duval au Vieux-Marché, organisait un plateau-télé animé par les journalistes Fañch Broudic et Roger Laouénan. Ce débat avait rassemblé des membres de la famille d'Anjela, des voisins et des amis ainsi que des défenseurs de la langue bretonne qui rendaient hommage à un écrivain de premier plan. En novembre 2021, les communes du Vieux-Marché et de Plouaret se sont unies pour un nouvel hommage, hommage que la médiathèque de Lannion, dépositaire du fonds des manuscrits d'Anjela Duval, a complété par une exposition et différentes animations. Retrouvons le monde d'Anjela Duval dans ce plateau-télé de 1991 filmé par Trégor-Vidéo ainsi que deux poèmes lus par Yann-Bêr Piriou et filmés par TV-Trégor

Par : TV Trégor

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